Faire L'Amour

J’étais sous la douche à me masturber avec le jet quand je me suis aperçue de mon oubli. Si j’avais fait bruler le petit plat préparé, il n’en aurait pas fait un drame, seulement nous aurions été obligés d’aller au restaurant : nous serions rentrés tard, réduisant notre intimité.
Je pense à me rhabiller quand je passe devant le grand miroir : je me regarde. Je me plais bien, pourquoi m’encombrer de vêtements que j’enlèverais ensuite. Pourtant je vais prendre ma grande écharpe qui enveloppe complètement mon corps bien qu’elle soit transparente.
Décidée, je garde l’écharpe, il me verra par transparence, j’en suis déjà excitée comme une puce. Il reste assez de temps, je vais me coucher pour me baiser avec le gode, celui de mon dernier anniversaire. J’aime bien me coucher sur le lit froid au début : je frissonne un peu avant de me réchauffer quand je caresse mes seins et que je commence à mouiller.
J’aime presque autant me baiser seule qu’avec lui. J’enfonce le gode dans ma cavité : très lentement au début. Je fais durer la pénétration longuement. J’aime sentir mes chairs s’écarter devant la grosseur du godemichet. Je le rentre tout au fond. Je le retire complètement avant de le remettre et là je me baise comme une folle tellement j’aime jouir.
Des fois, il me surprend en pleine masturbation, j’aime bien ses moment où il me regarde en me demandant si j’apprécie. Oui, j’aime quand il sort sa queue pour lui aussi se branler. J’aime quand son sperme arrose mon ventre ou mes seins. J’aime le prendre dans la bouche pour le faire encore bander avant qu’il me baise.
Aujourd’hui il ne me verra pas, à moins que je reste au lit, le gode non plus dans mon con, mais dans mon cul. Je suis plus longue à jouir par ce trou. Je mouille bien mon anus avec la cyprine qui coule de ma chatte. Je caresse l’espace entre les deux endroits qui me font jouir, séparés par peu. Je lèche le gode un instant : ce qui me permet d’avoie mon gout dans la bouche : c’est agréable d’avoir le parfum de ma chatte sur ma langue, à défaut de sperme.


Je me mets en levrette, ma position favorite, pour lentement entrer dans mon rectum. Je me suis tellement mouillée que l’ersatz de bite entre plus facilement. J’ai le sphincter élargi comme toujours. Je m’e sodomise selon mes besoins. Je fais aller rapidement l’engin dans le cul. Je suis à mi chemin de l’orgasme quand j’ai un besoin impérieux de me baiser à nouveau.
Je sors le gode pour le mettre encore dans mon puits. Je me sers de la main droite pour les allers et venues. Il me faut quelque chose dans le cul, alors, j’y mets mon index. C’est plus agréable que le con uniquement. Ce n’est pas du libertinage, comme aime ma main, c’est de l’autosatisfaction.
Je pars en poussant un grand cri : je jouis longuement. Je repense à Michel, mon mari. Tant pis, je laisse le lit défait, le gode juste posé, je m’enroule dans le foulard. Je me regarde dans le grand miroir, je me sens à croquer.
Enfin il arrive. Il me voit ainsi, peu vêtue prête à me sacrifier à sa queue. Son baiser profond me fait fondre. J’avais envie de baiser, je m’étais contentée, pas assez puisque j’ai envie de lui. Tant pis pour le repas.
Il me caresse à travers l’invite du foulard. Je pensais qu’il allait me peloter avant de me baiser. Il pose sa main directement sur mon sexe : j’écarte les jambes gourmandes de sa caresse.
Je fais glisser le foulard pour être nue. Lui est encore habillé, même si je sens sa bite bander. Je n’ose même pas la lui sortir. Je le laisse maître de la situation. Je vais tout contre lui, il en profite pour mettre ses mains aux fesses. J’aime bien quand il commence ainsi : il va me mettre ses doigts au cul. Je ne suis pas exigeante, qu’il en mette un seul me suffit, mais qu’il le mette. Il me tarde.
C’est bien ce qu’il fait : il est long pour venir là où je l’attends. Il lui faut passer lentement entre mes fesses que j’écarte bien pourtant. Je peux lui enlever la veste et la chemise. Je défais la ceinture et le premier bouton. Sa fermeture éclair résiste un court instant.
Quand je la descends complètement le pantalon tombe sur ses pieds. Maintenant je sens bien sa bite contre mon ventre. Il bande bien. Qu’est-ce qu’il va me mettre. Il me tarde maintenant qu’il a entré son doigt : mon cul s’est dilaté tout seul. Je le sens entrer, me faire du bien, avant d’aller et venir comme une petite bite.
Je cherche bien à faire sortir sa bite : il est tellement collé contre moi que je ne peux pas, alors je me venge en passant par derrière son slip. J’écarte le tissu pour que ma main soit sur sa fesse. Je passe maintenant dans sa raie. C’est facile pour moi de trouver son rectum. Comme toujours il me laisse entrer. Nos deux doigts ont la même cadence, hors des sentiers battus. Ce doit être rare un couple dont les membres branlent le cul de l’autre en même temps.
J’ai envie de lui, il a envie de moi, sa bite le prouve. En tout cas il veut jouir, comme moi qui pourtant me suis faite jouir plusieurs fois depuis mon réveil.
Le premier corps à corps et fini. Nos bouches n’en pouvaient plus du long baiser. C’est dans la chambre que notre jeu va continuer.
Michel me couche sur le lit :
- Tu t’es branlée ?
- Oui, tout à l’heure je me suis même enculée en moment.
- Tu as jouis ?
- Oui.
- Tu as bien fais.
- Si tu veux je recommence.
- Non après.
J’écarte les jambes avant même qu’il ait manifesté son besoin de mon corps. Je pensais avoir une bite, je n’ai droit qu’à se langue. Il sait bien me sucer. Il commence toujours de la même façon que l’aime, puisque c’est moi qui au tout début le lui ai demandé. Mon anus ouvre le bal quand il passe rapidement dessus. Ensuite c’est au tour de mon con. Où il entre vite fait. Le summum est quand il est sur mon bouton. Je serre les dents pour ne pas crier mon bonheur. Sa langue sur mon clitoris. C’est meilleur que le jet de la douche. Je ressens les plaisir monter doucement d’abord puis ensuite un éclair d’orgasme qui monte, monte jusqu’au moment où je ne peux me retenir en jouissant.
Mon sexe est en ébullition, mon corps est tendu et ma gorge lâche un grand cri : JE JOUIS.
- Tu veux qu’on fasse un 69 maintenant ou après.
- Maintenant, donne-moi ta queue.
Il se tourne pour se mettre sur moi. Mes seins sont écrasés sous lui. Je prends toute sa bute dans la bouche. Je suis mal placée pour le sucer convenablement. Nous tournons sur nous même. Enfin je suis sur lui, je reprends sa bite dans la bouche : enfin je déguste et son odeur forte et son gout délicat. Je dégage son prépuce pour le faire descendre avec ma bouche. Je lèche le gland un bon moment. Je ne me lasse pas de cette faveur.
Lui fait courir sa langue partout. Il retourne souvent sur mon cul. Il y entre un peu sa langue. La vache, il me fait jouir du cul. Dès qu’il sent que mon orgasme est passé, il vient sur mon puits : il connait l’endroit plus rugueux qui me donne tant de plaisir. A chaque orgasme je mordille sa pine. Je dois faire plus que la mordiller puisqu’il me gronde parfois.
J’ai le dernier mot quand, avant de le faire jouir, j’entre deux doigts dans le cul tout près de ma bouche. Je peux voir son anus s’écarter pendant que je l’encule légèrement. Il jouit dans ma bouche. J’avale lentement ce qu’il me donne : du petit lait, même si c’est épais.
Je garde sa bite pour qu’il ne débande pas. C’Est-ce qu’il fait en venant sur moi. Cette fois ça y est j’ai droit à sa queue dans le ventre. Il est plus gros que le gode, alors il entre avec précautions. Que c’est bon de le sentir venir dans ma chatte. Je pose mes jambes sur son dos. Il m’a à sa discrétion, il peut faire de moi ce qu’il veut, même me vendre sur le marché des esclaves.
C’est bon de se faire baiser. C’est bon de le sentir dans mon ventre qui s’ouvre. Je mouille sans arrêt, à croire qu’il a ouvert un robinet. Je le sens durcis : il va jouir. Moi, je suis prête au grand départ vers le 7° ciel/
Nous nous envolons tous les deux à la fois. Finalement rien ne faut la baise en couple uni par une bonne bite.

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