Baise Folle
Mutée dans cette nouvelle ville, je suis installée dans une chambre meublée avant de trouver un appartement. Au fond du couloir, au fond à droite, drôle de façon de donner mon adresse à ceux qui veulent venir me voir. J'hésite beaucoup à faire venir mes nouvelles connaissances. Avant j'avais un copain, des copines, bref de quoi passer le temps agréablement.
Je pense trop à « avant ». Je suis contrainte de me faire du bien, seule, les soirs et le matins, nue sur le lit en pensant à des sexes que j'ai aimé sucer ou masturber. Parfois il me semble encore avoir juste à portée de la main ou des fesses la main ou la bite qui entrait en moi. Je meurs d'envie de baiser, avec qui, je m'en fiche, je veux simplement reluire avec un une autre.
Au bureau ma voisine m'inspire des pensées osées. Je me vois avec elle couchée, les jambes ouvertes sur sa bouche. L'autre jour, j'avais tellement envie qu'il a fallu que j'aille soulager la chatte dans les toilettes. A mon retour, j'avais encore les joues rouges. Elle me regardait comme une revenante. Je ne baissais pas les yeux, je la fixais en pensant que j'aimerais faire des machins avec elle. Andrée a du le comprendre quand elle a prit ma main en souriant.
Si tu veux venir demain chez moi, avec mon copain nous serrions heureux de partager une soirée.
Bien sur.
Le lendemain je porte des pâtisseries sans savoir ce qui leur ferait plaisir. J'ai du bien tomber : je reçois un baiser sur les joues. Je ne connais pas son copain, il est sympa, sans plus. Nous voilà partis dans une conversation idiote comme le sont celles de gens qui se connaissent peu.
C'est lui qui sans le vouloir met le feu aux poudres quand il me demande si le manque d'homme me pèse.
Je regarde sa braguette avec insistance. Oui, j'ai envie d'un bite, oui je veux bien la sienne. Oui, je veux baiser, oui j'aime ça.
En gros voici le message que je passe.
Andrée sait bien que je cherche : elle me donne sa main pour la mener vers elle.
Enfin il se décide à venir se coller à Andrée, il l'embrasse, se colle à elle. Andrée pose sa main sur la bite. Je la veux aussi. Mon autre main insiste quand elle se pose sur la pine dressée. J'y rencontre la main de celle que je branle. Andrée me laisse la place.
Mon Dieu quelle est dure cette queue. J'arrive péniblement à lui faire une place en l'air. En plus d'être dure, elle me semble belle avec ses veines saillantes, son gland brillant avec sa goutte de liquide au bout. J'imagine aussi ses couilles dures, remontées vers la queue.
Nous devons former un tableau particulièrement chaud ainsi mis. Ma langue rencontre la sienne quand il vient embraser Andrée. Du coup nos bouches sont réunis. J'abandonne la chatte de sa copine pour venir le branler à son tour. La main d'Andrée remplace la mienne. Sans plus se soucier de nous elle se branle. Je ne demande rien de plus quand enfin il me branle avec succès.
Le clitoris s'écrase à peine sous ses caresses. Il me fait vite jouir. Emportée par Éros, ma main astique vigoureusement son mandrin. Je regard bien ma main qui fait descendre et remonter son prépuce. Si au début j'étais patiente, maintenant ma main est rapide, trop rapide pour qu'il tarde à jeter son jus qui gicle sur Andrée. Elle se contente presque seule, j'ai le temps de passer ma main entre ses fesses à la recherche du petit trou. Il est entièrement mouillé de cyprine. Je glissa facilement deux doigts à l'intérieur de ce cul.
J'embrasse les seins pendant que lui donne sa queue à la bouche de sa compagne. J'ai raison, ses couilles sont très près de la queue. Il bande encore dans sa bouche.
Je veux son jus dans le con, dans le cul à la rigueur, en tous cas en moi. C'est elle qui lui propose ma chatte comme étant bonne à baiser. Oui, je suis bonne à baiser, je veux sa pine dans.... là où il voudra.
Il me la met là où j'aime, dans le con profondément comme je ne pensais que ce soit permis. Mes lèvres sont ouvertes grâce à la grosseur de son vit. Je les sens bien s'écarter, s'ouvrir devant le plaisir.
Mes fesses collées à lui, il me prend en levrette. Que c'est bon de sentir une queue d 'homme dans le sexe. Andrée est sous moi, ses jambes ouvertes : ma bouche ne peux résister à la tentation d'aller la goûter encore. La langue se transforme en petite queue pour la rentre dans la vagin plein de secressions. Andrée réagi toujours positivement à ma bouche.
Mes fesses s'agitent quand il me la met. Mes mouvements de va-et-vient accompagnent les siens. Ses poils me chatouillent, sa queue me ramone. Mon con sera propre quand il aura fini, sauf s'il jouit en moi. Il glisse avant de venir s'emboîter dans le cul, juste au milieu. J'en sursaute un peu. Mais quand il m'encule normalement je ne puis y tenir : je jouis encore.
Nous cessons un instant nos amusements pour grignoter un gâteau. Andrée a excellente idée de mettre un chou à la crème dans ma cachette intime. Elle n'a pas à forcer pour entrer la pâtisserie. Oh, bien sur elle ne reste pas longtemps. C'est elle qui en venant bouffer ma chatte en profite pour grignoter le gâteau. Mes jambes ouvertes au maximum, je profite et de sa langue et des derniers soubresauts du gâteau. Lui nous fait tourner, je me trouve dessus mon amie, la langue toujours sur mon vagin.Il écarte les fesses, la langue posée sur l'anus. Il me lèche largement, entre un peu, me donne encore envie d'être sodomiser.
Il bande de plus en plus, j'espère qu'il va me la mettre au cul.
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