Jacqueline
La plage, l'été, les filles : éternel départ. Pour moi, c'est encore plus simple : je me masturbe en cette fin d'après midi, couché sur le lit de l'appartement de location. Je vais jouir dans pas longtemps, il manque juste le fantasme final. Je vois enfin le corps de ma voisine que je connais depuis toujours, la voisine, pas le corps. Enfin la voilà nue, devant moi. Elle aussi se masturbe ostensiblement, sa main sur une chatte brune comme ses cheveux.
Je sens le tourbillon dans le bas ventre : le sperme s'échappe en longs jets. Je me remets lentement avant de me rhabiller légèrement : un pantalon un tricot et basta. Le bas ventre satisfait, je vais juste aller faire un tour sur la plage, là où peu de personne se déplacent à pied. Je regarde autour de moi les filles nues qui s'amusent comme des folles à se jeter dans l'eau. Surprise quand je vois de loin Jacqueline, ma voisine avec qui en rêve je me branlais. Réaction anormale : je bande en la voyant. Je m'approche d'elle qui en me voyant venir me sourit comme toujours.
Elle me regarde avec insistance, elle regarde surtout le pantalon. Bien sur elle voit que je bande comme un phoque.
Eh bien qu'est ce qui t'arrive pour être excité.
Je ne vais pas lui dire que je me suis masturbé tout à l'heure en pensant à elle.
Tu veux que je me branle devant toi ?
Et tu vas me demander de le faire aussi.
Oui, comment as-tu deviné.
Fais moi voir ta queue que je ne connais pas, depuis le temps qu'on se connaît. Tu aurais du ma la montrer bien plus tôt.
Et toi, ton con, pourquoi tu le garde toujours couvert.
Non il n'est pas toujours couvert : quand je me touche je me fais jouir sans rien porter. Là, tu ne vois pas, dessous je suis nue. Rien que la robe.
Elle soulève sa robe par devant. C'est vrai je vois sa chatte velue, le départ de sa fente. Un passant regarde, il fait un coup d'arrêt en regardant Jacqueline, c'est vrai qu'elle en, vaut la peine, ma voisine.
Je défais la boucle du pantalon qui tombe laissant voir ma virilité en pleine extension. Je sais que je peux me branler longuement ayant joui, quoi un quart d'heure avant. Mon prépuce descend sans que je le touche. Il me fait du bien en passant le long du gland, surtout que Jacqueline me regarde. Elle passe une main sur le pubis, caresse ses poils comme pour les peigner. Prudemment un doigt, un seul traverse le couloir menant à sa chatte. Son bas ventre est tendu vers moi, comme le mien est tendu vers elle.
Nous faisons abstraction de toute pudeur, même si des gens nous regardent, y compris les jeunes filles nues dont une se masturbe devant nous. Seul compte le plaisir immédiat. En saisissent ma queue je ressens comme un soulagement. Ma main commence les allers et venues. Celle de Jacqueline suit le même chemin. Nos yeux sont rivés sur le sexe de l'autre. Elle commence une longue caresse qui va la mener à l'extase finale. Nous nous branlons avec un plaisir immense. Je suis mon plaisir dans ses yeux toujours fixés sur ma pine.
Brusquement dans un grand soupir elle penche sa tête en arrière, sa main se crispe sur la chatte bien mouillée : elle jouit. Je ne sais trop pourquoi, ni comment j'ai pu arrêter ma masturbation : je tiens ma voisine dans mes bras.
Puis je me souviens :
Nous sommes nés le même jour à une heure près (elle est ma cadette) nous vivons depuis toujours dans la même rue, juste en face. Nous avons passé notre vie à nous côtoyer comme frères et surs. Un jour, plus tard, quand j'avais presque 25 ans, elle trouvait un gars qui lui a plu. Mariée, elle s'est vite séparée de celui qui ne l'honorait pas assez. Je m'étais éloigné pour mon travail. Je ne pensais presque plus à elle. Un jour, en la voyant un peu dévêtue, je me suis rendu compte qu'elle ne me déplairait pas pour passer un moment à lui faire l'amour. D'où mon désir caché pour elle.
Et tous ceux qui nous regardent, certain avec envie à voir les queues tendues ou des mains sur les chattes. Malgré ou à cause de son orgasme, je ne sais pas, elle trouve ma queue contre elle. Elle se laisse glisser sur le sable, entoure mes jambes de ses bras avant d'ouvrir en grand sa bouche pour avaler la queue qui bande toujours. Je ne pensais jamais qu'elle sache si bien faire une fellation. Seule sa langue fait le gros du travail en léchant tout ce qui se présente de ma queue. Jacqueline monte ses mains. Je sens qu'elle écarte mes fesses. Je devine ce qu'elle veut : j'essaie d'ouvrir mon anus. Je force pour rien : elle y entre facilement un puis deux doigts. Elle les enfonce dans mon cul reconnaissant de cette nouvelle fantaisie.
Je ne peux plus tenir, malgré ma volonté de garder ma jouissance encore un peu, mon sperme s'échappe. J'aurais du lui dire peut-être que j'allais jouir, au cas où elle n'aime pas la semence humaine. Elle aurait pu, du...... Elle lâche la pine quand je suis totalement vide.
Quand enfin elle se met à nouveau debout, elle m'embrasse : je sens le goût et l'odeur de sperme sur sa langue. Enfin elle laisse tomber sa robe, me prend par une main pour m'entraîner avec elle là bas, dans la mer. Le ressac vient sur nous, sur nos sexes. Elle me dit avoir envie de moi, je ne sais que répondre : je vient de jouir. Je sens quand même une sourde envie de la lui mettre, là où elle voudra. Face à face, dans cette mer à peine agitée qui nous excite, nous nous laissons aller à nous aimer, même si on nous regarde, ou peut-être à cause de ça, justement. Elle vient tout contre moi, s'applique à se tenir à ma taille avec ses cuisses écartées. Je sens, juste au bout de ma bite son abricot. C'est elle qui arrive sans mon aide à se faire baiser.
Je n'avais pas tellement envie de jouir encore : elle me fait vite changer d'avis : son con est trop agréable pour le refuser.
Nous restons jusqu'à la nuit tombée, quand nous sommes seuls, enfin, pour nous éclater une dernière fois elle sur moi, ma bite dans le cul cette fois. Je vois à peine sa main qui va et vient sur le clitoris.
Nous savons que nous allons continuer très longtemps dans la vie de tous les jours à nous faire l'amour sans retenues comme maintenant.
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