Trixie Chap 20 - Le Majordome
Un soir, dans le salon après le dîner, alors que je me prélassais en peignoir, Alfred me dit qu'il avait deux cadeaux pour moi. Il les déballa me demandant d'ôter mon peignoir.
« Ton peignoir ne me plait pas, dit-il ! Maintenant que tu as fait la connaissance de Victor, tu porteras ça en permanence dans la maison...comme tu es maintenant, avec tes bas, ton porte jarretelle, tes talons hauts, et ton soutien gorge seins nus...tu peux éventuellement mettre un string mais je ne préfèrerais pas. Veux-tu mettre la nuisette que je puisse juger...»
J'enfilais la nuisette noire, en tulle complètement transparent, elle s'arrêtait au ras de mon pubis et ne cachait rien du tout. Deux fentes que l'on pouvaient rapprocher en nouant un petit ruban, laissaient mes aréoles découvertes et pointer mes tétons.
« Parfait cette, nuisette dit Alfred, passe le déshabillé... »
Il me tombait sur les pieds, noir entièrement transparent, il avait seulement de minces bandes de fourrure autour des poignets, sur le bas et autour du col. Il ne comportait aucun moyen de fermeture et béait largement sur le devant. Je me regardais de dos dans le grand miroir au-dessus de la cheminée...mon porte jarretelle soulignait ma taille, mes bas affinaient mes jambes, je me tournais de face, le déshabillé ne cachait rien de mes mamelon sortant par les fentes de la nuisette, c'était très érotique. J'adorais ce genre de lingerie, auparavant, lorsque je rentrais chez moi après le boulot, je m'habillais souvent ainsi. C'était d'ailleurs lorsque je portais ce genre de lingerie qu'un grand noir m'avait presque violée...Ça m'avait énormément plus à l'époque. J'étais en train d'extirper mes chevilles de mon string, Alfred m'ayant demandait de le quitter. ... lorsque la porte porte s'ouvrit et le majordome entra, il faillit lâcher le plateau sur lequel il apportait le thé, en m'apercevant.
« Oui Victor, il va falloir vous habi, mademoiselle Trixie sera toujours vêtue ainsi pour m'aider dans la maison.
Oh oui, Monsieur, Mademoiselle est tellement belle ! Répondit-il avec un large sourire lubrique sur son visage, les yeux fixés sur ma chatte rasée...
Je tenais à vous dire Victor, que vous ne pouvez toucher Mademoiselle Trixie qu'en ma présence...mais je vis qu'il lui faisait un clin d'il »
Je compris que les jours à venir allaient surement « être chauds »...Ce devait être ce qu'attendait Alfred...Nous surprendre Victor et moi en train de baiser...pour nous mater, il adorait regarder mes vidéos...
Donc, pour faire plaisir à Alfred, qui me payait royalement, je ne me promenais plus dans la maison qu'habillée comme il me l'avait demandé. Cela ne me dérangeait pas pour le peu de travail de secrétariat que j'avais à faire.
Au début je mettais un string, mais lorsque je croisais Alfred, il me le quittait par jeu érotique. Un jour qu'il avait les bras chargés de bouquins, il demanda à Victor qui passait par là, de me l'ôter. Le domestique ne se le fit pas dire deux fois. Il se mit à genoux devant moi et très lentement avec un sourire béat, il commença à descendre le minuscule triangle de tissu.
« Du temps que vous y êtes, Victor, faites lui un doigté et vérifiez si mademoiselle Trixie apprécie que nous extasions devant-elle lorsqu'elle est ainsi vêtue ! »
Effectivement, chaque fois que je croisais dans la maison un des deux vieillards lubriques, leurs regards envieux se posant sur mon corps dénudé, déclenchaient une certaine moiteur dans ma chatte. Alors, en ce moment la sensation délivrée par ce lent déshabillage, avait provoqué un afflux de foutre dans mon sexe. Avec un large sourire, Victor s'étant relevé passa sa main gauche sous la nuisette à hauteur de mes hanches, et plaqua l'autre sur ma chatte. Je sentis deux doigts s'insinuer entre mes lèvres, tandis que son pouce me frottait doucement le clitoris, la caresse semblait s'éterniser...je retenais mes gémissements...
« Alors, Victor ?
Oh oui, Monsieur elle mouille énormément »
Il sortit ses deux doigts ruisselants de mon foutre.
« Délicieux...
Victor, j'ai les mains prises, voudriez vous me faire gouter !
Si Mademoiselle, veut bien écarter un peu les jambes... et si Monsieur permet...
Je vous en prie Victor»
Alfred avait posé ses bouquins et s'était assis dans un fauteuil.
Le majordome passa derrière moi, pour qu'Alfred ne puisse rien rater de l'opération. Il écarta le déshabillé sur ma poitrine, défit les rubans des fentes de la nuisette, les écarta pour bien dégager mes aréoles, et se mit à faire rouler et à presser mes tétons entre pouces et index, ceux-ci ne tardèrent pas à réagir sous la caresse. Lorsqu'il jugea leur érection suffisante, il reprit un ruban et le noua autour, en serrant assez fortement, je ne pu retenir un petit cri de douleur, il procéda de même pour mon autre sein.
Puis ses mains descendirent le long de mon ventre, il caressa ma peau sous mon porte jarretelle .
J'avais tendu le bassin en avant, je senti deux doigts s'insinuer entre mes lèvres. Il savait y faire le vicieux. Une légère douleur irradiait de mes mamelons et descendait jusque dans mon ventre, j'aimais cela. Je mouillais encore plus en gémissant de plaisir, Victor mis trois doigts, puis quatre, je mouillais tellement qu'il me semblait entendre comme un bruit de succion à chacune de ses pénétrations . Satisfait de lui, il ôta sa main gluante de mon foutre, et se dirigea en souriant, fier de ce qu'il avait provoqué, vers Alfred.
« Si Monsieur veut bien sentir ce parfum, c'est divin...dit-il en mettant ses doigts sous le nez d'Alfred.
Oh oui....mais permettez que je lèche...!
Alfred, Alfred... dis-je, tu ne vas pas me laisser dans cet état...!
Vous avez entendu, Victor...les désirs de mademoiselle sont des ordres !! »
Victor revint vers moi se mit sur mon côté droit et recommença son doigté, ce fut divin, il réussi à enfiler presque entièrement sa main fripée dans ma chatte, Alfred lui regardait en se masturbant.
« Et moi alors, tu m'oublies ? »
Je saisis les accoudoirs du fauteuil ou il était assis, et me penchant en avant engloutis la verge de mon vieux patron lentement. Il me saisit derrière la tête et me la poussa doucement pour faire entrer entièrement son sexe jusqu'au fond de ma gorge. Victor m'avait quitté le déshabillé. La nuisette remontée sur les reins, ma position, fesses offertes, jambes écartées lui facilitait grandement la tâche. Je sentais à nouveau sa main à l'intérieur de mon sexe. Son gland effleurait mon orifice anal.
« Monsieur, me permet-il de sodomiser Mademoiselle ?
Mais oui Victor, allez y... »
Le vieux majordome me fit m'appuyer sur un guéridon jambes écartées de dos face à Alfred. Il écarta mon trou intime pour le montrer à Alfred. Je sentis sa verge s'enfoncer lentement en moi, glisser entre mes parois anales, il me semblait que sa pénétration n'en finissait pas. Il était vieux certes, mais sa queue était longue et dure. Il m'attrapa fermement à hauteur des hanches et commença à me labourer l'anus. Tout en me besognant, il me conduisit devant le sexe tendu d'Alfred. Je le mis dans ma bouche, les à coups m'obligeaient à avaler entièrement la queue d'Alfred qui à chaque fois gémissait de contentement et commençait à haleter de plaisir. Victor adopta une autre tactique, il alterna ses pénétrations, une fois dans mon anus puis dans mon vagin. Il accéléra la cadence, le frottement de ma bouche sur la bite d'Alfred se fit plus rapide, je la sentis se contracter et il explosa au fond de ma gorge. Victor ayant vu qu'Alfred éjaculait, m'avait d'une main bloqué la tête pour m'empêcher la reculer.
« Avale petite salope, me disait Alfred à chaque giclée, tu l'aimes mon vieux sperme, hein
Je vais jouir, moi aussi.
Il m'attrapa les seins, la bite enfoncée jusqu'à la garde dans mon cul, il expulsa son liquide chaud, au fond de mon ventre. Les deux éjaculations simultanées et les cris de jouissance des deux vieillards provoquèrent mon orgasme.
A partir de ce moment, je ne mis plus de string, et mon sexe que la nuisette ne cachait pas était en permanence exposé à leurs regards. J'avais décidé de le tenir entièrement rasé. Cela plut énormément à Victor qui me dévorait littéralement des yeux et me suivait comme un petit chien. Plusieurs fois lorsque je le croisais, il sortit son énorme bite, et se décalottait le gland en me regardant avec un grand sourire. Mais il respectait pour l'instant les consignes d'Alfred, ne me toucher qu'en sa présence. Lorsque je lisais sur le canapé du salon, il était toujours dans la même pièce à faire du ménage. Je laissais alors glisser le déshabillé de mes seins et le repoussait largement de chaque côté de mes cuisses. Puis j'ouvrais lentement les jambes, mes lèvres s'écartaient et il pouvait apercevoir, puisque j'avais la chatte complètement rasée, le rose de l'intérieur de mon orifice vaginal et mon clitoris qui pointait.
Ce petit jeu m'excitait, mes tétons s'érigeaient, mes deux mamelons bruns et durs pointaient par les ouvertures de la nuisette. Victor se mettait en face de moi, et se caressait à travers son pantalon, il attendait surement que je prenne des initiatives.
Souvent je le regardais langoureusement et me masturbais le clitoris ou me pinçais le bout des seins...sans jamais lui accorder plus. Je me mettais alors deux doigts dans le vagin, et lorsqu'ils étaient bien trempés avec mon foutre, je les léchais voluptueusement. Parfois il ne pouvait plus se retenir et je voyais une tâche s'étaler à hauteur de sa braguette, il ne devait pas porter de slip.
« Eh oui, Victor, il faut respecter les ordres d'Alfred, tu ne peux me toucher qu'en sa présence !!
Salope, je te le ferais payer...!! me disait-il alors.
Mais tu ne veux quand même pas me baiser, quand Alfred n'est pas avec toi !! »
Je voulais le rendre fou d'envie...Je sentais que Victor ne pourrait pas résister et ne prendrait de force, je pensais que c'était ce qu'Alfred attendait...que le majordome me prenne de force.
Un jour, je travaillais avec Alfred dans son bureau, lorsque vers 16 h 30, il me demanda d'aller dans la cuisine faire une cafetière de café chaud. J'obtempérais. J'entrais vivement dans la pièce, Victor était en compagnie d'un livreur, qui tournant la tête vers moi, renversa son cageot de légume en me voyant ainsi vêtue.
Le déshabillé grand ouvert, ma chatte bien rasée encadrée par mon porte jarretelle, les tétons pointant par les fentes de la nuisette transparente. Je voulu faire demi-tour. Victor m'attrapa par un bras.
« Monsieur, vous a donné un ordre, me semble-t-il ? La cafetière est sur la table »
Il m'y conduit avec une certaine rudesse. Il m'amena en pleine lumière entre la table et la porte fenêtre entrebâillée, surement pour faire admirer mon corps au livreur. C'était un homme d'environ trente ans, court sur pattes gros, adipeux. Il se dégarnissait déjà et avait un double menton, il n'était pas rasé et semblait sale. Bredouillant, il se mit à genoux devant moi pour ramasser les légumes, la plupart se trouvaient maintenant entre mes pieds. Bouche ouverte, les yeux ne pouvant se détacher de ma chatte, il tâtonnait sur le sol avec ses grosses mains velues.
Victor était passé derrière moi et m'avait saisi les bras, faisant saillir ma poitrine.
« Eh petiot, t'as vu comme elle est belle ! Qu'attends-tu pour la caresser ? »
Je sentis alors les grosses mains se poser sur mes talons aiguilles, remonter le long de mes chevilles, suivre doucement mes cuisses fermes, s'arrêter sur les attaches de mon porte-jarretelle. Il respirait de plus en plus vite, Victor lui m'avait enlevé le déshabillé, il était en train de défaire les petits rubans qui « fermaient » les fentes de la nuisette sur mes aréoles. Il les écarta et commença à me titiller les bouts, ma poitrine malgré moi se cambra vers l'avant, je sentis mes tétons s'ériger, mes seins gonfler. Ce fut à ce moment que j'aperçus Albert qui filmait la scène depuis la terrasse par la porte entrebâillée, je compris pourquoi Victor était au courant pour le café !
Les mains du gros avaient lentement suivi les lanières arrières de mon porte jarretelle, malaxées doucement mes globes fessiers, et caressaient mon porte jarretelle. Elles redescendirent sur le devant de mon mont de venus et avec ses deux pouces il écarta mes lèvres, ma chatte était énormément mouillée. Je vis sa grosse tête s'approcher, et sa langue s'insinua dans mon méat, il me lécha la fente du bas en haut, aspira mon clitoris, je gémis de plaisir. Il le tétait littéralement, je le sentais durcir. Victor m'avait lâché les bras pour s'occuper des mes seins, j'attrapais la tête du livreur pour la maintenir plaquée sur mon bas ventre. Des râles sortaient de ma bouche.
Le gros épicier, défit son pantalon, et il se coucha sur le dos, sa bite n'était pas longue du tout, mais elle avait la grosseur d'un gros verre, Victor me fit tourner face à lui. Les jambes de chaque côté du gros corps couché, dont la queue émergeait d'un amas de poils drus et noirs. Le gros livreur attrapa mes hanches et me força à m' asseoir sur sa queue. Son gland énorme et violacé pénétra entre mes lèvres, il me tira violemment vers le bas, pour faire entrer le reste.
Victor, lui avait aussi le pantalon sur les chevilles, sa grosse queue pendait molle pour l'instant entre ses cuisses. Alfred filmait toujours.
« Suce moi, dit-il ! »
J'ai toujours aimer décalotter les bites, surtout lorsqu'elles sont énormes, je trouve cela très érotique et celle de Victor faisait parti de celles que je préférais. Je tirais doucement en arrière le prépuce, en faisant attention de ne décalotter que la moitié du gland. Puis avec mes lèvres j'aspirais doucement la partie découverte. Je sentis Victor tressaillir, et lentement je continuer à tirer la peau de son prépuce vers l'arrière et aspirais au fur et à mesure, ce que je découvrais de son gland, puis une fois que celui-ci fut mis à nu, je le suçais comme une tétine. Je sentais sa queue enfler entre mes mains qui en caressaient doucement la longueur. Jugeant que la dureté de sa bite était suffisante je commençais à l'avaler progressivement. Vu la grosseur j'étais obligée d'ouvrir ma bouche en grand, mais je la sentais s'enfoncer dans mon gosier, je dus la sortir plusieurs fois et recommencer l'opération pour arriver enfin à l'avaler entièrement et que mes lèvres frôlent ses poils pubiens complètement blancs.
Le gros pendant ce temps m'avait faite légèrement basculer en avant, tout en continuant ses allers et retours avec sa courte mais montueuse bite, je sentais mon foutre ruisseler sur son ventre. Il m'enfonçait son pouce droit dans l'anus, puis il y joignit deux autres doigts. Une fois qu'il eut bien écarté mes parois anales, d'un seul coup il sorti rapidement sa queue de mon vagin et l'enfournaentièrement dans mon cul. Si la bite de Victor n'avait pas été au fond de ma gorge j'aurai rugi de plaisir. Il me soulevait comme une plume et me laissait retomber de plus en plus vite, si bien que je ne pus plus sucer Victor. Ses mains remontèrent sous la nuisette jusqu'à mes seins qu'il compressa d'une force inouïe et il explosa de jouissance avec un grand cri rauque.
« C'est bon, j'ai tout filmé... dit Alfred qui était entré dans la cuisine pour ne rien rater de la scène. Mais Victor, mademoiselle Trixie n'a pas joui...!!
C'est vrai Monsieur, mais moi non plus !! »
Avisant un énorme concombre ayant la peau toute boursouflée, tombée du cageot renversé, Alfred demanda à Victor de s'en servir. Il le ramassa, le compara à son énorme bite en érection et avec un sourire lubrique dit à Alfred, qui c'était remis à filmer.
« Monsieur à raison, il est plus gros que ma queue, Mademoiselle devrait apprécier !! »
Il me releva, me coucha sur la table, jambes pendantes. Il releva ma nuisette au dessus de mes seins. J'avais écarté largement les jambes, offrant ma chatte ouverte, gluante et palpitante à l'objectif de la caméra et aux regards des trois hommes.
Le gros dont la bite était flasque, s'approcha de mes seins et se mit à sucer mes tétons. Victor lui, me frottait le bout du concombre le long de la chatte, essayant de récupérer mon foutre et sperme du gros jeune homme pour lubrifier le légume, il y cracha dessus, et écartant mes lèvres commença à faire pénétrer par petites pressions successives l'énorme légume boursouflé. Il avait le coup de main le vieux sadique, lorsqu'il avait bien écarté ma vulve, il ressortait le cucurbitacée, puis le ré enfonçait par des petites saccades de son poignet. Lorsque doucement il le tournait, les boursouflures me râpaient les parois vaginales, que je contractais et relâchais pour absorber le légume, je me tortillais sur la table. Le gros subjugué par cette pénétration avait arrêté de me sucer les seins.
« Oui regardez Monsieur, mademoiselle apprécie elle mouille de plus en plus et sa chatte s'ouvre largement, j'ai bientôt tout enfilé... »
Je hoquetais de plaisir, je me traitais de salope mais, j'aimais cela, je me surpris à saisir la main de Victor pour accélérer la cadence et l'enfoncer plus profondément, il était entré entièrement dans mon vagin il ne dépassait que quelques centimètres. C'est à ce moment que la sonnette retenti. En me laissant l'énorme légume dans la chatte, Victor me releva, réajusta les fentes de la nuisette bien en face de mes mamelons qui ressemblaient à deux petites têtes d'obus, remit d'aplomb mon porte-jarretelle et mes bas, tira légèrement sur le bas de la nuisette, et me remit le déshabillé.
« Si mademoiselle veut bien aller ouvrir, me dit-il !
Comment ? Comme ça...avec ce truc ?
Oui, c'est un sacré morceau, et ça te fait mouiller comme une petite folle, pas vrai ! Dit Alfred.
Et vous voulez que je conserve ça en moi pour aller ouvrir ?
Oui, allez-y et dépêchez-vous, marchez ! Que nous puissions vous admirer Mademoiselle ! dit Victor »
Je me dirigeais vers la porte d'entrée, chaque pas faisait bouger l'énorme concombre, cela me faisait un peu mal, mais je sentais le plaisir qui montait. Mon visage devait trahir mon émoi et le foutre qui humidifiait le pourtour de mon sexe, ma folle excitation.
« Tu aimes ça coquine, me dit Albert »
Je répondis par un hoquet de plaisir. J'avais atteint la porte et ouvert. Un jeune noir d'au moins deux mètres se tenait dans l'encadrement.
« Je suis le plombier,...... on m'a donné rendez-vous........euh,... en me disant seulement...... que euh... j'avais un tuyau à brancher... »
Ses yeux me parcouraient des pieds à la tête, il ne savait pas sur quelle partie de mon corps les fixer. Lorsque je l'aperçu une série de petits spasmes contractèrent mon utérus comprimant le concombre, je crus que j'allais jouir devant lui.
« Mademoiselle Trixie, faites entrer ce monsieur dit Victor derrière moi »
Je retournais dans la cuisine, le noir sur mes talons. Je sentais son regard fixé sur mes fesses serrées pour ne pas perdre le légume, que je sentais rentrer et sortir à chacun de mes pas. Arrivée à la table je m'y appuyais légèrement penchée en avant, jambes écartées, je me sentais prête à jouir, le noir était toujours derrière moi. Victor regardant le noir, me quitta le déshabillé, le fait de sentir le vêtement glisser, de sentir mes fesses et ma vulve dénudées offertes au regard du noir me fit jouir. Un violent spasme me contracta les entrailles, le cucurbitacée fut éjecté de ma chatte ruisselante et tomba sur le sol, un flot de foutre s'écoula à la suite. Abasourdi dans un premier temps, le noir se baissa, ramassa le légume.
« Ma foi...bel engin...! »
Dit-il en examinant le le légume dégoulinant de mon jus intime sous toutes les coutures.
« Mais il n'est pas aussi gros que ma bite...si ça vous dit ! »
Joignant le geste à la parole, il quitta son pantalon. Je ne pouvais rien voir agrippée à la table encore parcourue par des tremblements, finissant de jouir. On aurait pu entendre une mouche voler.
Je le senti s'approcher, ses deux mains me saisirent à la taille, et descendirent le long des lanières de mon porte jarretelle, arrivées aux bas, elles remontèrent très doucement, passèrent sous la nuisette, qu'elles remontèrent, s'attardèrent sur mes seins.
« Putain que tu es belle, petite salope de blonde »
Me murmura-t-il dans l'oreille avant de m'en mordiller le lobe et de me lécher le cou. Puis il fit passer la nuisette par dessus ma tête. Ses longues mains se posèrent sur mes épaules, lentement il dégrafa l'attache de mon soutien gorge. Lorsqu'il fit descendre les bretelles le long de mes bras, je frissonnais d'extase. Il me pencha un peu sur la table, fléchit les genoux et je sentis le dessus de sa bite, frotter ma fente trempée. La, je pus prendre conscience de la grosseur et de la longueur de sa queue. Elle me semblait en effet plus grosse que le concombre, mais j'en avais connu des plus énormes. Il me pénétra lentement... Quoiqu'il en soit, j'allais encore passer un bon moment !
A suivre...
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