Damien 71 - La Vie Commune

Dès mon dernier jour de travail en entreprise terminé, je pris quelques jours de vacances.
Pierre avait décidé que nous irions passer une semaine à la montagne pour fêter notre vie commune effective, quand ce jour arriva il m'attendait en bas de l'immeuble où je travaillais avec le camping car qu'il venait d'acheter, je montai et nous prîmes la route.
A la première aire de repos Pierre s'arrêta, je savais pourquoi, c'était pour que je puisse me travestir car la veille il m'avait dit "A partir de demain soir, sauf quand tu seras seule, il faudra que tu t'habilles en femme tu le sais.
- Oui" avais-je répondu d'une petite voix.
Je descendis du véhicule et en profitai pour aller uriner, Pierre en fit autant puis monta avec moi dans la partie caravane, une fois entré il se débraguetta et écarta les jambes, son phénoménal pénis dressé réclamait qu'on s'occupe de lui, je m'agenouillai devant son entrejambe et je me mis à exciter la verge à petits coups de langue, sous mes attouchements le priape démesuré grandit encore, le prenant à la base, je me mis à lui faire une lente fellation.
Sous mes titillations, mon mec creusa les reins pour s'offrir plus encore à mes caresses, au bout de quelques instants de ce traitement Pierre gémit, ses reins se soulevèrent pour venir à ma rencontre, il posa sa main sur ma nuque et rythma le tempo auquel il voulait être sucé.
Une demi-heure plus tard, je sentis la pine tressauter sur ma langue, mon homme plaqua mon visage contre son pubis et éjacula en râlant, je bus sa liqueur avec délice, tout en continuant à flatter sa bite de ma langue.
Quand je me détournai de l'objet de ma dévotion, Pierre me dit en souriant "C'est merveilleux, chaque fois que tu me suces, j'ai l'impression de redécouvrir combien c'est bon d'être dans ta bouche".
Me prenant dans ses bras, il me jeta sur le lit et me déshabilla en un tour de main, à son tour il se dévêtit et se coucha sur moi, sa bouche écrasa ma mienne et il me roula une pelle magistrale qui me laissa pantelant.


Ayant inséré une jambe entre mes cuisses, il me caressait le derrière tout en me mordillant les tétons, des bouffées de désir affluaient de mon bas-ventre, je ne pus réfréner un gémissement, mes mains courraient sur son dos je sentais sur mon ventre son phallus se tendre.
Délaissant ma poitrine, il se leva et écarta mes jambes, sa bouche avide se posa sur l'intérieur de mes cuisses, il se mit à les embrasser et les lécher glissant un doigt entre mes fesses titillant ma rosette, ce contact m'électrisa, un râle de bonheur pulsa de ma gorge.
Mon amant, m'ayant pris à la taille, m'avait relevé et avait glissé un oreiller sous les reins, il éloigna mes deux lobes charnus et sa langue inquisitrice vint darder ma corolle, je tendis mon fessier vers lui.
Sous ses coups de langue et ses attouchement experts, mon sphincter s'ouvrit, j'avais fermé les yeux et savourais le plaisir que mon homme me donnait chaque fois que sa langue ou un de ses doigt déflorait mon petit trou, j'avais le cul brûlant, tout en moi réclamait l'intromission de la superbe verge qui pointait, je suppliais mon mec de me prendre, mais sourd à mes supplications, il continuait de m'exciter.
Entre ses mains, je n'étais plus que désir, chaque fois qu'il me touchait, tout mon corps frémissait, j'avais la raie pleine de salive et mon bassin venait à sa rencontre pour s'offrir plus encore à la douce qu'il m'affligeait.
Soudain, Pierre arrêta et s'étendit sur moi, son priape érigé se glissa entre mes fesses bouillantes et se posta contre mon anus en fusion, d'un petit coup de reins, mon homme introduit son gland turgescent, bien que je sois suffisamment ouvert, le passage de son bout durci fut difficile, je criai quand il écarta mes chairs.
Mon amant s'immobilisa puis se mit à entrer et sortir la fabuleuse tête de son sexe de manière à m'assouplir la pastille, petit à petit mon canal se détendit, alors à ce moment mon mec m'enfessa lentement jusqu'à la garde.
L'intromission fut un délice, quand je sentis ses testicules gonflés de liqueur contre mes fesses, je sus qu'il était en moi entièrement, je nouai mes jambes dans son dos et mes mains sur sa nuque.

Je sentais en moi, le pénis palpiter, une vague de désir m'envahit, je voulais qu'il bouge, qu'il me fasse du bien, je lui dis "Vas-y, défonce-moi".
Prenant appui sur ses avant-bras, Pierre commença à me posséder lentement de toute la longueur de son phallus, le membre puissant sortait presque entièrement de mon tunnel pour replonger complètement jusqu'à la garde la seconde suivante, mon cul était vraiment décontracté et la puissante pine coulissait sans aucune gène entre mes reins.
Sous les assauts répétés de mon amant, le plaisir prit totalement possession de mon être, pour moi seul comptait la hampe qui me forait les reins.
Mon mec avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me besognait avec une régularité de métronome me faisant atteindre le septième ciel, sous ses coups de bite, je planais littéralement, la tête rejetée en arrière, j'étais tout à mon plaisir, je ne vivais plus que pour et par la pine qui me ramonait le prose, je ronronnais de bonheur creusant mes reins chaque fois que la verge tuméfiée se fichait entièrement au fond de mes entrailles.
J'avais de plus en plus de mal à garder le sens des réalités, les lents va et vient de Pierre me rendait fou, j'avais planté mes ongles dans ses épaules musclées et je l'enserrais dans l'étau de mes cuisses, mes hanches roulaient en cadence, venant de plus en plus violemment à la rencontre du phallus qui me bourrait.
A chaque coup de boutoir, je me sentais sombrer, j'avais atteint la plénitude rectale, tout en moi voulait ce sexe, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler, mon homme se mit à me fourrer de plus en plus vite, chaque fois qu'il me pinait je faisais un bond sur le lit, il me cassait le cul avec des "HAN" de bûcheron.
Je ne savais plus depuis de temps il m'enfilait mais je voulais qu'il reste en moi indéfiniment tant cette bite roide me faisait du bien, soudain me prenant aux aisselles, il se leva m'amenant avec lui jusqu'à la table où il me déposa à genoux sans que nos corps ne se détachent, puis debout il se mit à me pilonner l'arrière-train à grands coups de reins.

Ses coups de boutoir répétés me firent perdre la raison, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon rectum, Pierre éjacula en feulant, ses puissants jets de foutre crémeux m'inondèrent le fondement, un orgasme déferlant me foudroya, je tendis mon cul vers la bite qui se vidait en moi pour accen la pénétration, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je m'affalai sur la table, je sentis le pénis sortir de mon canal béant.
Quand je revins à la réalité, Pierre était assis au bord du lit et me regardai en souriant, je descendis de la table et il me dit "C'est comme pour ta bouche ma chérie, ton cul est un don du ciel, faire l'amour avec toi est magnifique.
- Merci mon amour, mais faire l'amour avec toi est merveilleux, je t'aime et je dois tout te donner et plus encore.
- Mais c'est ce que tu fais, tu te donnes entièrement, et en plus tu es vraiment une très grande jouisseuse.
- J'aime le plaisir, j'aime le sexe c'est vrai, mais il faut aussi dire que tu es un baiseur formidable, ta bite est un joyau.
- C'est possible….
- Non c'est vrai, elle est super, elle est grosse, longue parfois j'ai envie de la manger.
- Contentes toi de la sucer, ça suffira AH AH AH !!
- Bien sur, c'était une image.
- J'avais compris ma choutte.
- Bon maintenant je vais me préparer, à moins que tu veuilles encore me prendre.
- Ce n'est pas l'envie qui me manque, mais si on veut être au chalet ce soir, il faut nous remettre en route le plus rapidement possible. Combien de temps te faut-il pour te préparer ?
- Oh a peu près une demi-heure. Comment veux-tu que je m'habille ?
- Bien mais je te fais confiance.
- Bien c'est à dire ?
- Robe habillée, ça te va ?
- Parfait.
- Bon je vais aller faire un petit tour à la cafétéria car si je reste ici je te baise.
- Tu en a le droit.
- Je le sais mais ça ne nous fera pas avancer, après nous aurons toute la nuit, que dis-je toute la vie ma chérie.

- Oui mon amour.
- A tout à l'heure ma petite femme.
- A tout à l'heure mon adoré".
Pierre sortit, je fermai la porte à clé, après avoir pris dans le placard tout ce dont j'avais besoin je m'installai devant la coiffeuse, je pris les fards et crayons et la transformation commença.
Au bout de 35 minutes j'étais prête, légèrement maquillée j'avais mis une perruque blonde, celle que Pierre préférait, j'avais accroché mes faux seins et enfilé un soutient gorge et un mini slip noir, j'avais mis un porte jarretelle et des bas résille, par-dessus je me vêtis d'une robe de cocktail noire, des escarpins, je pris un manteau de fausse fourrure et un sac à mains puis je sortis à mon tour, je retrouvai mon amant à la cafétéria, mon entrée ne passa pas inaperçue, je vis des dizaines d'hommes envieux glisser sur ma silhouette alors que les regards de leurs femmes étaient emplis de haine, je m'assis aux côtés de Pierre et l'embrassai, je lui dis "Je suis venu pour voir si rien ne clochait.
- Non tu es magnifique, tu es vraiment une vraie femme.
- Merci chou.
- Veux-tu boire quelque chose ?
- Non merci.
- Bien alors partons".
Nous nous levâmes et je sortis d'une démarche chaloupée, une fois arrivés près de la voiture, Pierre me plaqua contre la carrosserie et écrasa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris la bouche, nos dents s'entre choquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné qui me laissa pantelant, quand Pierre abandonna ma bouche, j'avais le souffle court et le rouge aux joues, je sentais contre ma hanche le sexe dur de mon homme, je lui dis "Arrête sauvage, tu vas salir mon beau manteau, et maintenant il faut que je me remette du rouge à lèvres, tu as tout mangé.
- C'est toi que j'ai envie de manger.
- Plus tard.
- C'est vrai, tu as raison".

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