Dévotion Et Sexe Partagé
Ma sexualité « conjugale » a, peu à peu, quitté les horizons du plaisir pour rejoindre celui du « faire plaisir ». Jaime beaucoup mon mari et me soumets sans restriction à ses rituels amoureux. Je mets tout mon savoir-faire dans les caresses. Je lèche et suce sa petite queue avec application, le branle itou, caresse ses tétons et son dos et laisse aller mes mains entre ses fesses lorsque je le sens sécarteler. Puis vient le temps de la prise darmes en position du missionnaire et je laide autant que je peux. Mais, voilà, depuis la naissance des jumeaux je suis un peu large et nos sensations ne sont plus aussi toniques que jadis. Souvent mes doigts entrent en son cul pour laider à jouir. Dans un râle, il se laisse aller et, à peine rassasié, quitte le champ de bataille sans se rendre compte quil me laisse là, frustrée et en demande. Je nose pas me masturber alors pour ne pas lhumilier et reste ainsi insatisfaite. Pourtant, notre vie familiale et sociale est épanouie et il sait être à lécoute partout
sauf au lit
Évangélique convaincue et fervente, je lui pardonne totalement son manque découte et me réfugie souvent dans les prières collectives au sein de ma communauté. Au temple, je danse et chante avec une foi telle que je sens mon corps entier entrer en transes. Certes, je le manifeste aussi discrètement que possible mais, à chaque fois, je sens une fraicheur humide sourdre à lentrée de mon sexe. Souvent, mon corps entier vibre au son de la musique en une gestuelle aussi désordonnée quenvoûtante. Jévite tout geste trop lascif mais ce semi contrôle renforce encore mon plaisir cérébral. Mon bas ventre se tétanise. Mes fesses se crispent et mon cul sembrase. Mes seins lourds durcissent et se tendent. Je sens tout mon corps vibrer en rythme et senflammer de lintérieur. Autour de moi, les autres acteurs occupés à leurs propres sensations ne semblent rien remarquer. Cest ainsi que chaque semaine Dieu moctroie ce que mon mari ne peut me donner : le plaisir physique et mental jusquà lorgasme ou presque
Depuis peu, est arrivé parmi nous un jeune pasteur qui ne laisse pas les femmes de la communauté indifférentes.
« Jaime te voir à chaque cérémonie totalement possédée par Dieu » me dit-il à brule pourpoint en me saisissant par la main. « Mais tu dois souffrir à réfréner tes ardeurs et à ne pas exprimer jusquau bout ton plaisir ». Je crois quà ce moment je suis devenue incandescente. Ma culotte humide est témoin dune honte que je ressens plus quà lhabitude. Il mentraine alors à lintérieur du temple dont il ferme la porte à clef. En un tour de main il me pousse vers la scène, me dénude totalement, entre un CD dans la chaine stéréo et mordonne : « chante et danse, sil-te-plaît ! ». Je me plie à son désir, mais tétanisée par la sensation de commettre une profanation, jose à peine bouger et donner de la voix. Il mordonne dune voix peu amène : « Laisse-toi aller. Fais la salope pour ton Dieu bienaimé jusquau bout. Ne sois plus hypocrite. Il sait bien que tu ne viens ici que pour jouir ! ». Mon émotion est à son comble et mon chant chevrotant prend peu à peu de la force. Mon corps nu se contorsionne jusquà lobscène. Il vibre comme soumis à des courants électriques. Je mécartèle pour mieux mexhiber et le plaisir monte en moi. Mes cuisses sont trempées de cyprine. Mon ventre et mon cul me semblent en feu. Mes seins durcis sont douloureux à force de ballotter violemment.
Lorsque la musique sarrête, il se précipite pour éclairer mon esprit, me prend dans ses bras, se colle à moi. Puis, après sêtre déshabillé, commence à me caresser. Sa longue et fine queue dressée attire mon regard. Mes fesses, mes seins sont étrillés, puis mes grottes et trous sont scientifiquement visités de ses doigts gavés de la cyprine de mon entrecuisse et de ma salive. Je les tète puis écarte mes jambes pour leur faciliter laccès à mon intimité. Plus je suis servile et ouverte, plus le jeune clerc pousse son avantage et me laboure sans vergogne. Mon cur cogne et ses palpitations emplissent mes oreilles. Jai chaud, je brule et me consume. Il magenouille devant la croix au bord de la scène, appuie sur mon dos pour me mettre à quatre pattes et en descend. Il murmure : « Seul ton mari devant Dieu a le droit de tinséminer. Je vais donc entrer par le trou du diable. » Et là je sens son gland se présenter à la porte de mon cul et sa queue me pénétrer violemment et profondément. Je pousse un cri de douleur et de plaisir. Il me ramone sans aucune douceur pendant de longues minutes tout en agitant ses doigts sur mon clitoris. Jai limpression quil me transperce de part en part tandis que mon clito na jamais autant durci. Puis, soudain, je le sens sarrêter, tressauter en moi et memplir de son foutre chaud. Petit moment de calme, puis il recommence à méperonner et à sagiter entre mes grandes lèvres. Je jouis alors en un long et puissant cri de plaisir remerciant Dieu de tout ce bonheur.
A partir de ce moment, volontaire pour lentretien régulier du temple, je magite toutes portes fermées deux matins par semaine. Ces jours-là, à peine arrivée, je me défais de tous mes vêtements et prie nue, face contre terre. Pour mon service, je revêts un minuscule tablier qui me déguise, à peu de frais, en servante (de Dieu) lubrique.
Mais Dieu est parfois exigeant, et son pasteur aussi. Ce dernier, incapable de se contenter de ce que je lui donnais en a demandé plus. Un beau jour, je me suis installée dans son logement de fonction, abandonnant ma famille et lui faisant partager ma disgrâce et ma honte vis-à-vis de la communauté. Insatiable, le clerc exigea que mes seins, mon ventre et mes fesses soient toujours découverts pour quil puisse atteindre mon intimité sans préalable en toute circonstance.
Devant cet incroyable succès, il comprend que mon corps est linstrument de sa réussite apostolique. Il commence à menvoyer chez lun ou lautre pour apporter du réconfort. Inutile de dire que ce fut le début de ma vocation prostitutionnelle. Dès lentrée dans les maisons, je me vois arracher ma frêle vêture et utilisée comme vide-couilles par les hommes et comme souffre-douleur par les femmes. Plus dune fois, jai été prise en double et ai été la vedette de gang bangs. Jai souvent hurlé de plaisir en pareille circonstance. Des objets hétéroclites ont été enfoncés dans ma chatte et mon cul par des mégères en chaleur. Je me suis soumise à toutes leurs volontés en écartant mes fesses ou mes cuisses pour aider à loutrage. Lorsque je fais les courses, nul ne se gêne pour me trousser et me tripoter dans les magasins. Et moi, comme une vraie salope, je finis par aimer être ainsi tourmentée. Pire encore, je montre mon plaisir en mille contorsions et autres bruits de gorge. Je suis lattraction qui attire le croyant au temple et fait rentrer largent. Mon amant my exhibe maintenant dans détroites robes transparentes et minterdit les sous-vêtements. Mes tétons tendent la toile, mes seins lourds brandillent, obscènes, à chaque mouvement. Mon sexe toujours glabre et la raie de mes fesses sont bien plus exposés que si jétais nue. Lors des chants et des danses, les hommes se collent à moi et me caressent. Je suis devenue la pute de la communauté et jaime, organiquement, terriblement ça ! Le plaisir est mon but et mon cerveau nest plus aux commandes.
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