Fanchon Au Château 1

Ma douce Fanchon, voilà dix jours que tu es jeune mariée et même si ni toi ni moi nous attendions à ça c’est maintenant une réalité.
Tu as rencontré Edouard voila une dizaine de semaines alors que tu étais Chef de rang lors du mariage d’un de ses petits neveux. Encore un de ces mariages « pouet pouet ma chère » où tu supportais les délires des bourgeois parvenus de la région en te disant qu'il faut parfois avoir le caractère mieux fait que la figure. Le brave Edouard s’est rendu compte de ta patience et il est venu te faire la causette et te draguer gentiment en même temps. Toi ça t’amusait, et comme c’est lui qui régalait, tu pouvais passer un moment à discuter avec lui sans que ce soit un drame. A la fin de la soirée il a donné un pourboire royal à ton équipe et il a tenu à te laisser un pourboire personnel dépassant largement ce que les plus sympas t’avaient laissé jusqu'à présent. Puis il t’a demandé ta carte, t'as donné la sienne, et t’a gentiment demandé l’autorisation de t’inviter un soir à dîner en tout bien tout honneur. Ca t’a amusée et tu as accepté, pensant que ça n’engageait à rien compte tenu de son âge canonique. En effet le brave homme a quatre-vingt ans bien sonnés et il n’est plus très vert…
Quelques jour plus tard Edouard t’as appelée pour t’inviter dans un excellent restaurant. Lors du dîner il t’a dit qu’il s’était renseigné sur toi auprès de certains amis bien placés… Après s'en être excusé, il t’a expliqué sa situation de famille et les ambitions dévorantes de ses neveux et nièces. Tous louchent sur sa fortune plus que confortable mais pas un d’entre eux ne lui consacre même la moitié d’un après midi. Régulièrement ils interrogent son médecin traitant pour savoir pour combien de temps il en a encore et ils lui ont bien recommandé d'éviter l'acharnement théutique si toutefois un accident se produit. Alors, il t'a expliqué qu'il a décidé de leur laisser le minimum légal et de faire profiter de sa fortune à quelqu’un qu’il considère comme méritant.

Tu as failli lui rire au nez mais comme il est très sympa et plein d’humour tu lui as promis de réfléchir et de regarder parmi tes connaissances si quel qu'un pouvait prétendre à sa générosité.
Quand tu m’as raconté l’histoire je n’en croyais pas mes oreilles. Puis je t’ai chambrée en te disant que tu es sans doute l'élue de ses cogitations et qu'il ne faut pas laisser passer ta chance... Ensuite, nous avons fait l'amour comme des affamés en nous disant que ce serait beaucoup moins facile lorsque tu aurais emménagé au château.
Rapidement les choses se sont précipitées, il t'a renouvelé sa charmante proposition avec tact mais aussi avec beaucoup d'insistance en arguant de son âge et de l'urgence devant la voracité de sa famille. Après plusieurs rendez vous et des heures d'argumentation devant une tasse de thé et des petits fours, il a fini par éliminer tes derniers scrupules et vous avez publié les bancs. Moins de trois mois après que vous ayez fait connaissance le mariage a eu lieu.
Pendant la préparation de l'événement tu m'as téléphoné à plusieurs reprises pour me faire part de tes angoisses et de ta gêne. Tu crains que les bourgeois du coin ne te classent comme aventurière, mais je t'ai rappelé ce qui se passe derrière certaines des splendides façades de leurs hôtels particuliers et toi et moi savons que très peu d'entre eux sont exempts de défauts. De plus comme tu conserves ton activité professionnelle tu n'as pas vraiment l'allure d'une parvenue. Tu as préparé cette fête avec la même rigueur et le même professionnalisme que s'il s'était agi d'un gros client de ta société et les invitations sont parties.
Exceptionnellement, Madame ma chère épouse m'a laissé répondre à ton invitation sans en faire une histoire... sans doute est elle ravie de te savoir recasée…
Après un délicieux repas où chacun y est allé de son petit discours sur le bonheur futur des nouveaux mariés, nous avons tous gagné la grande salle d'apparat pour danser sur la musique d'un excellent orchestre spécialement commandé par ton époux.
Jeunes et vieux semblaient enchantés par la variété du répertoire et tout le monde s'amusait bien. Edouard et toi avez disparus pendant un rock et nombre de plaisanteries grasses et parfois désobligeantes ont circulé parmi les convives
Quand la série de slows a repris, une des nièces de ton époux m'a invité sur la piste. Elle se collait à moi comme une chatte en chaleur en me roucoulant des histoires salaces à l'oreille. J'étais partagé entre l'idée de l'entrainer dans un coin sombre pour la sauter façon hussard, et trouver un prétexte pour m'esbigner et fuir sa compagnie pour un endroit plus calme. Pendant que je cherchais une solution, la demoiselle commençait à s'escrimer sur ma braguette et j'ai bien cru qu'elle allait déballer mon affaire au milieu de la piste. Regardant un peu partout autour de moi pour chercher une échappatoire, j'ai vu ton minois apparaitre dans une porte entrouverte. M'ayant repéré tu m'as fait signe et je me suis excusé auprès de ma cavalière et je suis venu à toi. Lorsque j'ai poussé le battant qui te dissimulait je suis resté figé. Tu étais en tenue légère ; slip, soutien gorge pigeonnant, porte jarretelles blancs et bas blanc perlé. Tu m'as tiré vers toi en refermant la porte et tu m'as expliqué que lorsque vous vous êtes retirés, Edouard t’as chauffée de quelques caresses motivantes puis l'alcool qu'il avait absorbé a eu raison de lui et il s’est endormi comme un bébé avant de t'avoir honorée. Ne voulant pas en rester là un si beau jour, tu as décidé de descendre discrètement me faire signe dans la salle de bal.
Je n'ai pas voulu abandonner une amie de longue date dans le besoin et je t'ai suivie…
Dans l’escalier tu tortillais du cul devant moi et je n’ai pas pu m’empêcher de te saisir les cuisses et de lécher tes fesses et même un peu plus. Tu t'es agenouillée sur une marche et j'ai collé mon ventre contre toi. La nièce d'Edouard avait commencé à me chauffer et ton petit manège a fait reprendre de la vigueur à ma virilité.
Sentant la bosse de mon pantalon entre tes fesses tu as glissé ta main entre nous et tu as tôt fait de libérer la bête. Comme tu me guidais, je t'ai saisie par les hanches et j'ai poussé d'un coup de reins. Edouard t'avait bien préparée car ta féminité était ruisselante et je me suis enfoncé en toi sans difficulté. J'ai commencé à te besogner, mais un bruit de porte au bas de l'escalier nous a alertés et nous avons fini de gravir les marche en courant.
Quand nous sommes arrivés dans tes appartements personnels tu as ri en me voyant la braguette ouverte et le sexe dressé devant moi. Tu t'es collée à moi pour m'embrasser en me disant d'une voix tendre :
- Elle me plait beaucoup ta queue, tu continueras à me la prêter ?
J'ai acquiescé et j'ai plaqué mes mains sur tes fesses pour te soulever. D'une main tu t'es pendue à mon cou et de l'autre tu as fait glisser ta culotte sur le côté. Puis me regardant dans les yeux tu a enserré ma taille dans tes jambes et je t'ai pénétrée debout. Les pieds bien à plat sur le sol j'accompagnais tes mouvements en te soulevant de mes mains. Rapidement tu t'es mise à gémir et je me suis inquiété du bruit que nous pouvions faire. Tu m'as demandé de te reposer au sol et tu m'as entraîné vers la porte de communication avec les appartements de ton mari. Là, tu as ouvert doucement et tu m's montré qu'il dormait profondément.
Alors nous avons refermé la porte tout aussi doucement et tu m'as entrainé vers ton grand lit. Tu t'es accroupie devant moi pour faire descendre mon pantalon et tu m'as pris en bouche. Tu adores les fellations et tu fais preuve d'un grand savoir faire… je sentais ta langue tout autour de mon gland et j'en avais des frissons. De temps à autre je te sentais m'aspirer avec force comme si tu voulais m'avaler. Quand tu as jugé que ma verge avait les caractéristiques requises, tu t'es relevée et tu m'as embrassé avec fougue.
À mon tour, je me suis accroupi devant toi et j'ai fait glisser ta culotte jusqu'au sol et tu l'as lancée au loin de la pointe de ton pied.
Je t'ai poussée sur le lit pour que tu t'y allonges et avec une infinie tendresse, j'ai commencé à couvrir ton corps de baisers.
Alors que je posais une suite de petits baisers sur l'intérieur de ta cuisse, tu as guidé ma bouche un peu plus haut et j'ai posé ma bouche sur ta vulve. Tu te cambrais en poussant ton ventre vers moi. J'ai repris mon voyage en remontant vers ta poitrine, mais cette fois tu as dégrafé rapidement ton soutien gorge pour sentir mes lèvres sur la peau de tes seins et sur tes mamelons gonflés.
Me renversant sur le dos, tu t'es débarrassée de mes derniers vêtements puis tu as repris ma verge tendue dans ta bouche. Quel délice… tu t'es installée en position de soixante neuf sans lâcher ma tige puis tu as posé ta chatte mouillée sur ma bouche… Délicatement j'ai léché tes lèvres mouillées, parcourant ton entrecuisses du clitoris à la rosette de l'anus. Tu écartais les jambes m'offrant ton intimité à déguster… mes mains couraient sur ton dos, sur tes flancs et tes seins. De temps à autre, j'écartais tes fesses de mes doigts et pénétrais ton anus froncé de mon pouce pendant que je suçais ton clito et buvais ta cyprine. Tu vibrais sous mes caresses puis tu t'es redressée, et me tournant toujours le dos tu t'es empalée sur mon membre au maximum de la bandaison. Prenant appui sur les mains et les pieds, tu as dirigé le rythme de mes profondes pénétrations et c'était un spectacle délicieux pour moi de voir mon sexe tendu s'enfonçant dans le tien ruisselant et ton joli cul qui montait et descendait… lorsque nous nous sommes rejoints au sommet de la jouissance, tu t'es retournée sans me laisser sortir puis tu t'es allongée sur moi. Je t'ai entourée de mes bras ma verge toujours au chaud dans ta grotte inondée.
Malheureusement la nuit était déjà avancée, alors, je me suis levé à regret et j'ai gagné ta salle de bains pour retrouver un peu de fraîcheur et regagner le domicile conjugal.

À suivre…

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