Eté Chaud
On courait comme des fous. Il m'a plaqué au sol, gentillement, et m'a embrassé.
-Si on faisait l'amour ? dit-il.
-Ici ? Maintenant ?
-Oui pourquoi pas.
-Alors viens je connais un endroit.
Je le pris par la main et l'ai entraîné derrière une haie. Il m'a déboutonné le chemisier et j'ai enlevé son pantalon.
Il lécha ma poitrine tout en déboutonnant mon short. Mon corps était brulant dexcitation, le désir me faisait perdre la tête. En passant mes mains sous son boxer, son sexe était long, épais, tendu. Je mourrais denvie quil me pénètre immédiatement mais il semblait vouloir jouer un peu plus longtemps.
Je descendis entre ses cuisses. Je jouais un petit moment avec sa bite, la léchant délicatement avant de la mettre entière dans ma bouche. Il gémissait comme un animal :
- « Hmmmm, continue mon amour, continue ».
Jaccélérais le rythme. Je savourais chaque parcelle de sa bite, jamais je navais autant aimé sucer. Son pénis descendait au fond de ma gorge, ce qui aurait pu être assez désagréable mais jaimais ça, jen redemandais.
Son cuni fut rapide mais intense. Il caressa longuement mon clito puis me pénétra. Il fut dabord doux, tendre, ses allers et retours étaient lents ce qui doublaient mon plaisir. Je gémissais de plus en plus fort. Puis il devint plus brutal, ses coups de hanches se faisaient plus bestiaux. Mes seins sautaient sous ses coups de bite et il appréciait la vue. Il agrippa mes hanches pour contrôler un peu plus la vitesse. Il me baisait admirablement. Jétais sa proie, son objet
Il mavait voulu et il mavait eu sans grande peine. Il profitait maintenant de sa victoire, heureux de voir un corps de jeune fille soffrir à lui.
Je me mis à califourchon sur lui. Il saisit mes seins dans ses mains, se délectant de mes tétons durcis. Il me donna quelques fessées en gémissant des mots crus ce qui accéléra mon orgasme. Il ma fit jouir. Il me regardait jouir avec fascination et excitation, se délectant de mes gémissements.
-Elisa ? Gérard ?
Marie ! On l'avait complètement oubliée. On devait être rentrés à la villa pour 16 heure.
-On a fait l'amour aussi longtemps ? dit ironiquement Gérard.
On s'est habillés la va-vite. Quand je me suis apprêtée à sortir de la haie, Gérard m'a retenu.
-Tu n'oublie pas quelque chose ?
Il m'embrassa. C'est ça que j'aime chez Gérard.
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