Nouveau Job

Je n’ai jamais eu d’attirance particulière pour les femmes plus âgées que moi, même si je sais apprécier une belle femme, quel que soit son âge, quand il s’en présente. Et justement c’est le sujet de mon récit.
J’ai aujourd’hui 23 ans, et je rentre tout juste dans le monde du travail. Après avoir fait un stage dans une société, j’ai eu la chance d’y être embauché. Lorsque je suis arrivé à l’époque pour mon stage, j’étais bien évidemment un peu plus jeune, et je n’avais surtout pas beaucoup d’assurance. J’ai eu la chance d’être gentiment accueilli et l’on m’a aidé à me faire ma place. L’équipe était en majorité masculine mais il y avait quelques jeunes femmes, assez plaisante à regarder d’ailleurs. Mais ce sera le sujet d’un autre récit.
Celle qui sortait du lot c’était ma responsable. Une femme de 38 ans aux cheveux châtain et aux yeux noisette. De taille moyenne elle devait faire 1M65, mince et des formes généreuses. Elle n’était pas provocante, mais classe et c’est cela qui la rendait encore plus attirante. Aucune manière, aucun jeu de séduction. Elle était hot au naturel. Et tout cela rajoutait à son intimidation de responsable. En face d’elle je n’arrivais jamais à parler correctement, je cherchais mes mots, je bafouillais. Malgré cela mon stage s’est bien déroulé dans l’ensemble et elle m’a beaucoup aidé.
Mes collègues masculins, plus en confiance, aimaient détailler les femmes de la boîte, et ce sans vergogne. Je les écoutais mais ne disais pas grand-chose. Et auprès d’eux notre responsable avait beaucoup de succès et les blagues salaces allaient bon train. Je ne disais rien car cette femme m’impressionnait plus qu’elle m’excitait. J’étais plus attiré par mes collègues plus jeunes et qui, il me semblait en tout cas, étaient plus abordable. Mais dans la réalité, rien de bien concret : quelques sous-entendu, mais c’était bon-.
Un jour l’un de mes collègues, m’a avoué, sans trop de difficultés d’ailleurs, que parfois quand l’envie lui prenait, il aimait bien se masturber au bureau en pensant à nos jolies collègues.

D’après lui il s’est même retrouvé une fois à discuter avec l’un d’elles, assis derrière son bureau, sa main droite entourant sa queue. Il a tenu à me signaler que c’était l’une de ses meilleures branlettes. Je me vois mal, regarder ma collègue dans les yeux tout en m’astiquant le manche sous le bureau, mais cette idée a alimenté pas mal de mes branlettes.
Un dîner de cohésion d’équipe a été organisé. L’occasion pour chacun de mieux se connaitre. Certains sont venu accompagné. Il y avait une bonne ambiance, et on pouvait même danser si l’on voulait. C’est d’ailleurs ce qu’on est allé faire après avoir mangé et quelques verres. On a d’abord dansé tous ensemble, puis certains sont parti s’assoir ou sont rentré chez eux. Je me suis moi-même d’ailleurs rapidement assis. Les danses en couples sont arrivées et après avoir rapidement dansé avec une collègue, je me suis assis à nouveau. Remarquant que j’étais seul, ma responsable est venu me cherche pour danser avec elle. Gêné je tentai de décliner son offre mais elle insista en me tirant sur la piste. J’entrepris de tenir une distance entre elle et moi mais mon corps frissonnait, de peur certainement, mais peut-être d’excitation aussi…
Au fur et à mesure, naturellement, nous nous sommes rapprochés, et sans s’en rendre compte, sa tête est arrivée sur mon épaule et j’ai senti son bassin contre le mien. Cela me fit revenir soudainement à la réalité et je m’écartais d’elle en la remerciant. Juste avant de me retourner je sentis une légère pression sur mon entre-jambe et avant que je comprenne elle était partie. Cette danse m’a longtemps perturbé et beaucoup excité aussi pendant mes séances de masturbation. Cette femme m’intriguait de plus en plus et je me sentais maintenant attiré par elle. J’en étais arrivé à penser à elle pendant mes quelques plans culs.
Ayant fini mon stage et embauché, j’en étais pourtant plus à l’aise en sa présence. Pire, elle m’excitait furieusement. J’en étais arrivé à un point où je devais me battre avec moi-même pour éviter de la dévorer du regard.
Je pense qu’elle s’en rendait compte car j’étais quasiment sûr qu’elle commençait à en jouer.
Un jour après être venu dans mon bureau pour me donner des directives, et accessoirement me perturber avec sa magnifique poitrine, elle m’acheva avec son magnifique déhanché. Excité comme un fou, et étant sur les dents depuis près d’un mois, je ne pus m’empêcher de faire comme mon collègue : j’ai sorti mon membre, déjà bien tendu, pour me masturber. Au début calmement sous le bureau puis très vite, je me suis levé, fermant les yeux pour imaginer ma responsable assise sur le bureau, tailleur remonté, jambe écarté, m’offrant son intimité. Appuyé sur le bureau, les yeux fermés, je me branlais frénétiquement, et je sentais déjà la sève monter. Soudain j’entendis la porte s’ouvrir et une femme commencer à parler. J’ouvris les yeux, j’eu juste le temps de voir l’air surpris de ma responsable, l’entendre s’excuser et refermer la porte aussitôt. Abasourdi, je me laissai tomber dans mon fauteuil. Etant en fin de journée je pensais être à peu près tranquille, j’aurai jamais dû me lever de ma chaise. Déjà que j’étais gêné en sa présence là j’oserai même plus la regarder. Au bout de dix minutes je me mis debout pour referme mon pantalon qui était tombé au niveau des genoux.
Et là la porte s’ouvre à nouveau, ma responsable rentre à nouveau, sans rien dire, se dirige vers moi, m’enlève mon pantalon des mains, et avant même que je comprenne, s’accroupie devant moi et gobe ma queue bandant à moitié. J’en eu le souffle coupé, et j’avais le regarde perdu. Mon membre lui n’attendis pas pour réagir repris aussitôt de la vigueur suite à cette chaleureuse attention. Ma responsable, enfin Christelle de son prénom, m’entoura doucement les bourses d’une main tout en faisant un premier aller-retour, J’en frémis et laissa échapper un petit râle. Je l’entendis lâcher un petit rire. Je n’osai pas baisser les yeux. De son autre main elle m’agrippa la queue afin de donner plus de vigueur à ses caresses.
Elle n’était ni brutale, ni rapide, ses caresses était régulière, lente et douce, tantôt m’aspirant le gland tendrement, tantôt m’accueillant au plus profond de sa gorge. Et tout cela avec une très grande délicatesse. Ce traitement n’a pas pris longtemps pour avoir raison de moi. En général j’ai pour habitude de prévenir mes partenaires, mais là tellement abasourdi par l’évènement, je ne pu même pas prévenir ma partenaire de la venue de ma jouissance. Et là comble du plaisir, Christelle a su détecter les signes de mon paroxysme, et pour augmenter ma jouissance, elle bloqua mon gland derrière ses chaudes lèvres pour le caresser de sa langue, et en même temps elle me branla doucement. J’éjaculais violemment entre ses lèvres, de puissant jets inonda sa langue pendant que je lâchais un long râle en me courbant. Des spasmes parcoururent mon cours et malgré moi, je mis de violents coup de bassin. Christelle m’accueillis une dernière fois au fond de sa gorge tout en me massant les couilles. En se retirant elle me nettoya le gland en l’aspirant et l’essuya de sa langue. Elle se releva, et pour la première fois depuis son entrée dans la pièce, nos regards se croisèrent à nouveau. Dans ses yeux une lueur malicieuse brillait encore. Elle m’embrassa légèrement, me fit un clin d’œil, et sortit comme elle était rentré. Je la suivi du regard, et toujours pas remis de mes émotions, je me laissai choir sur mon fauteuil.
Les jours suivants l’ambiance était électrique, au point que les collègues devenaient suspicieux. Je faisais tout pour l’éviter et je n’osais pas lui parler. Quant à elle, elle n’avait rien changé, à l’exception de son regard, flamboyant.
Notre petit jeu n’allait pas s’arrêter là…

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