La Marraine 1
Ce texte (première partie) vient d'être écrit à partir d'une idée soumise par une lectrice que j'embrasse ici.
- Christian dépêche toi ! Si tu continues comme ça on ne trouvera plus rien au marché
Marlène a pourtant appelé assez fort mais elle n'a pas eu de réponse. Sentant la colère monter elle fonce vers la chambre de son filleul avec la ferme intention de lui passer une bonne engueulade. Elle entre sans frapper mais trouve la pièce vide.
- Mais où est il donc passé cet animal ?
Elle repart dans la vaste maison à sa recherche et au passage entre dans la grande salle de bains dont la porte est restée entrouverte. Il est là complètement nu en train de se sécher la tête. Surpris il se tourne sur le côté pour cacher sa nudité mais Marlène a eu le temps de voir les détails de son anatomie.
- Mais qu'est ce que tu fabriques ?
- Je viens de me doucher mais je suis presque prêt. J'arrive dans une minute.
- Fais vite, tu es toujours à traîner pour faire les choses, c'est pénible
En sortant elle jette un il sur la grande glace dont le jeune homme ne s'est pas méfié. C'est déjà un bel homme. Il n'a que dix huit ans mais il est grand brun et son corps est celui d'un athlète. Avec gourmandise elle a remarqué son sexe au repos c'est déjà une belle pièce et elle l'imagine en pleine érection
exactement comme elle les aime
En redescendant dans le salon elle s'imagine en train de sucer cette belle queue et elle sent son intimité se mouiller. Soudain elle sursaute et se reprend. Elle est folle, c'est un gamin et de plus c'est son filleul
Voilà plusieurs semaines qu'elle n'a pas eu d'homme dans son lit et c'est sans doute ce manque qui la fait délirer
"N'importe quoi !" se dit elle, dans une dizaine de jour le père du gamin sera là et elle aura droit à une bonne séance
Elle sourit en pensant : "Enfin je vais faire ramoner ma cheminée"
Depuis une vingtaine d'années qu'elle connait Charles et ils partagent de formidables séances de baise.
Perdue dans ses pensées Marlène n'avait pas entendu arriver le jeune homme enfin prêt.
- Je suis prêt marraine !
- J'y croyais plus ! répondit elle en sursautant. Et arrête de m'appeler marraine, ça fait vingt fois que je te le répète. Tu n'es plus un bébé, imagine un peu l'effet que ça peut faire devant tes copines
- Oui tu as raison, je vais t'appeler Marlène alors
- Tu peux aussi m'appeler Malou comme le fait ton père
- Ouais, c'est top ! Je t'adore Malou
- Bon, en voiture maintenant !
Marlène prit le volant et conduisit jusqu'au parking couvert du village voisin à quelques kilomètres de là. Le maire du village avait convaincu son conseil municipal de faire construire ce parking qui semblait bien trop grand, mais quelques mois plus tard il avait créé une foire au bestiaux qui avait rapidement pris de l'ampleur et attirait chaque mois beaucoup de visiteurs et d'acheteurs. Un joli coup de poker en quelque sorte. L'autre avantage qu'appréciaient le plus les villageois était sans aucun doute de pouvoir garer leurs véhicules à l'ombre à la belle saison.
Lors qu'il eurent remisé la voiture Christian se proposa pour porter le grand panier en osier que Marlène avait sorti du coffre. Elle le remercia en lui disant :
- C'est gentil à toi.
- Ouais. Papa m'a dit que ça ne coûte rien et que souvent ça permet de créer un premier contact
- Il t'a dit ça ! Je vois que l'air de rien il te donne des conseils utiles
dit elle sur un ton taquin.
- Tu sais, je suis souvent en train de déconner mais j'écoute
je pense que les
les gens plus âgés connaissent plus de choses sur la vie
- T'as failli dire les plus vieux, fit elle en riant. Mais tu as raison, nous sommes plus vieux c'est pour ça que nous avons pu acquérir de l'expérience. Et Huguette, elle te donne aussi des conseils ?
- Ben, pas des conseils comme Papa, mais elle m'a expliqué des trucs sur les filles, répondit le garçon en rougissant.
- Quoi par exemple ?
- Ben, les règles et ces trucs là quoi
fit il gêné.
- Je vois, mais c'est pas la peine de rougir comme ça, tu es à l'âge où il est important de savoir ces choses. Ah ! voila mon volailler préféré.
La femme avait son programme et ils circulèrent dans le marché ensoleillé pendant un bonne demi heure remplissant peu à peu le grand panier de victuailles plus appétissantes les une que les autres.
Lorsqu'ils eurent terminé leurs achats Marlène entraina son filleul à la terrasse du café sur la place de la mairie et ils sirotèrent avec grand plaisir un grand cocktail de fruits.
De temps à autre la femme taquinait le garçon qui regardait passer les filles avec des yeux gourmands :
- Hé bé mon petit Cricri, celle là elle t'a fait sortir les yeux de la tête
Je vais être obligée de te tenir en laisse sinon tu vas disparaitre et j'aurais des ennuis avec tes parents
- C'est pas la peine de m'attacher, mais avoue qu'elle est drôlement jolie
- C'est vrai, elle est mince mais bien roulée
Un joli petit colis
- Un canon ouais ! dit il les yeux exorbités.
- Bon, rentrons manger sinon tu vas te mettre à baver sur la table fit elle en riant.
Ils prirent le chemin du retour et dès qu'ils furent arrivés elle dit :
- Va donc te rafraîchir dans la piscine pendant que je mets la cuisine en route
- Ok, je vais piquer une tête. Tu me rejoins avant de manger ?
- C'est une bonne idée, je crève de chaud. À tout à l'heure.
Marlène rangea rapidement ce qu'ils avaient rapporté du marché puis se dirigea vers sa chambre pour se changer. En se déshabillant elle ne put s'empêcher de penser au corps de son filleul. Elle se regarda nue dans les portes miroir de sa penderie et l'imagina debout derrière elle en train de caresser sa poitrine. Les yeux à demi fermés elle avait l'impression de sentir la virilité tendu du garçon contre ses fesses. Elle fit glisser une main sur son ventre mais dès qu'elle appuya sur son bouton d'amour elle sursauta en reprenant conscience de la situation. Regardant son corps de femme mure aux hanches épanouies mais au ventre encore plat et ses seins gonflés que Charles aimait tant caresser lorsqu'il la prenait en levrette, elle se morigéna :
- Marlène tu n'es qu'une salope ! Tu te fais déjà le père, tu ne veux pas te faire le fils en plus
c'est vrai qu'il a une belle bite mais il n'a que dix huit ans et tu en as quarante quatre
Rougissant comme si c'était une amie qui lui faisait des remontrances elle enfila rapidement un maillot deux pièces, revêtit une blouse légère par-dessus et descendit finir la préparation de leur repas. Ses préparatifs terminés elle se dirigea vers la piscine en déboutonnant sa blouse. En entrant dans l'eau elle remarqua que son filleul, déjà dans le bain, la détaillait :
- Pourquoi tu me regardes comme ça ? il y a une tache sur mon maillot ?
- Heu
Non non ! je te regardais comme ça
- Tu me compares aux minettes qu'on a vu tout à l'heure ?
- Non non..
- Menteur ! Elles sont plus fraîches que moi, mais comment seront elle quand elles auront mon âge ?
- Mais t'es pas vielle ! Et puis t'es vachement bien avec ce maillot
Elle se mit à nager près de lui et demanda :
- Il te plait mon maillot ?
- Oui, il te met bien en valeur.
Elle s'approcha de lui et brusquement elle posa sa main sur la tête du garçon et le poussa sous l'eau en disant :
- Regardez moi ce voyou qui reluque les vieilles !
Christian surpris par cette attaque voulut se raccrocher à elle mais sa main se referma sur le soutien gorge coloré et Marlène se retrouva la poitrine dénudée. Remontant à la surface, le jeune homme toussa et se tourna vers sa marraine qui lui disait en riant :
- Et maintenant il me déshabille ! Donne moi mon soutien gorge nigaud.
- Mais je l'ai pas !
- Alors cherche le dit elle en se dirigeant vers l'échelle pour sortir.
Le garçon plongea et finit par trouver le vêtement au fond du bassin. Il sortit le soutien gorge à la main et se dirigea vers la chaise longue sur laquelle sa marraine s'était allongée poitrine nue :
- Tiens Malou. Excuses moi, je ne l'ai pas fait exprès
Marlène posa le soutien gorge sur sa poitrine mais ne parvint pas à l'agrafer. Elle se tourna vers le garçon et lui dit sur un ton faussement courroucé :
- J'y arrive pas ! Puisque tu as su le défaire tu dois savoir le rattacher
Christian tenta de rattacher le vêtement mais il constata que l'agrafe était cassée :
- Ça tient pas, le truc est pété.
La femme se releva en tenant le soutien gorge d'une main sur sa poitrine et partit vers la maison en maugréant :
- Tant pis, viens maintenant, nous allons manger
Elle récupéra sa blouse au passage et l'enfila en disant:
- Met la table, j'arrive.
Elle remonta dans sa chambre et après s'être séchée elle remit la blouse sur son corps nu et regagna la cuisine. Lorsqu'elle rentra dans la pièce, Christian avait mis le couvert et il avait même été cherche une rose dans le jardin pour la mettre dans un petit vase devant l'assiette de sa marraine.
- Comme c'est mignon ! Il est allé me cueillir une fleur pour se faire pardonner
Ils déjeunèrent rapidement en plaisantant et en parlant de choses et d'autres. Lorsqu'ils eurent terminé Christian demanda l'autorisation d'aller sur l'ordinateur pour consulter sa messagerie. Marlène la lui accorda volontiers et elle alla dans le bureau pour démarrer la machine et taper les codes d'accès. Elle le laissa seul quelques minutes pour préparer du café et revint dans le bureau avec deux tasses fumantes. Lorsqu'elle entra le garçon rougit et ferma rapidement un diaporama. Marlène demanda en se penchant sur son épaule :
- C'est des petits secrets, des demoiselles dénudées ?
- Ben heu c'est mon pote Nicolas qui m'a envoyé ça
- Je peux voir ?
- Ben
c'est des filles à poil
- Fais moi voir et je te ferai voir ce que j'ai reçu moi aussi
Le jeune homme rougit et rouvrit le fichier. On y voyait des jeunes femmes nues posant pour la photo la plupart dans des poses très académiques
Il sentait la poitrine de sa marraine sur son dos et s'agitait sur le siège mal à l'aise.
- Oui, elle sont jolies le nymphettes
dit elle lorsque le diaporama prit fin.
- Je t'ai montré les miennes, tu me fais moi voir les tiennes ?
Marlène prit la place du garçon et chercha dans ses dossiers. Elle sélectionna un diaporama et l'ouvrit. Les images étaient un peu plus osées et montraient des femmes, jeunes et moins jeunes, faisant un strip-tease. Christian avait posé ses mains sur les épaules de la femme et celle-ci pouvait presque mesurer l'émotion du jeune homme à leur agitation. La joue contre celle de sa marraine il caressait doucement les épaules et elle entendait sa respiration devenir plus profonde. Lorsque le diaporama prit fin elle demanda d'une voix innocente :
- Alors, elle tes plaisent mes photos ?
- Super ! Elle sont plus chaudes que les miennes
fit il d'une voix rauque
- Tu veux en voir d'autres ?
- Ouais, c'est chaud
- Continue à me masser les épaules, c'est très agréable
- Ok dac
Elle choisit un autre fichier dans lequel les modèles arboraient de grosses poitrines. Rapidement Christian se mit à lui malaxer les épaules descendant sur les bras, remontant dans le dos le regard focalisé sur l'écran. Délicatement Marlène déboutonna sa fine blouse et la fit glisser au bas de ses épaules en disant d'une voix douce :
- Sur la peau c'est encore plus agréable
Les mains du garçon glissaient sur la peau nue mais il ne s'en rendait pas compte, subjugué par les belles images. Marlène saisit le bout des doigts du jeune homme et dit en tirant lentement les mains devant elle :
- Celles la aussi te plaisent ?
- Putain oui !
- Qu'est ce que tu aimes ? leur fesses, leurs seins,
- Elles ont de nichons superbes
- Plus beau que les miens ?
En disant ça elle avait délicatement posé les mains de son filleul sur ses seins gonflés. Christian eut un petit geste de recul, mais elle retint les mains sur la poitrine et dit :
- Tu les a vus tout à l'heure et tu les a même touchés
Ils te plaisent aussi ?
Christian n'osait plus bouger, il avait posé son regard sur l'opulente poitrine de la femme et son regard pouvait même descendre jusqu'au ventre ou il voyait nettement la toison blonde.
- Alors, ils te plaisent
tu ne dis plus rien
Soulevant les mains de son filleul elle fit pivoter le siège de bureau et se tourna face à lui. Le visage du garçon était écarlate et l'énorme bosse de son maillot de bain ne laissait aucun doute sur son émotion. Se relevant, elle laissa tomber la blouse à ses pieds et elle reposa les mains du jeune homme sur sa poitrine.
- Tu peux les caresser, j'aime beaucoup ça
Comme il restait tétanisé elle ajouta :
- Caresse les, tu n'as jamais caressé une fille ?
- Non, enfin oui
en fait j'en ai touché mais ils étaient tout petits
les tiens sont si gros
Elle posa un baiser sur une de ses mains puis l'entraîna en disant :
- Viens, je vais te montrer
Elle monta les marches de l'escalier en le tirant derrière elle et il ne pouvait détacher son regard des splendides fesses rondes ondulant devant lui. Arrivés dans sa chambre, elle se plaça face au miroir puis l'attira contre son dos en disant :
- Donnes moi tes mains, je vais te montrer comment on caresse des seins
Elle dirigea les doigts du garçon sur ses aréoles claires et le guida pour caresser ses tétons qui se dressaient. Regardant dans la glace elle vit le regard hypnotisé de son filleul. Se plaquant contre lui elle pouvait sentir la virilité tendue entre ses fesses et dut faire un effort pour continuer sa leçon sans lui sauter dessus.
Elle lui montra comment titiller les pointes dures, comment caresser les aréoles sensibles du bout des doigts, comment tirer et pincer les boutons sans faire trop mal. Puis elle s'est tournée vers lui et lui a indiqué comment les sucer et les mordiller. De temps en temps, elle ménageait une pause et le caressait doucement sur tout le corps en évitant de toucher le membre fièrement dressé dépassant du slip de bain. Elle réfrénait son immense envie de le prendre en bouche sachant que la moindre caresse le ferait exploser en un geyser de sperme.
Elle se colla contre le ventre du jeune mâle et lui demanda doucement :
- Tu aimes donner du plaisir ? Tu vois, je t'ai montré tout ce qu'on peut faire avec les seins d'une femme, tu as aimé ?
- Oui, beaucoup
Je ne savais pas tout ça
avec les copains on en parle des fois, mais c'est pas pareil
- Je comprend
Tu sais, ces choses là, il vaut mieux les apprendre avec quelqu'un qui a de l'expérience plutôt que les découvrir avec des partenaires qui n'en savent pas plus que toi
- Oui Malou, merci de m'avoir montré je pense que maintenant je saurais ce qu'il faut faire
- Tu veux que je te caresse à mon tour ?
- Heu
c'est que
- Ne t'en fais pas, viens là et laisse moi faire.
Gentiment elle l'a poussé vers le lit où elle l'a fait s'allonger. Avec des gestes d'une grande douceur elle a fait glisser le slip de bain le long des jambes du jeune homme puis elle a posé sa main sur le sexe érigé. Elle a refermé ses doigts délicatement sur la tige raide et a commencé à le masturber. Christian ouvrait la bouche et semblait manquer de souffle, pour le laisser récupérer un peu elle a posé sa bouche sur le torse glabre et a léché la poitrine du garçon. Ses mains ont recommencé à courir sur le corps du garçon faisant naitre des ondes de chair de poule sur la peau que le soleil commençait à brunir.
En lui mordillant l'oreille elle a soufflé :
- Quelqu'un t'a déjà sucé ?
- Non, une de mes copines m'a branlé mais elle n'a pas voulu me sucer et elle ne voulait pas non plus que je la touche.
- Tu n'as jamais touché une chatte ?
- Non
enfin oui mais à travers le pantalon
Marlène l'a embrassé dans le cou, puis elle a embrassé sa poitrine en descendant vers le ventre puis délicatement elle a posé sa langue sur le gland tendu. Christian a eu un long frisson et la femme a bien cru qu'elle allait recevoir un jet de semence mais le garçon se contrôla. Toujours en douceur elle a posé ses lèvres autour du gland puis a penché un peu plus la tête pour le prendre en bouche. Sa langue s'est activée sur la verge dressée et quelques petites minutes ont suffi pour le flot bouillonnant envahisse sa bouche.
Elle avala le sperme du jeune homme et quand elle releva la tête avec un grand sourire il bredouilla :
- Excuses moi Malou, j'ai pas pu me retenir
- Ne t'excuse pas, c'était très bon et je suis très contente de t'avoir fait jouir
- Oui, c'était génial ! Quand le copains parleront de pipe je saurai ce que ça fait
- Garde ça pour toi ! Si tu veux baiser et conserver les partenaires que tu préfères, il faut être discret ainsi tous les lits te seront ouverts
- Ok, je comprend
Tu sais, c'est la première fois qu'on me fait ça. Si je trouve une copine qui veut, je recommencerai avec plaisir.
- Maintenant c'est à toi. Tu veux bien que je te montre ?
- Oh oui ! c'était tellement bon que je veux te donner la même chose
À suivre
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