Une Drôle D'Amoureuse - Episode 2
Après le salon, je retournai bien entendu voir le mari de Camille (Luc) pour traiter nos affaires professionnelles. Une fois le bizness réglé, il minforma que Camille lui avait fait part de son désir de me voir être son amant officiel, et me donna son accord.
- Bien entendu, comme elle te la dit, je serai parfois présent à vos ébats : je suis impuissant mais pas manchot ni aveugle !
- Je comprends, Luc. Javoue que cela me trouble un peu, nayant pas dexpérience en la matière. Je suis tombé amoureux de ta femme sans savoir quelle était mariée. Je men excuse, mais maintenant que cest fait, je suis heureux que tu le prennes ainsi. Je ferai de mon mieux pour vous satisfaire tous les deux.
Un sourire, légèrement carnassier, apparu fugitivement.
- Jy compte bien, mon cher. Saches quelle ne me cache rien, aussi je saurai toujours où vous en êtes tous les deux.
- Je suis daccord aussi. Cest bizarre pour moi, mais je veux tenter cette aventure !
Les choses mises au point, il me dit : « va jusquau bureau du fond et entre, une surprise tattend ».
Je pris le couloir, poussait la porte. Et là, je vis Camille, totalement nue, allongée sur un canapé en tissus multicolore, qui sastiquait la chatte, jambe grandes ouvertes.
- Ah, te voilà, jétais impatiente de vous finissiez vos affaires, Luc et toi. Ferme bien la porte, approche et lèche moi, jen ai marre de me branler en solo me dit-elle dun ton un peu autoritaire.
Stupéfait par cette entrée en matière pour le moins originale, je mempressais de mapprocher.
Enlevant mes chaussures, je magenouillai sur le canapé. Je regardai cette femme offerte, déjà bien lubrifiée par ses attouchements, sa moule bien propre, taillée avec soin, ses lèvres entrouvertes comme un appel à la joie. Jaurai voulu lembrasser dans le cou, lui dire combien elle mavait manqué, mais non, jai compris quil fallait que je réponde à sa demande sans parler.
Alors jai approché mes lèvres de sa chatte, et je lai lapée à grand coups de langue, absorbant tout le jus qui en coulait. Elle me tenait la tête, appuyant légèrement, et son bassin commençait à onduler.
- Mmmm, cest bon, continue à me lécher la fente, jadore.
- Hhoummm,mmm, jaime le goût de ta cyprine, coquine.
Je continuais un peu, puis je décidais de lui prendre son bouton. Elle a un gros clito, ma Camille, et je pensais bien quelle apprécierait.
Je happais le petit bout de chair, laspirant fortement, et de la langue je lentourais, tournant dans un sens, dans lautre, puis de haut en bas.
Elle ne tarda pas à se raidir un peu, sétirant sur le canapé, prenant ses seins en main et en pinçant les bouts.
- Salaud, tu vois que je ne peux résister à ce traitement ! ouuuuuu, aaahhh, mmmmn cest trop bon.
Je continuais encore et encore, et au bout de dix minutes, je sentis quelle allait jouir. Alors je lui mis deux doigt dans la chatte et les bougeait rapidement, tout en la suçant. Un long cri retentit dans la pièce, puis le silence revint.
Elle me regardait avec ses yeux verts embués, encore pleins de son plaisir.
- Viens là, prends-moi dans tes bras maintenant, je veux ton corps contre le mien.
Je mallongeais à côté delle, et nous fîmes un gros câlin. Je pouvais enfin laisser mon sentiment amoureux sexprimer, en douceur.
Mais bien sûr toute cette première séquence mavait quelque peu durcie le jonc, et le sentant contre sa cuisse, elle approcha une main et commença à me branler lentement. Mons sexe se raidit un peu plus.
- Tu sais que jaime me faire enculer, me dit-elle, mais aujourdhui, tu nauras pas droit de menfiler, je te réserve pour une autre fois.
Jétais un peu dépité.
- Mais en revanche, je vais te sucer comme personne ne la jamais fait ! Mets-toi à quatre pattes sur ce canapé. Tu nas pas le droit de faire quoi que ce soit, cest moi qui agit, toi tu profites.
Je me suis déshabillé et installé comme elle le voulait.
Se mettant à genoux sur le sol, à côté de moi, elle commença à me prendre la queue dune main, tout en me pinçant doucement les tétons. Ma queue durcit un peu plus
Une fois bien raide, elle se glissa entre me jambes, comme en 69, et mattrapa le gland. Elle nalla pas plus loin, gobant mon bout et lui appliquant un massage très doux avec sa langue. Je me sentais un peu bête dans cette position inhabituelle, mais jappréciais grandement son entrée en matière.
Je sentais bien sa langue, qui tentait par moment de pénétrer mon méat, sinsinuant dans cette petite fente.
Pendant ce temps, ses main était passée de mes tétons à mes fesses, et elle me les malaxait, écartant les globes, exposant mon cul. Javais très envie de lui lécher la chatte à nouveau, puisquelle était à portée de bouche, mais je respectais sa demande. Il faut dire que je profitais bien en effet.
Puis une de ses mains se mit à me caresser la raie, elle humectait ses doigts pour menduire le cul de salive. Je compris que si ça continuait, jallais avoir un doigt dans le cul. Je navais jamais tenté cela, trouvant cela un peu sale, mais là, avec cette femme qui se donnait à moi toute entière, je ne me suis pas posé la question : cétait oui !
Sa bouche finit par engloutir ma queue dun coup.
- Baise-moi la bouche, me dit-elle en inspirant longuement.
Relevant un peu mon cul, je commençais à la pilonner gentiment, marrêtant au bord de ses lèvres, enfonçant juste mon gland, le retirant, puis menfonçant jusquà sa glotte.
- Mmmm, jadore, quelle belle queue tu as, mon amant, tu me titilles les amygdales avec ton bel engin, et je bave de plaisir.
- Oui, cochonne, tu aimes te faire baiser la bouche, je le vois. Et moi jadore le faire !
Après quelques minutes, elle me dit darrêter, de me calmer et de reprendre ma position.
Elle recommença à me branler en me suçant, et à me caresser le cul.
Puis elle sortit de dessous moi et vint se mettre derrière moi.
- Je vais te lécher le cul, tu aimes ça, cochon ?
- Je ne sais pas, on ne me la jamais fait. Mais tu peux tout me faire, je suis à toi.
- Tu ne crois pas si bien dire, répondit-elle en riant.
Et écartant mes fesses, elle commença à me lécher la raie, de haut en bas, et tirant ma queue en arrière, elle me la suçait par moments.
Je navais jamais rien ressenti de tel. La position à quatre pattes inhabituelle, le sentiment dêtre dominé par le désir de cette fille, et cette sensation de fraîcheur sur mon illet.
Et surtout je ressentais un plaisir incroyable quand elle me tirait la queue en arrière et la suçait.
Est-ce le fait que lengin soit inversé, ou la pression sur mes couilles ? Cétait divin.
Evidemment, elle finit par me titiller la rondelle, le doigt plein de salive.
Quel émoi ! Quelle douceur, des frissons me parcouraient, autant de plaisir que de mimaginer ainsi à sa merci.
Puis elle présenta un doigt, écarta un peu les chairs, peu à peu, très lentement, et me pénétra de toute sa longueur. Elle simmobilisa, essayant de deviner ma réaction. Je gémis de plaisir.
Voyant cela, elle commença un gentil mouvement, tout en me caressant le sexe et les couilles de lautre main.
- Tu sais, cest beau un cul de mec vu comme ça.
- Tu me fais du bien, continue, je navais jamais imaginé de faire cela.
- Et ce nest quun début, bientôt tu me supplieras de tenculer.
- On verra, on verra. Jétais quand même un peu inquiet, car jimaginais bien quentre un doigt et se faire enculer, il y avait de la marge.
- Cest tout vu, jaime trop ça de travailler les trous du cul des mecs. Et toi tu es mon amant officiel, tu ne peux quêtre daccord. Et tu sais que je vais prendre soin de toi, non ?
Que pouvais-je répondre ? Jétais amoureux fou, je nétais pas en mesure de résister.
Ma rondelle sélargissait peu à peu, alors elle mit deux doigts, et elle senfonçait autant que possible.
Javoue que cétait bon, et que la découverte de ce plaisir reste un moment émouvant pour moi.
- Bien, maintenant que tu es ouvert, je vais pouvoir te sucer à nouveau et te faire jouir comme jamais.
Elle se remit sous moi, en 69, elle happa ma queue qui navait pas débandé, et se mit à me sucer à nouveau lentement. Passant ses mains entre mes jambes, elle mintroduisit à nouveau deux doigts dans le cul.
Elle me pompait le bout du gland, là où je suis le plus sensible, et me travaillait le fondement.
Que dire ? Je me suis retenu le plus longtemps possible, pour profiter au maximum de ses caresses, de sa langue qui tournoyait sur mon mandrin. Puis Jai éjaculé, menfonçant dun coup au fond de sa bouche, criant mon plaisir, et elle menfonçant une dernière fois ses doigts au fond du cul et les laissant pendant que je crachais mon jus.
Elle avala toute ma semence, enleva ses doigts, rampa sur le dos jusquà ce que sa tête soit sous la mienne, et membrassa longuement.
- Bienvenue dans le monde des fous de sexe, me dit-elle. Ai-je tenu ma promesse ?
- Oui, mon ange, on ne mavait jamais aussi bien sucé.
- Je sens que je vais adorer te faire plaisir et tinitier à quelque nouvelles pratiques, je te sens bien conventionnel.
A ce moment-là, la porte du bureau sest ouverte et Luc est entré.
- Magnifique, magnifique, votre baise était de toute beauté.
- Mais, mais, comment sais-tu ? ai-je lancé.
- Cette glace sur ce mur est sans tain, et de la pièce dà côté, jai un poste dobservation tout à fait bien installé.
- Bel amant, nous tavons dit que nous ne cacherions rien à Luc. Aujourdhui, il est encore un peu tôt pour quil assiste en direct à nos ébats, parce que tu perdrais tes moyens. Mais lui aussi est un fou du sexe, même si le sien répond mal aux sollicitations.
- Vous êtes vraiment de gros pervers tous les deux, je me demande si je vais pouvoir continuer.
- Mais bien sûr, tu vas pouvoir, et tu verras, tu vas apprécier. Car Luc et moi sentons que tu es fait pour le plaisir, et cest pourquoi nous tavons choisi.
- Mais moi, je taime, je suis amoureux.
- Mais nous aussi nous taimons. Moi aussi je suis amoureuse de toi, et de Luc aussi bien sûr, et lui commence à bien tapprécier, vu la délicatesse que tu as avec moi. Cela le change des soudards que jai pu amener ici.
- Mais oui, nous voulons vivre des moments uniques ensemble, ajouta Luc. Et même, la vue de ton cul ne ma pas laissé indifférent, jai eu une petite érection, la première depuis bien longtemps. Tu es un excellent théute pour moi on dirait ! Tu ne voudrais pas me laisser une chance de retrouver un peu de virilité ?
Et voilà, maintenant, ils étaient deux à me solliciter. Et je sentais que ce nétait que le début.
Mais lexpérience du jour mavait tant plu quil était inimaginable que je me sauve.
- Vous avez gagné, je crois que je vais vous laisser minitier à vos jeux, je crois que jai assez envie aussi de devenir un fou du sexe.
- Très bien. Nous partons le week-end prochain à la campagne. Tu viendras avec nous, et nous aurons deux jours pleins pour nous découvrir me lança Camille.
Son sourire et ses yeux verts menvahissaient.
Jai dit oui.
Pauvre de moi.
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