Message Surprise : Enfin La Fin De La Suite À La Suite...

Mike Lecorre a toujours été attiré par les femmes plutôt petites dotées d'un joli visage volontaire et d'un corps souple et nerveux aux formes bien fermes. Son expérience lui a appris qu'outre leur sourire avenant et leur regard pétillant, elles possèdent une sensualité sans fard et une nature ouverte et curieuse. Et il ne s'était pas trompé lorsqu'il avait séduit Mina avant de l'attirer dans son lit. Ce qui avait confirmé son opinion que contrairement aux parisiennes blasées, ces petites provinciales sont pleines de spontanéité et ne refusent jamais d'ouvrir tous leurs orifices à un amant de passage pour peu qu'il sache les faire vibrer comme elles l'espèrent lorsqu'elles acceptent de le suivre.

Il est vrai que les gémissements lascifs poussés par Mina une bonne partie de cette nuit éreintante laissaient peu de doute sur le plaisir qu'elle avait éprouvé lors de ses étreintes débridées avec Mike.

La télévision réglée sur le canal de CNN venait de s'allumer. Mike qui avait programmé l'appareil la veille pour une mise en fonction à 6h45 ouvrit l'oeil.
À ses côtés, Mina la jolie toulousaine brune qu'il avait séduite deux jours plus tôt dormait profondément. En palpant son membre viril fièrement tendu comme chaque matin, l'homme se remémora avec un sourire satisfait les circonstances qui avaient amené la jeune femme à partager sa couche.

Lorsque Mina émergea à son tour, il était un peu plus de 7:30. Attirée par l'odeur du café qui caressait ses narines délicates, elle enroula son joli corps dénudé dans le drap du grand lit avant de rejoindre Mike qui sirotait doucement le contenu de sa tasse le dos calé contre le plan de travail de la cuisine. Mina était venue à Paris pour suivre une formation d'une semaine en rapport avec sa fonction de chef de projet informatique.
Et alors qu'elle cherchait la ligne de métro qui devait la conduire jusqu'au deux pièces de sa cousine installée à Chatillon , elle avait croisé Mike qui lui avait gentiment proposé de porter sa valise et de boire un verre en sa compagnie avant qu'elle rejoigne son lieu d'hébergement.

Après une heure passée à rire et parler avec le séduisant canadien, Mina avait préféré renoncer au petit canapé gentiment mis à disposition par sa cousine banlieusarde pour accepter l'invitation de Mike à le suivre dans son loft parisien. Elle reconnut après coup que le lit king size qui meublait la chambre était sans aucun doute bien plus confortable que la couche prévue de longue date même si elle n'y dormit somme toute que quelques heures préférant à un sommeil réparateur les ébats sans tabou avec son beau canadien.

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En voyant la musculature harmonieusement dessinée de son amant nu dont le sexe imposant se balançait au gré de ses mouvements, Mina sentit à nouveau sa chatte s'humidifier. Elle disposait d'un peu moins d'une heure avant de quitter l'appartement pour se rendre au centre de formation. C'était largement suffisant pour une étreinte improvisée et elle comprit que Mike partageait son point de vue en contemplant l'épaisse tige noueuse qui se dressait lentement vers le soleil levant. Les voisins qui avaient fini par trouver le soleil après le dernier coït nocturne des deux amants maudirent un peu plus ces touristes sans gêne qui remettaient le couvert à l'aube faisant fi de toute discrétion alors qu'ils leur avaient déjà fait subir les cris de plaisir de la jeune femme pendant une bonne partie de la nuit.

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Installés autour de la grande table de conférence d'un salon discret d'un palace viennois, une douzaine d'hommes faisaient face à l'écran géant sur lequel venait d'apparaître Mike Lecorre, le CEO de Special Advice Consultings (S.A.C.), la très discrète société qu'il avait créé une dizaine d'années plus tôt.

À l'instar des Google et autre Facebook, le canadien, cybercriminel talentueux, expert en arts martiaux et disciple du Dieu dollar avait identifié très tôt la valeur potentielle des données (les fameuses datas) pour celui qui serait en mesure de les collecter et de les traiter efficacement.
Toutefois contrairement à celui des GAFA, son modèle économique n'est pas basé sur une infinité de clients générant chacun un minuscule profit, mais inversement sur le méga profit généré par un nombre extrêmement réduit de clients dûment sélectionnés.

Du luxueux loft parisien qu'il avait loué sur Airbnb pour un mois, Mike ne pouvait voir que son interlocuteur direct, John Doe, le conseiller spécial auprès du CEO d'une des plus grandes sociétés pétrolières mondiales, dont le visage venait d'apparaitre sur l'écran de son MacBook.
Les autres participants à la réunion tenaient à rester anonymes.
Il est vrai qu'il y avait du beau monde dans ce salon situé à quelques kilomètres à peine du siège de l'OPEP: un prince moyen oriental, un fils d'émir, le Secrétaire général d'un sultanat, un général russe, un vice-ministre africain, et une demi-douzaine de hauts dirigeants des principales majors occidentales.

John Doe salua Mike puis il s'assura de l'attention de l'Assemblée avant de lancer la réunion en fixant la caméra dirigée vers lui.
- Félicitations Mike commença-t-il en s'adressant au canadien, il semblerait que vous ayez fouttu un sacré bordel chez Acutek.
- C'est bien ce que vous attendiez lorsque vous avez accepté mon offre de services n'est ce pas ? Et puis ça nous a permis de découvrir que votre petit groupe n'était pas le seul à s'intéresser à l'activité de cette entreprise française.

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Avant d'autoriser son interlocuteur à rejoindre la visio conférence, John Doe avait tenu à débuter la réunion par une introduction détaillée dont le but était de rappeler aux membres de l'Assemblée présente les raisons qui les avaient amenés à se retrouver dans le salon du palace viennois.

Les invités étaient arrivés entre une heure et une demi heure plus tôt pour profiter du copieux petit déjeuner servi
par d'accortes jeunes femmes blondes en mini jupes et talons aiguille.
L'organisateur de la conférence s'était vu attribuer un budget conséquent pour recevoir au mieux les VIP présents ce matin là.

Ainsi, avant d'accéder au salon, chacun d'eux avait reçu la clef d'une chambre du palace dans laquelle il était invité à se retirer à la fin de la réunion.
Puis, tout en dégustant les jus de fruits et les viennoiseries mises à disposition, chaque bénéficiaire avait pu choisir l'hôtesse qui partagerait son lit à ce moment là.

Le fils de l'émir avait profité de l'absence de culotte des magnifiques aryennes présentes pour vérifier avec ses doigts épais la largeur de leur fourreau intime. Il ne souhaitait pas que la femme avec laquelle il espérait passer un bon moment s'enfuie épouvantée après avoir découvert ses attributs virils comme cela lui était arrivé quelques semaines plus tôt lors de son dernier séjour à Bangkok.

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Lorsque tous les auditeurs eurent rejoint leur chaise, John Doe entama donc son discours d'introduction:
- Comme vous le savez, M. Lecorre a constitué au fil des années une base de données intégrant les informations de centaines de milliers d'entreprises réparties tout autour de la planète.
Et aucun événement affectant une des sociétés répertoriées n'échappe aux robots logiciels qui balaient inlassablement toutes les sources d'informations disponibles qu'elles soient officielles, commerciales ou privées, voire illégales puisque les liens disponibles sur le dark web sont eux aussi analysés par les ordinateurs de Monsieur Lecorre.
Les logiciels embarqués dans ces machines sont en outre capables d'identifier les relations croisées entre tous les décideurs des entreprises répertoriées en y intégrant de surcroît leur cercle proche.

Par exemple, si la meilleure amie de la fille du directeur financier d'une société cotée en bourse a des échanges réguliers avec le neveu d'un lieutenant d'un cartel colombien, les équipes de M. Lecorre seront en mesure de fournir l'information pour peu que quelqu'un soit prêt à payer pour l'obtenir.

Les serveurs de S. A. C. implantés dans un data center ultra sécurisé dont même la NSA ignore la localisation, compilent chaque jour des millions de données. De temps à autre les algorithmes mis au point par les experts payés à prix d'or par Monsieur lecorre émettent une alerte sur une société en passe de produire une technologie disruptive et donc susceptible de révolutionner des pans entiers de l'industrie.

Comme vous le savez, il y a un peu plus de trois mois un message automatique s'est affiché sur l'écran d'ordinateur de Monsieur Lecorre indiquant que dans une zone industrielle quelque part en Europe, une entreprise - à laquelle Mike attribua aussitôt le nom de Code Maxwell (physicien anglais à l'origine des lois fondamentales de l'électromagnétisme) - avait une probabilité de 87% de produire avant 15 mois un système de stockage de l'electricité 5 fois plus performant que la meilleure technologie ion lithium actuelle.

Lecorre sait bien que la valeur d'une information est inversement proportionnelle au nombre de personnes qui en disposent. C'est pourquoi il reste toujours le plus évasif possible lorsqu'il contacte ses prospects attendant que le client ait misé avant de dévoiler son jeu.
En effet, pour Special Advice Computing, la chose à éviter en priorité est que le chaland puisse accéder seul à l'information à partir des bribes fournies pour l'appâter.

Lecorre s'est bien sûr interrogé pour identifier le bénéficiaire de cette information, potentiellement le plus rentable pour ses finances car sa société a, vous l'avez compris, d'énormes frais d'exploitation et de ce fait d'énormes besoins de liquidités.
La réponse était simple: Quel groupe économique extrêmement riche et puissant aurait le plus à perdre si les batteries miracles de la société Acutek étaient effectivement produites industriellement. Monsieur Lecorre a logiquement conclu que notre petit Comité constituait la cible idéale.

John Doe saisit une tablette tactile avant de s'adresser à nouveau à l'assistance.

- Si vous le permettez, je vais donc maintenant appeler Monsieur Lecorre qui va lui même vous exposer par écran interposé la manière dont il a décidé de traiter notre problème.

Le Canadien au visage volontaire apparut alors sur le gigantesque téléviseur fixé au mur du salon. Il était vêtu d'un simple polo Lacoste qui permettait de se faire une idée de sa musculature savamment entretenue.
Maîtrisant parfaitement les outils bureautiques, Mike avait preparé pour son auditoire une présentation PowerPoint richement illustrée avec divers media fournis expressément par les prestataires de S.A.C.

- Petit retour en arrière, commença le Canadien. Lorsque j'ai contacté Monsieur John Doe la première fois, je lui ai fait part du risque potentiel pour vos entreprises à laisser la société que mon équipe a identifiée continuer sa route vers la mise au point d'une technologie potentiellement destructrice pour vos ressources financières.
Les échanges fructueux que j'ai eu à l'époque avec votre représentant nous ont permis de déterminer un tarif qui peut sembler a priori prohibitif à certains d'entre vous mais qui est finalement bien modeste en comparaison des dizaines de milliards de dollars de bénéfices annuels que la technologie en question pourrait mettre en péril.
En contrepartie, je me suis bien sûr engagé à repousser le problème qui nous concerne aujourd'hui sinon définitivement mais au moins jusqu'à une échéance qui vous permettra d'affronter l'avenir avec tous les atouts en main.

Lecorre se servit un verre de Vittel avant de reprendre son exposé.

- Si vous le permettez, nous allons maintenant nous intéresser d'un peu plus prêt à l'objet de nos tourments : la société française acutek implantée au pied des Alpes françaises non loin de la ville de Lyon.

Vous pensez bien que dès que nos serveurs ont émis une alerte sur cette entreprise inconnue du grand public, nous nous sommes lancés dans une analyse minutieuse de son écosystème.
Dans un premier temps, nous nous sommes efs de démonter les structures opaques qui contrôlent de près ou de loin le capital d'Acutek et nous avons compris assez rapidement qu'un groupe mafieux dénommé l'Organisation avait réussi à placer ses pions.

- Il se trouve que nous suivons avec attention depuis plusieurs années, les activités de l'Organisation et certains de ses collaborateurs sont prêts à nous renseigner ponctuellement moyennant rétribution. Ces sources nous ont ainsi appris que Monsieur B. le directeur général d'Acutek était un membre de l'Organisation.
La photo de B. paradant sur un yacht luxueux aux côtés d'une jeune femme brune en monokini apparut à l'écran avant que Mike poursuive son exposé.

- Diplômé de prestigieuses écoles, B. a toute légitimité pour diriger des entreprises mais son goût immodéré pour les bourgeoises blanches aux formes avantageuses lui fait parfois commettre de regrettables erreurs.
Ainsi Il y a quelques semaines, il n'a pu s'empêcher de séduire Stéphanie Gaillard l'épouse du directeur technique d'Acutek.
La photo de Robert arborant une paire de lunettes de soleil les cheveux au vent enserrant la taille une jolie femme aux avantages plantureux apparut à son tour sur l'écran.

Monsieur Gaillard est l'ingénieur à l'origine du projet de batterie révolutionnaire qu'Acutek développe actuellement. C'est un chimiste visionnaire pragmatique et extrêmement astucieux doublé d'un meneur d'hommes Hors pair.
Sans lui la batterie en cours de mise au point chez acutek ne sortira jamais des labos de l'entreprise.

Cette première analyse de situation nous a ainsi permis d'identifier les personnages clefs à manipuler pour conduire le projet qui menace l'avenir de vos entreprises sur la voie qui vous semblera la plus judicieuse.

Partant de ce constat, votre représentant Monsieur Doe m'a laissé carte blanche pour régler le problème.

L'Objectif numéro un était de sortir l'Organisation du jeu. La solution mise en œuvre à consisté à révéler au gouvernement français les liens entre B. et le groupe mafieux. C'est là que les contacts dont dispose ma société se sont avérés très utiles:
D'abord un de ces informateurs membre de l'Organisation m'a fait part du déplacement à Lyon d'un négociateur du groupe mafieux pour rencontrer B. le patron d'Acutek.
j'ai transmis à mon tour cette information à mon contact au consulat américain à Paris en lui demandant de prévenir le renseignement français de la venue de cet intermédiaire.
Les services français ont naturellement mis sous surveillance le dit intermédiaire dès qu'il a débarqué de son vol à Roissy. Ce qui les à conduits à assister discrètement à sa rencontre avec Monsieur B. dans un bar de Lyon.
Monsieur B. désormais identifié comme sous-marin de l'Organisation fait désormais l'objet d'une surveillance poussée par les Français. En effet, avant de le coffrer, ils espèrent qu'il les mènera vers ses complices et qu'il pourront ainsi mettre tout le réseau Hors d'État de nuire.

Mike lecorre se servit un second verre de Vittel avant de poursuivre sa démonstration.

L'Objectif numéro deux de ma mission est celui qui vous intéresse en premier lieu. Il s'agit de porter un coup d'arrêt à la mise au point des prototypes en cours de développement chez Acutek. Pour l'instant, nous focalisons nos actions sur la désorganisation de l'entreprise et la mise hors service des ressources nécessaires à l'aboutissement du projet.

Robert Gaillard est évidemment le maillon essentiel et nous travaillons pour qu'il devienne le maillon faible. L'objectif final étant de rendre l'ingénieur inapte à poursuivre son oeuvre.
Nous avons d'ailleurs reçu l'aide inattendue et involontaire de Monsieur B. lorsque notre prestataire chargé de surveiller ses agissements a découvert sa liaison avec la femme de Robert Gaillard.
En effet, la psychologie des hommes comme B. est facile à cerner. Ce sont des collectionneurs qui aiment conserver un souvenir de chacune de leurs conquêtes. Et de nos jours, le souvenir le plus simple à obtenir d'une femme séduite est la sextape. Mon prestataire a donc dérobé le portable de B. espérant qu'il contiendrait effectivement du matériel exploitable. Il a ensuite transmis à mes techniciens le contenu de la mémoire que nous avons soumis à nos algorithmes de déchiffrement pour obtenir une magnifique vidéo de Stéphanie Gaillard faisant une gorge profonde à son amant.

Nous avons bien entendu aussitôt envoyé cette vidéo sur le portable personnel de Robert Gaillard poursuivit Lecorre alors qu'un extrait du film apparaîssait sur la présentation.
Comme vous pouvez l'imaginer, monsieur Gaillard est bien entendu très affecté par l'infidélité de sa femme et ses performances professionnelles vont ment en subir les conséquences.

La présentation disparut alors de l'écran laissant la place au visage du narrateur.
- Voilà où nous en sommes aujourd'hui.
Mais bien sûr, nous avons dans notre besace bien d'autres moyens de nuire à Gaillard et à son équipe.
Nous pourrons les mettre en oeuvre dès que nous aurons trouvé un accord commercial satisfaisant pour nos deux parties ajouta Mike avant de conclure:
- L'avenir d'Acutek dépend désormais des décisions que va prendre le groupement que vous représentez.

- Je vous remercie Mike pour cette présentation très instructive déclara alors John Doe avant de se tourner vers l'assistance.

- En effet messieurs, tout comme l'Organisation nous souhaitons nous aussi la faillite d'Acutek. Néanmoins nos objectifs divergent notablement.
Notre petit Comité doit désormais décider s'il est opportun de laisser une chance à leur technologie d'aboutir pour nous l'approprier ensuite ou s'il est préférable d' le bébé dans l'oeuf.
- que craignez vous? Intervint alors Mike.
- d'ouvrir la boîte de Pandore. Les risques de fuite sont énormes. Et ce n'est pas un expert en cybercriminalité qui me dira le contraire. Si jamais cette technologie sort trop tôt, la valeur de nos entreprises fondra comme neige au soleil parce que le pétrole ne vaudra plus rien.

- D'un autre côté, reprit le conseiller spécial auprès avoir bu un verre d'eau, nous savons bien qu'Acutek n'est pas la seule société à travailler sur le développement d'une batterie fiable à forte densité de stockage. Mais les autres mettront plusieurs années pour aboutir.
Si on n'intervient pas, Acutek pourrait commercialiser ses premiers modèles dans moins d'un an. Bien sûr l'entreprise sera incapable de fournir les clients à grande échelle mais tous les milliardaires de la silicon Valley ou d'ailleurs n'hésiteront pas à dépenser des centaines de millions de dollars pour acquérir les droits de fabrication et construire les infrastructures de production adéquates.
Sans compter avec les chinois qui ne tarderont pas à copier la technologie et à fabriquer rapidement des millions de batteries pour équiper leurs véhicules et leurs usines. Et bien sûr à arroser l'Occident avec leur pétrole dont ils n'auront alors plus besoin.

Dans quelques années l'offre sera alors suffisante mais les actions de nos entreprises et surtout les fabuleuses réserves que nous contrôlons ne vaudront plus rien bien avant.

Après un silence, John Doe se tourna à nouveau vers la caméra avant de s'adresser à Mike Lecorre pour la dernière fois de la matinée.

- Chacun des éminents correspondants ici présents va communiquer à ses responsables les informations que vous venez de nous transmettre.
Avant la fin de la semaine, notre petit comité aura décidé de l'avenir d'Acutek et nous reviendrons alors vers vous pour vous faire part de cette décision et définir avec vous ses modalités de mise en oeuvre.

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Abdallah, le fils de l'Émir était allongé entièrement nu sur le lit gigantesque de la suite 47 du palace viennois.
Sa main aux longs doigts boudinés enserrait la base de son sexe si massif qu'il ployait sous son propre poids.
Tatiana belle blonde charpentée d'un mètre 80 faisait face au dignitaire moyen oriental juchée sur ses talons aiguilles avec comme seule parure une fine chaîne dorée fixée au de ses larges hanches.
Son mont de vénus luisant de cyprine trahissait son impatience à accueillir au plus profond de son intimité le plus gros membre viril qu'elle ait croisée dans toute sa carrière d'escort de luxe.
Abdallah avait donc deux raisons de se réjouir: la Walkyrie qui s'avançait vers lui ne semblait pas le moins du monde effrayée par son engin éléphantesque et la manne des pétrodollars qui lui permettait de vivre grand train n'était pas encore près de se tarir.