Géraldine, Ma Femme La Mère De Mes S.
Géraldine, ma femme la mère de mes s.
Cest quelques années après avoir racheté mon entreprise que jai rencontré Géraldine, elle était a la fac, et venais souvent boire un café dans le même bistrot que moi. Souvent je la voyais derrière ses piles de bouquins potasser des cours. Jai demandé au patron sil la connaissait. A sa réponse négative, comme je la trouvais assez mignonne, jai tenté ma chance.
Les débuts furent assez laborieux, en dehors de ses cours rien ne comptait pour elle. Puis, environ six mois plus tard, alors que je commençais à me dire que je narriverais a rien avec cette belle fille, je lai vue, elle navait plus ses livres, et elle buvait un verre de whisky a la place de son habituel café. Tout de suite je me suis approché delle.
- Bonjours, comment ça va ?
- Encore vous ! Laissez-moi tranquille.
- Mais je ne vous embête pas, je vous demande juste ce que vous avez, vous me semblez bien triste aujourdhui.
- Jai raté mon concours.
- Ce nest pas grave, vous pourrez le repasser.
- Non, cest fini, maintenant je suis trop vieille.
Jai éclaté de rire, elle trop vieille, je lui donnais à peine dix huit ans. Comme son verre était vide jen ai commandé un autre puis je me suis assis a coté delle. Elle me semblait déjà un peu pompette, quand le serveur est arrivé, je lui ai demandé combien elle en avait bu. A sa réponse je fus très étonné, cétais le second quil servait. Jai payé puis nous nous sommes remis à discuter. Après une bonne heure, comme elle avait du mal à se lever, je lai aidée et je lai raccompagné chez elle. Cétait un petit studio au dernier étage dun vieil immeuble, dans la rue à coté. Je lai couchée sur son lit et je suis parti.
Le lendemain, alors que je prenais mon café habituel, je lai revue, elle était toute joyeuse, elle sest approchée de moi, ma fait une petite bise sur la joue pour me dire :
- Je vous remercie pour hier, vous nen avez pas profité.
- Profité de quoi ?
- De moi.
- Ce nest pas mon genre. Je ne fais des choses avec les filles que si elles me le demandent.
- Merci, je ne vous plais pas, cest pour ça ?
- Mais si, je vous trouve très belle.
- Jaurais aimé que vous profitiez de moi hier.
- Je ne lai pas fait par galanterie, mais si vous voulez, jai le temps, on peu retourner chez vous.
- Non, hier, jétais pompette, javais envie, jaurais voulu que vous profitiez de moi mais aujourdhui, comme ça, à froid, on ne se connaît presque pas, ça ne va pas être possible.
Jai commandé deux cafés et nous avons continué notre discussion.
Pendant environ une semaine, nous nous sommes retrouvés tous les soirs, à la fin de mon travail, dans ce bistrot, plus les jours passaient, plus nos rapports devenaient intimes et complices, nous sommes partis au cinéma, au restaurant, sans aller plus loin que des bises. Un soir, je me suis décidé, au lieu de commander des cafés, jai commandé des whiskies.
Un moment après, elle avait la tète qui tournait un peu et jai proposé de la raccompagner, elle a accepté. Sur le chemin de son studio, jai commencé à lembrasser et à la caresser, elle semblait aimer ça. Chez elle, je lai doucement déshabillée en continuant mes caresses, elle a jouis. Puis elle ma confié :
- Enfin, tu te décide.
Quand je lai couchée sur le lit elle ma juste dit :
- Doucement tu es le premier.
Ça ne ma pas arrêté, je lai faite jouir une nouvelle fois sous mes caresses puis je suis entré en elle. Cest vrai, elle était très étroite, elle gémissait de plaisir, jai poussé plus fort, jai franchi son hymen je lai senti se tétaniser, je me suis retiré pour lécher son petit minou meurtri. Quand elle a recommencé a gémir de plaisir, je suis a nouveau entré en elle, cétais bien chaud humide serré, jétais bien. Une foi au fond je me suis immobilisé et je lai embrassé. Cest elle qui sest mise à bouger pour faire monter son plaisir.
- Cétait merveilleux, je naurais jamais pensé que ça puisse être si bon.
- Oui, tu as raison, cétais tres bon.
- Mai tu nas pas jouis ?
- Non, je ne sais pas si tu te protège, je ne fait pas nimporte quoi moi.
- Mais si tu nas pas jouis, tu na pas eut de plaisir.
- Oui, jai eut du plaisir, celui de te voir te tordre de jouissance sur ma bite par exemple.
- Mais ce nest pas du vrai plaisir ça
- Mais oui, cest un plaisir que jaime beaucoup.
- Viens recommence, jaimerais sentir ton plaisir en moi.
Jai recommencé a la caresser, puis je suis a nouveau entré en elle je lai chevauché un bon moment, elle ne cessait pas de crier sa jouissance, nous nous accordions très bien. Quand jai senti que jallais exploser, je me suis retiré et jai arrosé son ventre.
- Pourquoi tu nes pas resté ?
- Je ne veux pas te mettre en cloque
- Tu crois que ça risque tant que ça a la première fois ?
- Oui, ça risque beaucoup.
- Ah bon, alors merci pour ta gentillesse.
Après un moment de repos, nous avons recommencé puis je suis parti chez moi.
Jai eut quinze jours de boulot intense, je navais même plus le temps de marrêter au bistrot pour boire un café, cétais de la folie puis ça sest un peu calmé et jai pu enfin y faire un tour. Elle nétait pas la. Je suis parti chez elle.
En me voyant elle ma sauté au cou et ma embrassé puis elle sest éloignée pour me dire :
- Je croyais que tu ne voulais plus me voir, que je ne te plaisais plus maintenant que tu mas baisé, que tu ne voulais plus revoir une petite gourde aussi inexpérimentée que moi.
- Mais si, tu me plais beaucoup, jai envie dêtre avec toi, je ne suis pas venu te voir a cause de mon travail, cest tout.
- Ah bon, jai profité de ton absence pour étudier, je te réserve une surprise, je ne suis plu la petite oie blanche que tu as connu.
- Oui, cest une surprise ça?
- Comme tu ne revenais pas je me suis instruite, jai lu plein de livres sur la sexologie, je sais maintenant quune femme peut faire jouir un homme quand et comment elle le désire.
- Non, cest des histoires tout ça, je sais par expérience, jai passé plusieurs années à gagner ma vie en faisant jouir les femmes, et je te garantie que jéjacule uniquement quand je le souhaite.
- Tu parie quoi ?
- Je ne sais pas.
- Tu mépouse si je gagne.
- Sur de moi, jai accepté.
Elle a répété les conditions
- Si tu éjacule quand je laurais décidé, tu auras perdu et tu mépouseras, promis.
- Oui, promis ?
En disant cela, jécartai le côté de sa culotte pour enfin la toucher à même la peau. Je la caresse un petit moment en lembrassant puis ma bouche est descendue sur son minou. Merveille des merveilles ! Un coulis de miel tiède sous ma langue, une petite boule lisse sous mon pouce, un duvet frisottant sur ma joue
- Oui, tu va perdre, et tu mépouseras
Continua-t-elle avec difficulté, alors que jécartais les pans de ses lèvres intimes pour caresser son clitoris à loisir.
- Vraiment ?
- Oh ! oui, viens, maintenant, prends moi.
Soupira-t-elle brusquement en se cambrant, lorsque lextrémité de ma langue titilla lextrémité de son petit bourgeon.
- Et si tu jouis avant moi, Géraldine, qui aura gagné ?
Elle posa une main sur mes cheveux.
- Ça suffit, Jean Marc, viens maintenant, ne me fait plus attendre.
Mes lèvres quittèrent son puits de douceur, et je me décidai enfin à lui retirer sa culotte. Je saisis ensuite gentiment Géraldine sous les cuisses pour la soulever un peu, et je la pénétrai lentement, en savourant la progression de mon pénis dans cet antre étroite, tiède et moelleux.
- Jean Marc
Pas de triche, hein ?
- Comment ça ?
Je ponctuai ma question dun petit aller-retour voluptueux qui lui déroba un nouveau soupir.
- Ne te retire pas pour éviter de jouir.
Elle avait encore la présence desprit de plaisanter ; quant à moi, jessayai de me concentrer sur la tâche à accomplir. Pas question de me laisser aller, il fallait absolument me contrôler, dautant plus que Géraldine commençait à entrer en action, ondulant langoureusement du bassin, et répondant à mes mouvements par des plaintes aux accents extatiques. Nos sexes semboîtaient parfaitement, je disparaissais entièrement en elle, et les poils de nos pubis crissaient en se mélangeant. Elle mouillait abondamment, gémissait toujours plus fort, fermait parfois les yeux, ou alors redressait la tête pour regarder lunion de nos sexes. Son vagin se contractait et se relâchait autour de mon pénis. Elle leva un bras et je la vis poser elle-même un doigt sur son clitoris pour se caresser, ce qui, je ne sais pourquoi, mexcita encore davantage. Je commençais à me sentir partir et jaurais voulu ralentir un peu, mais Géraldine ne lentendait pas de cette oreille.
Ses mouvements du bassin sintensifiaient, ainsi que ses cris. De son autre main, elle parvint à saisir mes bourses. Mon excitation monta encore dun cran. « Je ne tiendrai pas » me dis-je. Mon salut nétait plus que de tenter de la faire craquer avant moi. Jécartai sa main pour prendre possession de son clitoris, et jentrepris de la masser doucement.
- Oh oui, tu vas me faire jouir, continue
. Plus fort
dit-elle, ce qui narrangea pas mes affaires.
Je sentais que jarrivais au bout de mes forces, et surtout, la volonté commençait à me manquer. À quoi bon ce challenge ? Me disait une petite voix, laisse-toi aller ! Géraldine se collait à moi avec de plus en plus de force. Sa main qui caressait mes testicules commença à sécarter et à venir rôder près de mon anus. « Si elle fait ça, je craque, cest sûr » pensais-je. Je pris alors les devants et quittai son clitoris pour glisser ma main sous elle ; mon majeur vint se mettre franchement sur son anus que je commençai à masser sans vraiment encore forcer le passage.
- Oh, Jean Marc, je vais jouir !
.. Viens ! Je veux que tu éjacules maintenant !
Et en disant cela, je sentis les muscles de son vagin se contracter davantage, tandis quelle appuyait fort avec son doigt pour me pénétrer. Cen était trop. Tout bonnement, je fis ce quelle demandait, au moment où elle me le demandait : jéjaculais indiscutablement. Quauriez-vous fait à ma place ?
Quand le tumulte fut passé, alors que nous nous étions laissés aller, alanguis, à quelques minutes de silence, vint lheure de faire les comptes.
- Alors ? demanda-t-elle.
- Alors, alors, je ne pense pas avoir perdu.
- Comment ? Mais tu nas pas pu te retenir, tu as jouis quand je te lai demandé, Jai gagné !
- Je nai pas pu me retenir ! ah non, je nai pas voulu, nuance.
- Hypocrite, cest pareil, ne me prends pas pour une innocente. Ne déforme pas le contrat : nous avons parié que tu éjaculerais au moment où je laurais choisi vrai ou faux ?
- Vrai, mais
- Taratata. Si lon sen tient au pari initial, jai gagné, cest tout.
- Oui, mais tu as bien choisi ton moment, pour me « demander » déjaculer ! Comme par hasard, cétait justement le moment où toi-même, tu sentais ton orgasme arriver ! Tu tes bien gardée de me demander déjaculer tout au début ! Tu mas demandé déjaculer au moment où jétais justement sur le point de le faire sans que tu me le demandes !
- Ah ça, mon ami, tout le talent est là.
- Hein ?
- Mais oui, tout le talent de la femme est là, je lai appris dans les livres, une femme peut faire faire ce quelle désire a un homme sans quil ne sen rende compte. Tu ne comprends pas ça ?
- Non, pas bien.
- Ce nest pas grave, je texpliquerais, mon petit mari chéri, dit-elle tendrement en se blottissant contre moi. Nous avons le temps.
A son contact, jai senti mon sexe relever la tète, doucement, ma main est descendue vers son puis damour et je me suis mis à la caresser.
Discrètement jobservais sa respiration qui saccélérait, sa poitrine qui gonflait, elle restait stoïque mais je me doutais bien du plaisir qui montait en elle.
Je me suis retourné et en lui passant dessus
- Explique-moi, le talent de la femme
En guise de réponse jai eut son gémissement de plaisir quand je suis à nouveau entré en elle, je sentais son vagin se contracter spasmodiquement sur mon dar. Quand jai été tout au fond, je me suis immobilisé
- Je te parie que tu va jouir avant moi.
- Non, cest toi qui ne pourras plus te contrôler quand je le désirerais.
Je nai rien répondu, et je suis resté en elle sans bouger, de mes mains je lui caressais la poitrine. Elle a commencé à gémir et à agiter son bassin sous moi. Je restais immobile, bien planté en elle, Ses mouvements du bassin sintensifiaient, ainsi que ses cris, malgré le plaisir que je sentais monter en moi, je me concentrais et résistais. Elle a explosé, jai senti comme une marée de mouille minonder le bas ventre au moment ou elle sest mise à crier son plaisir. Je sentais son vagin se contracter par saccades au rythme de sa jouissance puis elle sest calmée, je me suis retiré et je lai nargué.
- cest sur, la, jai gagné.
- Non, tu as triché.
- Jai gagné, tu as jouis et pas moi.
- Tu ty es pris en traitre, et je ne voulais pas que tu jouisses.
- Ah bon, et ton pari alors ?
- Mon pari, cétais tout a lheure, tu as éjaculé quand jai voulu.
- Maintenant, tu as jouis quand jai voulu et comme je voulais, jai donc gagné.
- Recommence pour voir qui partira le premier.
Tout en parlant elle ma attiré en elle, sest mise à onduler du bassin, de ses mains elle me caressait les boules. Je sentais que jallais bientôt exploser, jai passé ma main entre nous, jai saisi son petit bouton et je lai serré entre mes doigts. Elle a crié, et jai a nouveau senti comme un raz de marée de mouille minonder.
- tu vois, tu jouis encore et pas moi.
Ses mains se sont mises à me griffer les fesses en même temps quelle se cambrait sous moi, elle a, a nouveau crié
- Vas-y maintenant, Viens ! Je veux que tu éjacules maintenant !
Je me suis concentré un maximum, malgré limmense envie, jai essayé de résister, elle a serré les jambes dans mon dos remontant son bassin pour que je menfonce encore plus en elle et as murmuré dans un râle
- Maintenant
Je nai pas pu me retenir et je lai remplie une nouvelle fois de mon plaisir. Après avoir repris notre souffle elle ma murmuré à loreille :
- Jai encore gagné, tu as jouis à ma demande au moment que javais choisi. Quand est-ce que tu mépouse papa.
- Papa ?
- Oui, je sens bouger tout le foutre que tu as mis en moi, alors que je suis en pleine période dovulation, tu seras bientôt papa.
Comme je suis un homme de parole, nous nous sommes mariés deux mois plus tard.
Pendants plusieurs mois, nous avons recommencé a jouer a qui jouirais le premier cétais super et la, pas de risques, je pouvais éjaculer au plus profonds de son ventre. Mais je nai jamais réussi à retenir mon éjaculation quand elle me demandait de jouir. Cest après son accouchement que cest devenu plus embêtant, il y a dabord eut les tété, toutes les quartes heures, puis lobligation de se câliner en silence pour ne pas la réveiller, puis les premières dents et bébé dans notre lit. En plus, jétais obligé de me méfier, elle ne voulait pas entendre parler de contraceptifs, chaque fois que je réussissais à lui faire lamour, cétais pour moi comme jouer a la roulette russe. Heureusement, javais assez de contrôle pour me retenir, ne pas jouir ou pour me retirer mais quelque foies, cétais très dur. Enfin au fil des années ça sest arrangé.
Un soir, en rentrant plus tôt que dhabitude jai surpris une conversation quelle avait avec une de ses copines qui était mariée depuis plus longtemps que nous et qui navais toujours pas ds.
- Tu es normalement constituée, ton mari aussi ?
- Oui, bien sur.
- Alors, cest simple, tu peu te faire faire un quand tu le désire.
- Non, il se méfie, il nen veut pas et comme il sait que je ne prends rien, il se méfie et se retire a chaque fois pour jouir.
- Mais cest a toi de tarranger pour quil ne se retire pas, il y a des tas de trucs imparables, mets les en pratique et tu pourras bientôt avoir le ventre bien rempli.
Je nai pas pu résister, je suis sorti de la cuisine ou je métais discrètement réfugié pour intervenir.
- Stop, fini de raconter des bêtises, si tu veux un , décide simplement ton mari à ten faire un, cest tout. Pas besoin de lui faire des coups tordus.
Elles mont regardé comme si jétais un extraterrestre puis la conversation est partie sur un autre sujet. Après le départ de sa copine, Géraldine est venue me trouver très câline et ma dit :
- Je voudrais avoir un autre , pas toi ?
- Moi, non, cest bien comme ça.
- Je tassure, jen voudrais un autre.
Me rappelant les déboires et embêtements des premières années avec notre fille, je restais ferme et ne voulant pas recommencer je lui répondais évasivement :
- On Véra, plus tard peut être, ce nest pas le moment.
Pendant toute la soirée elle sest comportée comme une chatte en chaleur, mattendant a un gros câlin, nous sommes vite partis au lit, la, dodo, rien. Elle avait soit disant ses règles. Pendant une semaine, tous les soirs, elle me demandait de lui faire un nouvel et je refusais, pendant lacte, je prenais bien soin de ne pas éjaculer en elle au moment crucial cétais dur mais jy arrivais.
A la fin de la semaine, elle sest faite très câline, et a arrêté de me demander de lui faire un , je pensais que sa lubie était passé, jétais ravi, comme javais très envie, je lai emmenée au lit en lembrassant et la câlinant. Une fois au lit, rien, mal a la tète. Le lendemain, ça a été très mal au ventre puis autre chose, Jétais sur le point de craquer, jen avais mal aux bourses, depuis maintenant deux semaines elle se refusait, toujours avec une bonne excuse.
Enfin un soir, en rentrant du travail, elle ma embrassé goulument en me caressant, je lui ai tout de suite rendu ses caresses et nous nous sommes mis à faire lamour comme des fous. Jen avais tellement envie quelle ma fait jouir presque tout de suite en elle et nous avons continué sans que je débande. Après un très long moment, nous avons eut tous les deux un orgasme merveilleux qui nous a assommé. Quand jai refais surface, elle me regardait avec un petit sourire narquois.
- Quest ce quil y a ?
- Rien, je pensais à ta théorie de lautre jour et à la mienne.
- Quelle théorie ?
- Celle que tu as exposée à ma copine qui voulait avoir un .
- Ah oui et alors ?
- Et bien ta théorie ne marche pas, la mienne oui.
- Pourquoi ?
- Je tai demandé plusieurs fois de me faire un autre , tu ty es toujours opposé pourtant je pense que la, tu viens juste de men faire un avec tout ce que tu mas mis alors que je suis en pleine période dovulation je suis sure que je vais être enceinte.
Cest comme ça quest venu mon fils. Maintenant, comme elle ne veut toujours pas prendre la pilule, je me méfie, jai noté sur un carnet quand elle avait ses règles et je ne jouis en elle que quand je sais quil ny a pas trop de risques, le reste du temps, je me concentre pour me retirer à chaque fois. Jespère surtout quelle nen voudra pas un troisième, je sais maintenant par expérience que je serais incapable de lui résister. Je comprends mieux le dicton « ce que femme veux, dieu le veux ».
Fin de mes souvenirs
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