Le Club De Patchwork, Françoise
Oui je sais « le club de patchwork » ce nest pas très vendeur comme titre dhistoire.
Pour ceux qui ne connaissent pas ; le patchwork ce nest pas le nom dun club libertin ni le nom dune position sexuelle farfelue. Le patchwork cest lart de coudre ensemble des morceaux de tissus dont les motifs et les couleurs sont différents. Je ne vais pas rentrer dans les détails techniques car ça na aucune importance pour cette histoire mais sachez que ce sont plutôt des femmes dun certain âge qui pratiquent cette discipline.
Je mappelle Benjamin, jai 28 ans, 1m85 pour 75kg, les cheveux bruns coupés très courts. Il faut être réaliste : je ne suis pas un beau gosse mais je ne suis pas moche non plus. Pour le moment je nai pas envie de vivre une grande et belle histoire damour comme dans les films. Non, je profite de la vie et jai de petites aventures par-ci par-là. Elles ne durent jamais très longtemps et ça me convient parfaitement. Jalterne donc les temps de célibat avec les temps où jai une copine (avec plus ou moins de réussite). Mon « terrain de chasse » préféré cest internet où on trouve des tas de sites de rencontres. Il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses (sans jeu de mot !) mais moi je nai pas envie de dépenser mon argent donc je surfe sur des sites gratuits. Il faut faire le tri dans les annonces et beaucoup ne débouchent sur rien de concret mais en prenant mon temps je finis par obtenir quelques rendez-vous. Cet après-midi jai rendez-vous avec Angélique, une petite blonde de 25 ans. Elle paraît sérieuse et plutôt motivée car elle me donne son adresse ; dhabitude ce genre de rencontres se font dans un café. Je me présente à lheure convenue et je sonne à la porte au troisième étage dun petit immeuble. Pas de réponse. Je patiente un peu puis je re-sonne. Mauvais signe, ça sent le lapin. Ce nest pas grave, je mattendais un peu à ce genre de plan. Je suis déjà tombé sur une fille qui nassume pas ses propos et qui donne une adresse bidon quand elle voit que ça va trop loin pour elle.
« Bonjour Madame. Je viens voir Angélique
euh
nous nous sommes rencontrés la semaine dernière et je voulais linviter à boire un café. »
« Je crois quon vous a fait une blague jeune homme. Il ny a pas dAngélique ici. »
« Ah
oui, peut-être une blague ou alors je nai pas bien noté ladresse. »
« Qui cest ? » demande une voix féminine qui vient du salon.
« Ce nest rien. Simplement un jeune homme qui sest trompé dadresse »
La propriétaire de la voix se rapproche. « Vous cherchez quoi comme adresse ? »
« Il cherche une fille sappelant Angélique mais il ny a personne de ce nom ici. »
« Ah non, cest sûr, il ny a pas dAngélique ici. Mais dites-moi monsieur, je vois que vous êtes grand. Est-ce que vous pourriez-nous aider à déplacer quelques cartons se trouvant en hauteur ? »
Je suis surpris par cette demande mais ces deux femmes ont lair sympathique et jai maintenant un peu de temps devant moi grâce au lapin que ma posé Angélique. Elles me font donc entrer dans le salon où 5 autres femmes ayant également la cinquantaine bien passée sont en train de faire du patchwork.
« Les filles, voici un gentil monsieur qui va nous aider à déplacer les cartons de tissus. »
« Merci
Oh cest gentil
Ca va bien nous aider
» dirent les filles.
Dans quelle galère me suis-je fourré ? Je me vois déjà dans la poussière du grenier à débarrasser des cartons tout laprès-midi. Oula la, il faut que je trouve une solution pour me sortir de là. Heureusement jai mon téléphone portable, je prétexterais donc un appel pour mesquiver.
« Vous prendrez un peu de thé ? »
Aïe aïe aïe. Elles sont gentilles mais le thé ça ne me branche pas trop. Elles ne sont pas méchantes alors je ne veux pas les vexer.
« Oui, merci. Une petite tasse sil vous plaît »
Celle qui mavait ouvert la porte mentraîne dans la pièce voisine qui se trouve être un bureau.
« Voilà » me dit-elle. « Si vous pouviez me descendre les cartons qui sont sur cette armoire vous seriez charmant »
« Bien sûr madame » Cest ça le petit service quelle voulait ? Ce nest finalement pas grand-chose et en 3 minutes les cartons sont posés à terre. Je retourne dans le salon où une tasse de thé mattend. Je massoie et je bois tranquillement en faisant semblant de mintéresser à ce que toutes ces femmes sont en train de faire.
« Nous nous réunissons entre copines pour faire du patch »
« Aaaaaahhhh. Ca a lair difficile. »
« Non, pas du tout, il faut savoir coudre cest tout. Et puis la vérité cest quon passe plus de temps à papoter quà faire de la couture. »
Je me sens observé. Je jette un il autour de moi pendant que je bois mon thé et je croise le regard dune femme qui navait pas dit grand-chose jusquà présent. Petit sourire timide de sa part mais elle détourne aussitôt le regard. Bizarre. Serais-je à son goût ? Cette idée me fait sourire et jai un début dérection car elle plutôt bien conservée. Elle est assise donc je ne sais pas quelle taille elle fait. Son visage est rond, encadré par des cheveux bruns coupés au carré et ses yeux gris-bleus lui donnent un regard profond. Sa poitrine déforme nettement le pull sous lequel elle est cachée. Je ne suis pas expert en taille de seins, je remarque surtout quils sont bien dessinés (peut-être que le soutien-gorge est trompeur ?).
Je finis mon thé et je prends congés de ces dames en leur souhaitant un bon après-midi. Il nest pas très tard alors je me décide pour aller louer un dvd pour cette soirée qui tombe à leau. Je descends les escaliers en cherchant quel titre je pourrais louer et au moment de sortir de limmeuble je maperçois que jai oublié ma veste. Zut, demi-tour, je remonte au troisième au pas de course et entre 2 étages je tombe nez-à-nez avec la dame timide qui descendait à toute allure ma veste à la main.
« Vous avez oublié votre veste »
« Ah, oui.
« Cest que je voulais aussi profiter quon soient seuls pour vous demander quelquechose. »
« Dites-moi. » Elle nest pas mal du tout. Je suis sûr quelle fait du sport pour entretenir son corps car elle nest pas grassouillette comme certaines. Finalement elle nest peut-être pas si timide que ça. Elle nosait rien dire devant ses copines par peur des moqueries si elle aborde un jeune. Je crois quelle va me demander mon numéro de téléphone. Hummm ça pourrait être une expérience sympa.
« Vous habitez dans le coin ? »
( Ah non ; raté pour le numéro de téléphone )
« Oui, jai un appartement à deux rues dici. »
« Ca membête de vous demander ça. Vous pourriez maider à déplacer quelques affaires comme cet après-midi ? »
« Euh
oui
cest-à-dire que je ne suis pas tout le temps chez moi alors il faut trouver un moment libre. »
« Je vous laisse mon numéro. Vous naurez quà mappeler quand vous aurez un peu de temps. »
« Daccord. » Jentre son numéro dans mon téléphone. « Je le mets à quel nom ? »
« Françoise »
Elle me tend ma veste. Je sens Françoise tendue. Je mapproche et je lui fais une bise. Jai toujours en tête cette idée de passer du bon temps avec elle. Tout espoir nest pas perdu car jai son numéro et que nous allons être amenés à nous revoir. Je mapprête à descendre les escaliers quand elle minterpelle.
« Au fait, je ne connais même pas votre prénom. »
« Benjamin »
« Cest joli. »
« Vous aussi vous êtes jolie. » Je suis dingue de balancer ça de telle sorte. Quel idiot ; il fallait attendre notre prochaine rencontre. Maintenant elle va fuir.
A ma grande surprise elle se rapproche de moi. Elle a dû vaincre sa timidité car elle att mon bras, elle vient se coller contre moi et elle membrasse à pleine bouche. Je ne me fais pas prier et je la laisse faire.
« Les autres vont sinquiéter. Appelle-moi ce soir. » Et elle remonte lescalier.
Que cette fin daprès-midi fût longue ! Je navais quune hâte : que le soir arrive pour pouvoir lappeler. Je sens que la soirée va être très très chaude
Je lappelle donc vers 20h pour quelle vienne me rejoindre chez moi. Elle nhésite pas et quelques minutes plus tard elle est devant ma porte. On se jette dans les bras lun de lautre. On dirait quelle en a encore plus envie que moi. Nous nous dirigeons vers ma chambre tout en enlevant nos vêtements. Elle ne veut pas de lumière car elle na pas un corps de jeunette, cest donc dans le noir que nous nous caressons. Nous attaquons un 69 ultra torride, jai failli éjaculer plusieurs fois. Je nai plus de notion du temps, je me sens bien et je veux que ça dure. Elle sallonge sur le dos « viens » souffle-telle. Je me positionne face à elle et je place mon gland à lentrée de son vagin. Je me frotte contre son sexe puis je la pénètre doucement. Elle est bien lubrifiée grâce aux préliminaires faits avec ma langue et à lexcitation que lui a procuré le 69. Je fais des allers-retours amples mais peu rapides. Elle gémit, nos bassins basculent davant en arrière, nos pubis se frottent.
« aaaahhhhh »
« mmmmm »
Elle retient ses cris. Je relève le buste, je contracte mes abdos tout en serrant les fesses et jaccélère le rythme. Elle sagrippe à mes fesses et elle pousse un gémissement plus fort que les autres au moment où jéjacule. Elle a sentit les soubresauts de ma verge à lintérieur de son vagin et ça lui a déclenché un orgasme.
Elle va sous la douche pendant que je récupère mes esprits. Je ne pensais pas que faire lamour avec une femme de 53 ans (je lai appris quelques minutes plus tôt) était aussi agréable. Nous navons pas fait beaucoup de positions ni des choses acrobatiques mais ça a été efficace. A mon tour je prends une douche et je la retrouve assise sur le canapé. Elle me fait un grand sourire quand je viens masseoir près delle et nous nous embrassons. Il est 21h30 et elle me dit quelle va rentrer chez elle.
« Tu peux passer la nuit ici, si tu veux. »
« Non merci, jai plein de choses à faire. Et puis je ne veux pas de ces histoires où on se sépare au petit matin à toute allure car il faut aller bosser. »
« Très bien, comme tu veux. Sache que tu es la bienvenue. »
Elle se penche pour mettre ses chaussures. Elle ne plie pas les jambes alors elle a les fesses en lair. Jen profite pour venir derrière elle et lui pétrir son joli postérieur.
« Dis donc, tu ne crois pas que tu en as assez eu comme ça ? »
« Désolé, mais tes fesses sont super sexy. »
Je passe mes mains sur son ventre et je viens me coller contre elle. Je défais la ceinture de son pantalon. Elle ne réagit pas alors je descends le pantalon en question, laissant apparaître sa culotte. Je défais à mon tour mon pantalon et je descends mon boxer. Jai à nouveau une érection ; cest fou ce quelle mexcite, on dirait que Françoise à une sorte de pouvoir qui mattire sexuellement. Je glisse mes mains sous sa culotte et je la fais tomber à ses pieds. Elle sappuie contre le mur en gardant les fesses cambrées. Jai le visage au niveau de ses fesses, je dépose de petits baisers sur chacune delles. Je leffleure du bout des lèvres pour lui donner des frissons. Elle se penche un peu plus en avant me laissant une vue magnifique sur sa chatte et son anus. Je ne peux pas résister à lenvie de la lécher. Jessaye datteindre son sexe mais cest difficile dans cette position alors je remonte entre ses fesses et je moccupe de son anus. Elle se laisse faire alors jinsiste et je plante carrément ma langue dans son petit trou. Elle apprécie car elle mouille abondamment. Je mets de la salive sur mes doigts puis jen glisse un dans sa chatte et je viens titiller son anus avec lautre. Jentre légèrement mon doigt dans son anus puis je reviens jouer avec ma langue et déposer de la salive. Je recommence plusieurs fois lopération jusquà faire entrer entièrement mon doigt. Pendant ce temps je continue de jouer avec son clitoris grâce à mon autre doigt. Nous nous dirigeons vers le canapé, elle se met à genoux sur laccoudoir et elle me présente son derrière. Je me place contre elle avec mon gland positionné à lentrée de son anus. Je pousse un peu pour faire entrer mon gland, je patiente un peu puis jappuie un peu plus fort pour faire rentrer le reste de mon sexe. Ca y est, je la sodomise profondément avec toujours deux doigts jouant avec son clitoris. Je ne tiens pas longtemps à ce rythme et jéjacule en elle.
« Ca faisait longtemps que je ne métais pas faite sodomisée. Je pensais avoir mal mais finalement cest plutôt bon. »
« On recommence quand tu veux. »
« Pas de problème mais pas ce soir, il faut vraiment que jy aille. »
On sembrasse une dernière fois et elle file chez elle.
Quelques jours plus tard je reçois un coup de téléphone appelant inconnu.
« Bonjour, je suis Jocelyne du club de patch. Cest Françoise qui ma donnée ton numéro de téléphone car elle ma dit que tu déménageais bien. »
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