Virginie
Virginie
Je suis arrivé vers quatorze heures, elles en étaient au dessert, après mavoir fait entrer, Marie Christine ma présenté Virginie et je me suis installé pour partager un bout de gâteau et le café. Tout en mangeant nous avons discuté de choses et dautre. Je me suis rendu compte que Virginie était un peu pompette. Les bébés se sont mis à pleurer, ils avaient faim, lheure de la tété. Marie Christine a ouvertement devant moi donné sa tété aux sien dabord a gauche puis a droite et encore a gauche. Ça les a calmés un peu, le temps de préparer des biberons. Pendant quils buvaient jai demandé à Virginie
- vous aussi vous lui donnez la tété.
- Oui, bien sur, ça me soulage, si je ne lui donnais pas, ma poitrine serait trop douloureuse.
- Tu en as quun toi ?
- Oui, un seul et cest un accident.
- Il y en a qui ont de la chance, le tien, il a deux mamelles pour lui tout seul alors que ceux de Marie Christine doivent se les partager.
- Oui, peut être mais elle, elle a du plaisir plus longtemps.
- Du plaisir ?
- Oui, cest très agréable dallaiter, je pense que cest le plus grand plaisir que jai pu avoir.
- Tu me parlais daccident, tout a lheure, tu ne le désirais pas ?
- Oh non, cest à cause de lui que je suis marié.
- Tu naime pas ton mari ?
- Cest pas que je ne laime pas, cest le seul homme que jai connu, il est gentil et prévenant.
- Tu tes marié avec lui parce quil était gentil ?
- Non parce-que jétais enceinte de lui.
- Et tu na rien pu faire dautre ?
- Oh non, ce nest pas dans les habitudes de ma famille.
- Comment ça sest passé ?
- Je le connaissais depuis longtemps, il était dans mon école, on est sorti ensemble pendant trois ans sans coucher bien sur puis lor dune fête, jai cédé, et il ma fait lamour dans la voiture sur la banquette arrière, jai eut très mal mai lui ma semblé ravi. Après ce jour, de temps en temps, il sarrangeait pour quon se retrouve seul et il recommençait.
- A ce que tu me dis, tu na jamais eut de plaisir en faisant lamour ?
- Non, le seul plaisir que jai cest quand bébé tète ma poitrine.
- Cest vraiment tout, bien ça alors, jaurais jamais cru que ça existais.
- Pourquoi ? tu crois quune femme peut avoir du plaisir avec un homme ?
- Bien sur, cest la base même de lamour. Cest a cause de ça que les hommes et les femmes font des s, ce nest pas par accident comme toi. Demande a Marie Christine si elle na pas eut de plaisir.
- Oui, je sais, elle me la déjà dit, cest a cause de ce plaisir quelle a ses triplets.
- Tu veux essayer ?
- Avec toi ?
- Pourquoi pas, jai une certaine réputation dans ce domaine.
- Tu es sur que je ne risque rien ?
- Tu ne risque absolument rien si ce nest découvrir le monde du plaisir.
Tout en lui parlant, je me suis approché delle et jai commencé a la caresser doucement. Marie Christine était entrain de donner le biberon, jai demandé a téter. Elle a ouvert le devant de son bonnet de soutien gorge et ma laissé faire. Jai léché, jai senti le teuton durcir et je me suis mis à pomper tout en dégrafant lautre coté. Au bout dun petit moment, elle ma demandé darrêter en me disant quil fallait en laisser pour son petit. Je lai embrassé et mes mains se sont mise a lui parcourir tout le corps. Jai dégrafé sa robe et elle sest retrouvée presque nue devant moi. Marie Christine nous a arrêté et nous a demandé de monter dans la chambre a cause des voisins qui risquaient de nous voir au travers des baies vitrées. Dans la chambre, je me suis mis a lui caresser le sexe et je lai faite crier de plaisir.
- tu voies bien, on peu avoir du plaisir sans faire lamour par contre de le faire ça multiplie ce plaisir par dix ou même cent.
- Je navais jamais ressenti ça avec mon mari.
- Cest quil ne sait pas y faire, attend :
Je lui ai retiré la culotte et je suis passé entre ses jambes pour laper le jus qui sortait delle. Ses gémissements se sont amplifiés puis jai enfoncé mes doigts dans son vagin en lui suçant le clito et je lai faite complètement décoller. Un petit moment après, quand elle a repris son souffle
- ça y est, nous avons fait lamour ?
- non, pas encore.
- Pourtant, jai eut mile foies plus de plaisir que tout a lheure.
- Tu va voir maintenant, je vais te faire lamour et ça va être encore plus fort.
Jai replongé sur son sexe dégoulinant, jai léché, caressé puis quand elle a recommencé a onduler du bassin pour arriver a lorgasme, je lai pénétré. Ça a été un des rodéos les plus mouvementés de ma vie, cette femme qui navait soit disant jamais jouis était une véritable bombe qui nattendais quune petite flamme pour exploser. Elle a eut quartes ou cinq orgasmes foudroyants sur mon chibre dressé puis je me suis retiré et je lui ais arrosé le ventre de mon plaisir. Marie Christine qui avait recouché ses s était entrée pendant le début du rodéo, sétais déshabillé et se caressait a coté de nous. Des que je me suis allongé sur le coté elle sest jetée sur Virginie pour lécher le sperme qui maculait son ventre. Dans un semi coma Virginie narrêtait pas de répéter :
- Cnest pas possible, ce nest pas possible que je ne puisse pas avoir autant de plaisir avec mon mari.
Marie Christine semblait en pleine forme, en quelques minutes elle a totalement nettoyé le ventre de Virginie et sest décalé pour me pomper le jonc quand il a regonflé sous ses caresses, elle ma chevauché, introduit en elle et sest agité pour avoir son plaisir. Au bout dun moment, après quelle ai jouis au moins deux foies, je lai arrêté pour lobliger a me faire sortir delle en lui disant :
- si tu continue comme ça, je vais ten remettre trois ou quatre dans la bonbonnière.
Ça la tétanisé et elle sest poussée sur le coté. Virginie a profité de ça pour prendre sa place. Jai essayé de larrêté en lui disant que pour ne pas avoir de risques, il fallait faire tomber un peu la pression, elle ma répondu
- ce nest pas grave, tu peux jouir en moi, mon mari le fait bien et il ma dit que tant que jallaitais, je ne risquais rien.
Puis elle a commencé à sagiter, dabord doucement puis au fur et a mesure que son plaisir montait, elle accélérait le rythme. Ce fut une apothéose, nous avons crié tous les deux ensembles et je me suis vidé en elle.
Après cet intermède houleux nous nous sommes rhabillé. Pendant que Marie Christine remettait un peu dordre, jai expliqué
- pour avoir du plaisir avec ton mari, il te faut être forte et lui imposer des préliminaires.
- Je ny arriverais jamais.
- Mais oui, il taime donc il fera ce que tu lui demande.
- Je ne croie pas, il est assez bourru.
- Peut être mais si tu te refuse quand il veut te prendre comme avant, tu y arriveras.
- Ce a quoi jarriverais cest prendre des claques et me faire violer.
- Mai non, il faut le prendre par la bande, un coup, tu est malade, la foie suivante tu as tes règles, quand tu juge le moment propice tu lallume et tu loblige a te sucer le minou ou autre chose. Je suis sur que tu va y arriver.
- Jespère, ce serais tellement agréable davoir régulièrement du plaisir comme tout a lheure.
- Je suis sur que si tu te débrouille bien, tu auras du plaisir quand tu veux et ou tu veux.
- Tu croies vraiment ça ?
- Oui, bien sur, vous les femmes vous pouvez faire faire ce que vous voulez aux hommes, il suffit dun peu dexpérience. Demande a Marie Christine si tu veux, elle pourra texpliquer comment elle mène son mari par le bout du nez, enfin, façon de parler.
- Tu as raison, je lui demanderais de me donner des cours. Au revoir et jespère a bientôt.
- Au revoir et si tu le désire vraiment, bien sur, a bientôt, je serais ravi de te montrer dautres trucs.
Je suis reparti pour terminer les clients de ma journée.
Le soir jai appelle Marie Christine pour voir si tout allait bien, elle ma appris que Virginie était resté très tard pour se faire expliquer les techniques pour refuser en douceur le câlin...
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