Trixie Chap 18 - Le Puceau
Ayant pris confiance et sachant que je ne pouvais pas lui refuser grand chose, Alfred me demanda ce qu'il me dit être une grande faveur. Marcel son neveu, âgé maintenant de plus de dix huit ans venait de lui avouer qu'il n'avait encore jamais couché avec une fille. Il me demandait donc si je pouvais dépuceler ce grand nigaud. Mais il voulait que cette perte de virginité reste gravé dans le cerveau du grand « Dadais » jusqu'à la fin de ses jours. Il avait donc pensé à une mise en scène. Il allait m'en expliquer le déroulement. Il sonna Victor et nous entraina le majordome et moi au sous sol. Il demanda à Victor de fixer deux anneaux à une poutre.
« Parfait dit Alfred, nous allons voir ce que ça donne ! Victor attachez Trixie. »
Je levais les bras pour lui faciliter la tâche. Ma courte jupe remonta, bien plus haut que les attaches de mon porte-jarretelle, découvrant les lanières noires bien tendues sur la peau nue de mes cuisses.
Victor se positionna devant moi, et commença à me lier un poignet, il tira un peu plus sur mon bras, la jupe remonta encore, et découvrit mon string transparent.
Le poignet lié, le domestique se recula et m'examina avec soin, ses yeux s'attardèrent sur ma vulve le mince tissu entrait dans la fente de ma chatte. Je voyais sa pomme d'Adam qui montait et descendait, Cela devait l'exciter. Il se rapprocha pour attacher l'autre bras, il se plaqua contre moi, je sentis son sexe en érection se frotter contre ma chatte. Il était très volumineux, en longueur et en grosseur, il faisait semblant d'avoir des difficultés à nouer la cordelette pour épouser encore plus mon corps. En redescendant ses doigts effleurèrent le bout de mes seins que tout cela avait fait durcir et qui pointaient sous mon chemisier. Le manège du vieux domestique commençait à m'exciter moi aussi, je sentais mon sexe qui s'humidifiait.
« Reculez, Victor ! Pas mal, mais il va falloir lui écarter les jambes, attachez lui les chevilles aux deux poutrelles de chaque côté »
Le majordome se mit à genoux devant moi, il avait les yeux à hauteur de ma chatte, il pouvait voir la tâche que faisait mon foutre sur le string, la moiteur le faisait entrer plus profondément dans mon orifice vaginal.
«Tu mouilles drôlement petite salope me dit-il de façon à ce que Alfred ne l'entende pas »
Il se releva, et demanda à Alfred si cela convenait, une énorme bosse s'affichait sous sa ceinture à hauteur de son bas ventre. Il me sembla que les yeux d'Alfred pétillaient de malice en s'apercevant de l'effet que j'avais fait à Victor. Il lui répondit affirmativement et lui demanda de me détacher. Je vis le désappointement se peindre sur le visage de Victor.
« Nous recommencerons demain, avec mon neveu, dit le maître de maison ! »
Le lendemain, je choisis des sous vêtement très érotiques, la journée allait sans doute être très mouvementée. Le soutien gorge de dentelle noire mettait mes seins bien en évidence, les bonnets ourlés délicatement les enflaient davantage et laissaient mes mamelons découverts. Mon porte jarretelle assorti au soutien gorge, soutenait des bas qui laissaient une assez large bande de peau dénudée. J'enfilais un string complètement diaphane laissant dépasser le haut de ma toison pubienne. J'enfilais un chemisier translucide en soie, qui laisser transparaitre mes mamelons, puis une jupe très courte qui cachait juste l'ourlet de mes bas. J'allais ensuite rejoindre Alfred et son neveu qui étaient au salon buvant un rafraichissement. Il me présenta Marcel, un beau jeune homme blond, à l'air timide. Il devait savoir la raison de sa présence car ses beaux yeux bleus, ne pouvaient pas me fixer, il avait l'air gêné. Alfred fit tinter sa clochette, le domestique apparu comme par enchantement. Alfred savait qu'en le faisant participer Victor tant en spectateur, qu'en acteur, cela m'exciterait davantage, il avait lui aussi remarqué que mon string avait absorbé mon « émoi » lors de la séance de répétition.
« Victor, allez préparer mademoiselle Trixie, nous vous rejoindrons lorsque nous aurons fini nos verres. Ah oui, aujourd'hui quittez lui sa jupe...dit Alfred en souriant »
Je vis le visage du vieux valet s'éclairer, il me sembla qu'un léger tremblement parcourait ses mains ridées. Je le suivis à la cave.
Le même rituel que le jour précédent se déroula. Mais, n'étant que tout les deux, les frottements de la grosse bite contre mon mont de venus furent plus accentués. Une fois mes bras attachés, il défit la fermeture de ma jupe, et commença une lente descente de celle ci sur mes hanches, ses mains tremblaient d'excitation. Elles étaient positionnées sur le haut à l'intérieur du vêtement. Il pouvait ainsi sentir les lanières de mon porte jarretelle tout au long de la longue glissade. Comme hier ma chatte commençait à mouiller, comme hier il se mit à genoux pour me lier les chevilles, mais Alfred n'étant pas là, il en profita pour me faire une caresse appuyée sur ma vulve moite avec ses pouces, avant de commencer la descente jusqu'à mes chevilles.
« Dis donc, petite salope tu aimes vraiment ça, te faire tripoter et baiser. Ça n'a pas commencé et tu es déjà trempe, me dit-il »
Il enfonça son index dans ma chatte à travers le mince tissus, je tendis le bassin en avant.
La porte s'ouvrit, Alfred et son neveu entrèrent. Alfred tenait une cravache à la main. Marcel lui ne pouvait détacher son regard, de mon entre cuisse, ou le mini string déjà moite enfoncé par l'attouchement de Victor, laissait apercevoir le haut de mes poils épilés et épousait le sillon de mon sexe.
« As-tu déjà caressé une femme, Marcel ? Connais-tu leur anatomie ? »
Le jeune garçon répondit par la négative. Il était vraiment troublé par le vue de la fente de ma chatte dévoilée par l'humidité du tissu diaphane qui moulait le contour de mes lèvres.
« Tu sais, chez la femme il existe des zones érogènes, érectiles qui grandissent lorsqu'elles subissent une excitation.
Le majordome ne se le fit pas dire deux fois, souriant, avec des mains tremblantes, il défit les boutons de mon chemiser, et écarta les pans, ses lèvres se mirent à trembler lorsque mes globes parfaits s'offrirent aux regards des trois hommes.
« Regarde c'est là... »
Alfred fit le tour de mes tétons du bout de sa cravache.
« Tu vas sucer les bouts, dit-il à Marcel..., met toute l'aréole dans ta bouche et aspire, voilà... passe à l'autre maintenant, mordille bien le téton entre tes dents, tu le sens gonfler, fait voir ! Oui , écoute ses gémissements...elle aime ça, à l'autre maintenant, regarde ses aréoles elle sont devenues brun foncé, elle a la chair de poule.»
Mes tétons sous la caresse avaient triplé de volume, s'enhardissant Marcel se mit à me pétrir et malaxer les seins qui devinrent durs comme du marbre, le jeune garçon prenait du plaisir. Il se plaqua contre moi je senti son érection énorme. Sa bouche remonta le long de mon cou et il chercha mes lèvres pour un baiser fougueux en continuant à me pincer les mamelons.
« Ah, bien dit Albert, passons à un autre endroit, recule toi Marcel...Victor ôtez le string de Trixie »
Le visage congestionné, et toujours aussi tremblante d'excitation, la main du vieil homme passa à l'intérieur de mon cache-sexe trempé, le dos de ses doigts s'attardèrent sur mes lèvres entrouvertes, la jointure pliée de son majeur s'y insinua, puis il tira d'un seul coup arrachant le string et dévoilant mon sexe ruisselant.
« Je vais te montrer un autre endroit, très important chez une femme... »
Du bout de sa cravache Alfred me titilla le clitoris.
« Victor, dégagez le clitoris de mademoiselle, pour que Marcel comprenne bien !! »
Le domestique, le visage cramoisi, ne s'étant jamais douté quel rôle il allait jouer, s'approcha, passa derrière moi. De sa main gauche avec son pouce et son index il écarta mes lèvres, j 'avançais mon bassin.
« Tu vois comme ses tétons, son clitoris durcit, et ça lui plait. Victor reculez, Marcel va continuer le travail... »
Le vieil homme céda à regret sa place au jeune, qui tomba à genoux, je sentis ses lèvres s'emparer de mon clito et l'aspirer doucement, je hoquetais de plaisir. Il le suça ainsi pendant au moins cinq minutes. Cela me tirait des petits cris de plaisir.
« Marcel, arrête avec ce petit bouton, tu vas le lui faire éclater, dit Alfred en riant. Lèche lui plutôt le foutre qui ruisselle de sa chatte et aspire le, tu verras il a un goût délicieux »
Le garçon obéissant, enfonça sa langue dans mon orifice béant et trempé, je sentis comme son oncle lui avait demandé, la langue aspirer mon liquide séminal, c'était divin.
« Bon, quitte ton pantalon que l'on puisse voir ou en est ta queue »
Fébrilement Marcel déboucla sa ceinture, baissa le zip et laissa tomber le vêtement, une énorme bosse tendait son slip. Il le baissa, sa virilité jaillit fièrement dressée.
« Oh, oh fit Alfred, pas mal... »
Le jeune homme n'y tenant plus se précipita sur moi, m'attrapant aux hanches d'une main, écartant mes grandes lèvres avec son gland, il le positionna avec l'autre à l'entrée de mes petites lèvres. D'un seul coup de rein il enfonça sa bite raide et dure jusqu'à son pubis. Il commença à me labourer à grands coups très rapides.
« Doucement, mon garçon, doucement lui dit Alfred. Tu vas éjaculer de suite, si tu continues ainsi et tu ne donneras pas de plaisir à ta partenaire... »
Marcel ralenti, sa cadence, je pus apprécier pleinement les pénétrations du vigoureux rouleau de chair qui s'enfonçait en moi tel un morceau de bois.
Alfred passa derrière moi, et me sodomisa, je regardais Victor qui avait sorti son énorme queue et se branlait doucement, je comprenais maintenant en voyant la bite du domestique, le sourire d'Alfred lorsqu'il m'avait présenté Victor. La grosseur et la longueur du sexe avait du être un critère d'embauche.
« Je..., je.....je crois que je vais éjaculer....dit Marcel...et avec un cri de jouissance, je senti les chaudes et vigoureuses giclées de son sperme m'inonder l'utérus... Ooooooooooohhhhhh, Ooooooooooohhhhhhh, putain que c'est boooooonnnnnn, c'est meilleur que les branlettes »
Dit-il en m'embrassant sauvagement.
« Tu es un homme maintenant, lui dit Alfred en continuant ses va et vient dans mon tuyau anal. Elle n 'a pas joui, mais nous allons la combler...Victor prenez la place de Marcel...Eh bien Victor, je ne croyais pas votre sexe aussi gros en érection... dit Alfred en riant !! »
Je fus confortée dans mes supputations, avant de procéder à une embauche, Alfred avait du rechercher des domestiques avec des bites au-dessus de la normale. Il avait des idées en tête...
Le vieux domestique n'en croyant pas ses oreilles, se précipita sur moi, suça avec sauvagerie mes seins, et lui aussi m'empala d'un seul coup, son monstrueux tuyau glissa sans peine dans ma vulve trempée. Ils me besognèrent longtemps tous les deux, je me retenais, mais lorsque je les sentis haletant prêt à lâcher leurs vieilles semences, je me laissais aller et jouissais en même temps qu'eux.
« Bon, dit Alfred, nous allons raser Trixie, et ôter les poils superflus de son pubis ! Victor prenez le rasoir le savon à raser et le blaireau dans ce placard, c'est vous qui allez le faire.
- Si mademoiselle Trixie veut bien s'allonger sur la table me dit Victor. »
Ce que je fis. Il me lia les bras au dessus de la tête et attacha les cordes aux pieds de la table. Saisissant le blaireau fait de poils très fins, il me demanda d'ouvrir les cuisses. Il commença à me caresser la chatte, très doucement, les soies s'insinuaient entre mes lèvres caressant l'intérieur de mon méat encore humide des éjaculations. Il dégagea mon clitoris et avec de petits mouvements circulaires le frotta doucement et longtemps avec le blaireau, je n'avais encore jamais connu une telle sensation. La caresse remonta le long de mon ventre, me faisant cambrer les reins.
Le blaireau arriva sur mes seins, Victor fit doucement le tour de mes aréoles en faisant attention de ne pas y empiéter dessus. Au bout de quatre ou cinq tours autour de chaque mamelon, je commençais à gémir en souhaitant qu'il me caresse les tétons qui s'étaient tendus et mes aréoles couvertes de chair de poule. Il s'obstinait à ne pas le faire, je me tordais pour essayer de lui présenter le bout de mes seins turgescents...Il commença frôler la pointe durcie de mes tétons, ce doux contact me mit hors de moi, une chaleur caractéristique commençait à régner dans mon ventre, je mouillais énormément. Puis il me caressa sans trop appuyer les aréoles, ma poitrine se tendait en avant cette chatouille déclenchait dans mon sexe un bataillon de fourmis, il éternisait son voluptueux supplice. J'étais attachée et ne pouvait que subir les délicieux attouchements.
Il redescendit, pour me caresser à nouveau le clitoris qu'il avait fait jaillir d'entre mes lèvres. Je hurlais de plaisir. Sur mon petit bouton rose il alterna alors les coups de langue et les caresses avec le blaireau, cela me faisait frémir des pieds à la tête. Des décharges électriques me faisaient me cambrer sur la table. Je regardais Alfred et son neveu qui béats d'admiration caressaient vigoureusement leurs bites. Cela m'excita encore plus, j'imprimais à mes hanches un lascif balancement et à mon ventre une rotation voluptueuse. Mes hanches se mirent à trembler, le blaireau, suivit de la langue du vieil homme s'insinua plus profondément entre mes lèvres palpitantes.
Je sentais que c'était la fin, je ne pouvais plus me retenir, un cri et j'explosais dans la vieille bouche. plaquée sur ma chatte.
« Bien, bien dit Victor, nous allons pouvoir passer à la suite de l'opération... »
Sans attendre la fin de mes tremblements, il trempa le blaireau dans l'eau fit mousser du savon et m'en badigeonna le sexe surtout le triangle de poils au-dessus. Il commença a me raser les poils blonds et courts. La morsure du rasoir, passé par cette main tremblante me procura un plaisir glauque. Il enleva le surplus de savon, me séchant bien avec une serviette.
« Voilà, Monsieur, mademoiselle Trixie est aussi lisse qu'un nouveau né ! »
Alfred s'agenouilla entre mes jambes les mains sous les lanières du porte-jarretelle commença à me lécher la chatte...
« Mais coquine, tu mouilles à nouveau dit-il...nous allons pouvoir continuer ! Nous avons ainsi la vue dégagée pour bien profiter de ce qui va suivre. Victor, détachez Trixie et amenez le godemiché, vous l'aiderez à le faire pénétrer. »
Je regardais l'objet avec convoitise, il avait déjà servi lors de l'anniversaire de Jules. Je brulais de désir de m'y empaler. Victor me détacha, il mit l'appareil sur la table. Je m'y accroupis dessus cuisses écartées.
« Allez asseyez-vous mademoiselle, dit-il tenant le godemiché d'une main pour pas qu'il ne bouge »
Je fléchis les jambes, Victor aida l'engin à pénétrer légèrement entre mes lèvres.
« C'est bien me dit doucement le vieux vicieux, tu mouilles, tu dois adorer ça...Plus profond maintenant...Ce n'est pas la première fois salope, j'ai vu tes vidéos...ça rentre tout seul.. »
Puis s'adressant à Albert et son neveu :
« Messieurs approchez-vous venez voir comme elle mouille, on dirait une fontaine »
J'arquais mon dos, ouvrais largement les cuisses, pour leur faire profiter du spectacle, le godemiché à chaque pénétration me griffait les parois, j'adorais cette sensation. Marcel découvrit mon clitoris et commença à me le caresser, je gémis de bonheur. Victor me caressait les seins d'une main tout en se masturbant de l'autre en émettant de drôles de grognements saccadés. Au bout de dix minutes, n'y tenant à nouveau plus, le jeune garçon ôta le godemiché, me coucha sur la table. Il posa mes jambes sur ses épaules et enfila sa bite... dans mon anus cette fois ci :
«C'est pour apprendre la sodomie, dit-il en riant ! »
Alfred et Victor s'approchèrent de ma bouche, et me présentèrent leurs queues, qui malgré leur âge avancé avez l'air de fonctionner à plein régime. Je les suçais à tour de rôle. Puis lorsque Marcel, eut éjaculé, Victor se remit à me sucer la chatte cédant au bout d'un moment sa place à Alfred. Cela dura jusqu'à une heure avancée de l'après midi...Je ne comptais plus mes orgasmes...Ils étaient supers les vieillards...doublés d'un jeunot...
Le soir après le repas, alors que le majordome nous servait une infusion, Alfred questionna son neveu, sur l'expérience qu'il venait de vivre. Il répondit que dorénavant il nous rendrait visite plus souvent. Victor lui, souriait béatement...Il avait compris pourquoi Alfred l'avait embauché et il n'était pas près de démissionner...
A suivre...
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