Massage Déroutant
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis masseuse théutique. Je reçois des femmes, plus rarement des hommes pour les aider à supprimer tensions et stress. Jattendais mon dernier client. Cétait un homme que je ne connaissais pas. Nous sommes plusieurs collègues hommes et femmes à travailler dans cet institut.
Javais remis la salle en place, bougies, huiles essentielles, draps propres, tout était prêt pour recevoir le client. Il arrive, je laccueille. Je maperçois être seule dans linstitut, tous mes collègues sont partis.
Lhomme, la quarantaine épanoui etait grand, athlétique, avait une élégance naturelle, des cheveux poivre et sel, des yeux dun bleu profond et il mintimidait. Il me scanna de toute ma petite hauteur (1m55). Je lui indiquais la cabine pour quil se déshabille. Il en sortit complètement nu. Dune voix tremblante, Je lui dis quune petite serviette était à sa disposition pour cacher son intimité. Dhabitude les gens sont pudiques mais là cétait tout le contraire. Il était splendide de « partout ». Il se rendait compte de mon malaise, me regardais dans les yeux et dune voix grave et autoritaire me dit : « Jeune fille, sache que jexige un massage complet et que tu sois nue comme moi. Cest quand même plus agréable. » Je devins rouge comme une pivoine.
-Je crois quon sest mal compris Monsieur. Je fais des massages théutiques, il ny a rien de sexuel.
Il sapprocha de moi et je reculais contre le mur. Dune main, il me prit les miennes et les mit au dessus de ma tête. Il me fixa.
- Tu vas faire ce que je veux et comme je le veux ! Jai dû attendre quelques semaines avant davoir un rdv avec toi, alors tu obéis. Je me suis déjà fais masser par Patrice et je lui ai dit que tu mavais tapé dans lil. Tu sais ce quil ma répondu ? Que je navais aucune chance, que tu étais une mijaurée et que les hommes ne tintéressaient pas. ! Sache que jai toujours ce que je veux !
- Je travaille pour payer mes études Monsieur, alors je nai pas de temps à consacrer à un petit copain.
Jétais offusquée que Patrice lui ait dit cela. Il allait mentendre. En attendant, je commençais à avoir peur. Lhomme le lut dans mes yeux. Il approcha sa bouche de la mienne et malgré mes tentatives pour lui échapper, il membrassa à pleine bouche, faisant tourner une langue impérieuse, imprimant ses exigences. De son autre main, il commença à me déshabiller. Mon corps fut un mélange de peur et de chaleur honteuse. Puis il me lâcha les poignets.
- Continue, je te veux à poil. Si je dois le faire moi-même, je déchire tout ! Donc si tu veux avoir quelque chose à te mettre pour repartir chez toi, déshabille-toi !
En larmes, jenlevai mes vêtements. Je restai avec mon string et mon soutien gorge, godiche. Il tira sur mes dessous et je me retrouvais nue.
-Nous sommes à égalité ! Maintenant au travail.
Il sallongea sur la table et fébrilement je commençais à le masser. Sa peau bronzée était chaude. Prise par mon massage jen oubliais que jétais nue, jusquau moment où il mit une de ses mains entre mes cuisses. Je mouillais et il sen aperçut. Il me regarda dun air goguenard et me dit. « Il faut juste savoir te parler ! » Jessayais de retirer cette main qui montait vers mon intimité. « tss, je vais me mettre en colère » me dit-il.
Il se mit sur le dos. Son sexe bandait, je nen avais jamais vu daussi gros.
-Continue et sur tout le corps !
Javalais ma salive, gênée au plus haut point, honteuse et fâchée contre moi de ne pas plus me rebeller. Je massais ses jambes et quand jarrivais au niveau de sa queue, il me la mit dans la main.
- Branles-moi !
Ma main était toute petite par rapport à son membre. Dans un sursaut de fierté, je luis dit non.
- Non ? Tu es sûre ?
- Oui, je ne suis pas ce genre de fille !
-Ok, continue ton massage alors !
Ce que je fis sans me faire prier. Quand le massage fut fini. Je mis une serviette sur Monsieur. Il avait les yeux fermés et était très calme comme endormi.
Il ouvrit les yeux. Me regarda et descendit de la table de massage. Je reculais mais il marchait vers moi, apparemment déterminé. Il mattrapa dans ses bras et mallongea sur la table.
- A ton tour maintenant.
-Non cest fini ! Partez maintenant.
- Dabord chère Macha, Tu vas être punie pour mavoir désobéie. Puis je vais te masser, car jadore ça.
Jétais sur le ventre, sa main dans le creux de mes reins mempêchait de me lever. Je gesticulais pour montrer ma désapprobation, quand je reçus une claque magistrale sur les fesses. Jen eu la respiration coupée. Il recommença. Javais mal et peur surtout. A la 5ème claque, mon corps fut secoué de soubresauts, ma chatte était trempée, il sen aperçut et mis sa main sur mes lèvres mouillées, il me caressa, remonta jusque sur mes reins.
Je pleurais, enragée dêtre traitée de la sorte, et de me sentir si fragile, sans défense avec lenvie quil continue ses caresses et en même temps tellement honteuse. Il me dominait de sa force, de sa taille, de ses connaissances du corps et même de sa voix, de son regard. Je me sentais si petite. Je pris mon air boudeur avec lintention de devenir insensible.
Il me regarda et éclata de rire.
- Alors la petite féministe. On a trouvé son maître nest-ce pas ! Tu sais quoi ? Tu vas devenir mon esclave, ma soumise et mobéir au doigt et à lil !
Je le regardai dun il mauvais, sans répondre. Jaurais aimé le défier du regard mais il aurait planté le sien et jaurais baissé les yeux.
Il me releva et massit sur la table. Ses mains ont alors pris possession de mes seins. Il en tritura la pointe et les aspira. Puis me renversa et souleva mes jambes. Il fit de même avec mon clitoris. Le plaisir inondait mon corps. Il mit un doigt dans ma chatte. Frissons et ondes de plaisir me submergeaient. Je jouissais sans retenue.
-Tu es serrée ma puce, il ny a pas eu beaucoup de visites, je me trompe ??
- Non, jai eu juste un petit copain et ça na pas duré ! Mais je ne veux pas faire lamour avec vous.
- Je ne te demande pas ton autorisation ! Jai envie de toi et tu vas mappartenir. Maintenant mets-toi à genoux et suce moi !
- Non, je ne veux pas ! Cest dégoutant !
Je nai pas eu le temps de finir ma phrase que je me retrouvais à genoux sur la moquette. Sa queue, toujours droite et au garde à vous. Il mattrapa les cheveux et enfonça sa bite dans ma bouche. Il me força à le sucer et jessayai s de faire au mieux car cétait la première fois que je suçais un homme. Il jouit dans ma bouche, et mordonna davaler. Je le suppliais du regard mais il me tira les cheveux plus fort. Javalais avec un haut le cur. Il me gifla ! Pas fort, juste pour me faire comprendre de mavouer vaincue.
- Tu vas ranger et nous allons aller manger, ensuite je temmènerai chez moi et là tu seras à moi, complètement. Ton cul, ta chatte vont mappartenir.
Il sassit sur une des chaises.
- Pour me montrer que tu es obéissante, tu vas approuver ce que je viens de te dire et surtout, de toi-même, tu vas te mettre en travers de mes genoux et me demander une fessée.
-Oui Monsieur. Je suis à vous, ma chatte et mon cul vont vous appartenir, tout mon corps sera à vous. Jaimerais que vous me donniez une fessée lui dis-je les yeux baissés.
Je mallongeais sur ses cuisses et il caressa mes fesses, ma chatte trempée, aux lèvres gonflées et assena une claque, puis une autre, je suis sûre que ses doigts marquait ma chair. A la 6ème, la jouissance vint manéantir. Je lui dis merci et lui embrassais la main qui mavait châtiée. Comment, moi, féministe, rebelle dans lâme en était arrivée là.
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