Sylvie Réalise Mon Rêve 2
Le lendemain je partis au boulot, elle ne travaillant pas, je la laissais endormie, nue dans les draps en me demandant, quand même jusquou elle accepterait daller.
Je croisais F en partant et lui racontait tout cela, il semblait fier de lui me félicitant quelle avale le foutre, cétait la première fois pour lui (même sa femme ne voulait pas le sucer !) et me dit quil allait soccuper delle aujourdhui, « lui en faire encore « connaitre » ! » si je voulais bien.
Je lui donnais mon accord en précisant quil fasse attention à ne pas trop la choquer, pas trop dhommes
au début !
Je revins le soir vers 18h00.
Elle mattendait allongée sur le canapé, toujours avec sa petite robe mettant en valeur ce corps splendide que je désirais voir jouir entre les mains dautres hommes que moi. Elle était étendue devant la télé. Elle se précipita pour membrasser. Je la trouvais chaude avec un drôle de parfum.
Elle me dit :
-Si tu savais quelle journée jai vécu !
-Raconte moi tout lui dis-je !
-Bah voila :
-Je terminais ma toilette dans la salle de bain vers 11h00 et jentends frapper à la porte. Je passe ma sortie de bain et allait ouvrir. Cétait F, il entra et directement il me prit le visage dans ses mains, il appliqua sa grosse bouche, qui sentait déjà la bière, sur la mienne que jouvris, surprise. Dun seul coup, je me souvins de la journée dhier, le plaisir quil mavait donné, les odeurs, le goût de son sperme acide et dans un tourbillon jai eu envie de recommencer. Je me souvenais aussi de votre marché et jai eu un pincement au cur - Quallait til me faire faire ?
Après il a écarté ma sortie de bain il a prit mes seins et sest mit à pincer les bouts et les tordre.
Je retrouvais sa brutalité avec un certain plaisir mais il ma fait vraiment mal! Dit telle avec un sourire.
-Viens là-haut ! Ma-t-il dit.
Je ne dis rien et montais devant lui. La tête me tournait, je mouillais malgré moi !
Devant le lit il me retira ma sortie de bain.
-Allonges toi !
Je mallongeais.
Il sortit un appareil photo dun sac quil avait amené et le posa sur le lit.
-Ecarte les cuisses salope.
Je nosais pas, alors il me saisit par les genoux et me les écarta en grand.
Et il se mit à coté de moi et caressa ma chatte déjà mouillée dêtre seule avec lui. Il lécha ses doigts :
-Tes bonne dis donc !!
Il prit lappareil et me prit en photo allongée, la chatte en gros plan.
Je lui dis :
-Non pas ça, pas de photo. Quest ce que tu vas en faire ?
En prenant encore dautres il me dit en rigolant :
-Cest pour les copains, quils voient la belle nana que je me fais !! Allez sourit et ouvre la bouche ça leur plaira !
Jétais déjà soumise à ses ordres qui devenaient mes désirs !
-Tourne toi, montre ton cul.
Je fis ce quil me dit, excitée comme je nai jamais été de moffrir nue aux regards dhommes que je ne connaissais pas !
Il me dit :
-Allez, ouvre toi, écarte ta chatte je vais leur montrer les photos avant de te les présenter, tu verras il y en a deux qui sont vicieux comme pas possible et un qui est très spécial!
Je dû prendre différentes pauses cochonne, allant même jusquà écarter mes fesses pour montrer mon trou du cul! Je ne métais jamais sentie aussi salope, prête à tout !
Je mouillais!
F le sentit et me donnant une claque sur une fesse me dit :
-Allez salope sur le dos !
Je me retournais et jécartais les cuisses, la chatte offerte. Je devais avoir lair dune pute ! Mais je men moquais ! La tête me tourna et je ne pensais plus quau plaisir de mon corps !
Il se pencha sur moi et me lécha la chatte. Je me tordis de plaisir de sentir sa langue et jai écarté les cuisses encore plus, complètement écartelée devant lui !
-Hum tu es toute propre tu sens bon, tiens je vais te faire plaisir.
Il introduisit deux doigts dun seul coup sans difficultés dans ma chatte baveuse.
Il écarta les doigts en les faisant aller et venir violemment. Je tremblais entre écoeurement et envie de le sentir menvahir. Il en profita pour réunir tous ses doigts en faisceau et appuya fortement, je me tordis de douleur, je sentais quil mécartelait.
-Non pas ça ! Lui dis-je
-Mais si, tu aimes ! Allez détends toi laisse moi entrer !
Il redoubla de force pour essayer dintroduire tous ses doigts. Je sentais quil avançait en moi. Je souffrais mais jespérais quil narrête pas !
-Allez jy arrive presque ! Pousse !
Et je criais :
-Oui vas y, défonce moi. Plus fort ! Je suis ta chienne fais de moi ce que tu veux !
Je me tordais sur le lit. Je sentais mes seins remuer en tous sens. Il en a prit un avec son autre main et il ma pincé et tordu le mamelon. La douleur intense me fit hurler.
Et je jouis dans un sursaut, en me tendant sur le dos, presque à mévanouir !
Il retira sa main, je restai pantelante sur le lit, les jambes écartées, la vulve ouverte devant lui.
Il repris des photos de ma chatte grande ouverte.
-Ca tas fait plaisir dis donc ! Quest ce que tu as jouis ma salope!
Il me caressa tout le corps, lentement, doucement comme pour me calmer. Jétais bien, essoufflée, encore mal au sein et à ma vulve malmenée, toujours allongée les cuisses grandes ouvertes, soumise à ses désirs.
-Tu as vraiment un corps splendide dit til en agaçant mon anus dun doigt.
-Je ferais tout ce que tu veux ! Et je lui sautais au cou pour lembrasser, même lui lécher la figure ! Sa sueur était salée.
Il introduit lentement son doigt dans mon anus. Je gémis un peu, naimant pas trop cela.
Il le retira et me dit :
- Allez remet ta petite robe et viens chez moi !
Je me levais et enfilai cette robe, sans rien dessous ! Je nen revenais pas de mon audace mais voulait lui faire plaisir, jétais prête à tout !
A lextérieur, je me sentis plus nue que nue. Nous croisâmes le jeune Fabien (18 ans !) Qui nous dit bonjour, jai eue limpression quil me regardait bizarrement.
- Tu sais, on voit tes seins à travers et je suis sur quil ta vu toute nue hier dans le jardin ! Lui dis-je.
- Ah ! Je comprends, cest pour ça ! Il a du y penser toute la journée !
Et elle sourit, pensive. Je me demandais ce que cela cachait !
- Salope !
- Enfin ! dit telle, arrivés chez lui il y avait un homme dans un fauteuil, tiens toi bien ; lautre abruti de M, tu sais son « grand copain de beuveries » (voisin, avec qui on sétait déjà engueulé) Jai failli repartir en courant, je savais ce que vous aviez décidé pour moi et jai eu peur.
F me poussa dans la pièce vers lui et passant derrière moi ferma la porte à clef. Jétais prisonnière !
Il immobilisa mes bras dans mon dos et dit :
-Voila Sylvie, la femme de D. Vous vous connaissez, je crois.
Regardes-moi ce beau petit lot ! Je viens de la chauffer chez elle, et avec laccord de son mari elle va nous donner du plaisir.
Je rougis de honte, la bouche sèche de peur des suites de ma présence ici.
Il me poussa vers lui :
-Dis bonjour à mon pote.
Et il est venu membrasser, sagement sur les joues !
F me dit de masseoir sur le canapé en face de lui, ce que je fis en faisant attention à ce que ma robe ne remonte pas trop sur mes cuisses, comme je navais pas de culotte jai fais gaffe !!!
Il alla me servir un whisky sans me le demander et se trouvant derrière le fauteuil de M il me fit un signe des mains, les écartant, ce que je compris de suite. Cest comme toi tu fais pour me dire décarter les cuisses devant un copain !
Jai écarté un peu mes jambes, cet homme ne me plaisait pas du tout et jespérais pouvoir trouver un moyen de me défiler mais non, F insistait et lautre avait son regard sur moi comme pour me voir nue!!
Alors jobéi et jai entrouvert les cuisses, comme quand tu me lordonne et ils a vu ma chatte.
Jétais verte de trouille !
F est venu à coté de moi, ma donné mon verre et, en discutant a posé une main sur ma cuisse en remontant vers mon ventre en repoussant lentement ma robe et me forçant à mouvrir encore plus ! Le désir de sentir de nouveau ses doigts dans ma chatte est revenu et tout sembrouilla dans ma tête, je chavirai
Quand il est arrivé en haut javais les jambes écartées à 90 degrés !, Lautre voyait ma chatte en gros plan ! jai senti enfin ses doigts sur mon bouton sensible alors jai eu comme un choc, jai frissonné et je ne pus me retenir de me tortiller, tendant le ventre vers sa main, écartant complètement les cuisses en sentant ses doigts agacer lentrée de mon vagin!
Il sarrêta de discuter et se tourna vers moi, M .
F me prit la tête et membrassa à pleine bouche !
Je ne savais plus quoi faire, excitée, prête à tout pour assouvir mon désir, pour la première fois comme ça, comme une salope. Jétais chaude, brulante, le souffle court, comme dans un rêve ! Javais envie de jouir encore et encore !!!
F dit à son copain:
-Amènes toi!
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