Education De Ma Petite Voisine - Troisième Partie

Tu reviens et m’en sers un verre que je bois avidement, car j ai la gorge sèche...Je m’assois et mange lentement le sandwich,
En espérant que ça calme le feu de mon ventre et me dés saoule un peu reprenant petit à petit des forces après ces deux jouissances consécutives qui m’ont épuisée... car je ne me sens pas bien du tout... mais tu n as pas l air décidé a en rester la...
Alors que tu manges tranquillement ton sandwich, je prends mon téléphone et décide d'appeler mon amie en mettant le haut-parleur.
« Allo Marina !
- Bonsoir Chéri, tu vas bien ?
- Oui ma chérie, je t'appelle pour t'avertir que je ne vais pas rentrer ce soir, je suis actuellement chez ma petite voisine et comme nous avons bu, je vais rester à coucher chez elle, comme cela demain elle m’aidera à nettoyer l'appartement, en attendant la venue du plombier »
- Parfait ! Tu as raison de ne pas conduire si tu as bu et puis je suppose que ta petite voisine est mignonne ?
- Oui très mignonne et très chaude, je l'ai déjà fait jouir 2 fois en lui donnant une fessée et en lui bouffant la chatte et le cul.
- Coquin, tu es insatiable, amène la demain soir pour passer le week-end avec nous, Audrey doit revenir d'Angleterre pour les vacances, cela lui fera une amie.
- Oui tu as raison,
- Mais garde des forces pour moi, j’ai déjà envie de toi et de tes perversions.
- Je vais te laisser, je ne veux pas laisser ma charmante voisine trop longtemps. Je t'embrasse et te dis à demain soir »
J’écoute la discussion et me demande comment réagir alors que je connais à peine cet homme, qui est mon voisin et qui m’a pourtant déjà vue nue et qui m’a si bien faite jouir sans sexe...
Je suis assise dans mon canapé, finissant mon verre de vin, toujours nue et j’attends avec angoisse la suite de ce que tu vas faire de moi et de ce week-end avec un inconnu et son amie, que je ne connais pas du tout...

Je range mon phone et te dis :
« Tu as entendu, ma chérie t'invite ce week-end à la maison, j'espère que nous pourrons profiter de la piscine.


- Heu... la piscine monsieur ? Mais je n’ai pas de maillot de bain... Je ne vais pas pouvoir vous accompagner... Je suis désolée monsieur...
- Oh ! Ce n'est pas un problème, Marina pourra te prêter un maillot, mais chez nous, nous nous baignons nus, tu sais nous serons entre nous.
- Ah bon d'accord... Si vous le dites monsieur... Il n'y aura pas d'autre homme que vous alors ? Parce que j’aurais honte d’être nue devant un autre homme monsieur... Je n’ai jamais fait ça... ».
Je reprends ma veste d'intérieur et l'enfile en la nouant à peine sur mon corps et me dirige vers la cuisine pour me servir à boire...
« Petite menteuse, cela ne t’a pas déranger tout à l’heure d'ouvrir au livreur, alors que ta veste était entr'ouverte ».
Je rougis...
« Je n ai pas eu le choix monsieur... Et en plus, vous m’aviez dit d’y aller nue, sinon c’était la fessée... je ne pouvais pas y aller nue quand même...
- Oui mais tu étais encore plus exciter après le passage du livreur. Pause moi ce verre tu as assez bu, et allons nous couché, demain tu auras une dure journée.
- Nous coucher? Vous voulez dire que vous dormez avec moi monsieur ?
- Oui bien sur, tu sais que mon appartement n’a pas de meuble. Et demain, je continuerais à faire ton éducation avec l'aide de Marina.
- Ah oui c’est vrai monsieur... Mais je pensais que vous rentriez chez vous ou à l’hôtel... Je n’ai pas de pyjama à vous prêter monsieur... Mon copain n’en laisse pas ici...
- Oh ! Mais je dors toujours nu, et ne t’inquiète pas, je ne vais pas te violer, de toute façon tu es trop ivre pour tirer quelques chose de bien de toi, dors pour être en forme demain.
- Heu... nu monsieur???? »
Je réalise soudain que je ne t’ai pas encore vu nu, qu’il n’y a eu que toi, qui as pu profiter de mon corps libre de tout vêtement...
Tu m’emmènes vers la chambre et tu m’ôtes ma veste d’intérieur avant de me jeter sur le lit.
Il ne te faut que quelques minutes pour t'endormir aussi lorsque je reviens de la salle de bain, tu dors à poing fermé.
Je ne te réveille pas, car je sais que demain j'aurais tout le loisir de bénéficier de tes charmes
Tu t’allonges contre mon corps nu, appréciant la douceur et la rondeur de mes fesses contre ton sexe nu, qui se glisse dans ma raie culière... Tu t’endors...
Le lendemain, je me réveille et je te sens collé a moi, un truc glissé entre mes fesses qui palpite et ton torse collé à mon dos et ton souffle sur ma nuque... ta main repose sur mes hanches...
Lorsque tu bouges, cela me réveille, j'ouvre les yeux, toujours allongé sur ton dos et te dis :
« Bonjour Cat, bien dormi ? Prête à passer une journée mémorable ?
- Bonsoir M. Cello... oui bien dormi... votre présence m’a rassuré en fait... j’ai toujours eu un peu peur seule... Pourquoi journée mémorable monsieur? »

La discussion m’a fait oublié que j’étais nue à cote de toi et que ton sexe se trouvait tout prêt du mien et qu’il se frottait contre mon cul...
Ta main vient empoigner mon sein que tu masses et mon téton réagit rapidement à cette caresse.
« Parce que je vais te faire découvrir d'autres plaisir que tu n'as pas éprouvé, pour commencer, tu vas mettre une jupette et un corsage sans rien dessous et aller à la boulangerie chercher des viennoiseries pour le petit déjeuner. »
Tu te précipites vers ton armoire et prends un corsage opaque et une jupe mi-cuisse. Je te laisse t'habiller et te demande :
« Tu te moques de moi ? Je t'ai dis une jupette alors ou tu me trouves cela ou je te mets dehors le cul à l'air et pour le corsage ou tu en trouves un plus sexy ou j'arrache les boutons de celui-ci.
- Mais je n’en ai pas monsieur... » Dis-je en pleurant... Je n’ai que ça, je n’ai jamais porté le genre de chose que vous me demandez... »
Je fouille dans ton armoire et trouve une jupe que tu ne portes plus, car trop petite et celle là, allez dépêche toi de la mettre.
J’enfile la jupe que j’ai du mal à faire passer au niveau de mes fesses et une fois attachée par un bouton, je suis obligée de la mettre au dessus de mes hanches sinon je suis trop serrée.
.. et du coup elle est très courte sur mes fesses qu’elle cache à peine...
Parfait juste la bonne longueur, puis prenant une paire de ciseaux, j'ôte trois boutons de ton corsage, tu ne peux le boutonner qu'au niveau de la base de tes seins. Je te donne un billet de vingt euros et te dis :
« Allez file ! Je veux que tu achètes des viennoiseries pour la totalité du billet.
Je sais ainsi que tu vas mettre du temps à la boulangerie pour calculer ce que tu dois prendre et ainsi être plus longtemps dehors dans cette tenue.
Je t'obéis et me dépêche d’aller à la boulangerie.... Dans le hall de l’immeuble, il y a un grand miroir et m’y voir me fait rougir de honte...
La jupette volette sur mes fesses, dont elle ne cache pas le galbe bas de toute façon, à cause des escarpins que je porte, qui me cambre les reins...Et dans le décolleté du chemisier, je vois le 1/4 de mes seins et de face, on voit tout le sillon mammaire et la courbe basse des seins...
Pendant ton absence, je regarde tes affaires et effectivement tu n’as pas de tenues très sexe, aussi je décide de remédier dès aujourd’hui à cela.
Un bon quart d’heure après tu reviens, les bras chargé de viennoiserie ce qui au moins à le mérite de cacher ta poitrine, tenant les paquets contre ton torse pour ne pas en perdre.
« Hé bien tu en as mis du temps, petite gourde.
- Je m’excuse Monsieur, ça a été très difficile de choisir et en plus, je devais calculer pour arriver à 20€... D’ailleurs, il me reste un peu de monnaie, il n’y avait pas assez pour prendre encore quelque chose...
- Bien ! Pose cela sur la table, puis fout toi à poil avant de préparer le café.
- Comment Monsieur???? Heu… Oui monsieur tout de suite... »
J’ôte ma jupe et mon corsage et vais dans la cuisine préparer le café... Je me rends compte qu’on pourrait peut être me voir depuis les immeubles voisins...
Avant que tu ne viennes à table, j'ouvre une fenêtre et te positionne devant, afin que l'on puisse te voir à l’aide de jumelle, d’un immeuble, éloigné mais plus haut que le notre.

Nous prenons le petit déjeuner, moi très mal à l’aise d’être nue dans l’encadrement de la fenêtre et pourtant mes tétons pointent fièrement et je sens mon sexe devenir humide...
Nous finissons de déjeuner et tu dis :
« Bien allons à la douche avant d’attaquer le nettoyage de l’appartement... Je vois que tu es bien disposée, aussi tu vas te laver devant moi et après tu me laveras »
Je prends la douche la première, gênée de me doucher devant un homme, qui me regarde... et anxieuse de te voir nu... Je finis et t’attends dans la douche... Tu te déshabilles et je n’ose pas te regarder... Mais je suis bien obligée, quand tu rentres dans la cabine de douche et te mets devant moi pour que je te lave, retardant au maximum le moment de regarder ton sexe, je te lave les cheveux, le torse, le dos et hésite avant d’aller plus bas...
J'appuie sur tes épaules et te dis :
« Accroupie toi et lave moi petite gourde ».
Je m’accroupis et mon visage se retrouve à hauteur de ton sexe... J’ouvre les yeux et je vois la plus belle et grosse queue que j’ai jamais vue... Même au repos, elle doit faire 15 ou 16 cm et le gland est gonflé, sortant légèrement de la peau qui le recouvre.
Je lave tes cuisses, retardant le plus tard possible le moment où je devrais la nettoyer, je lave tes fesses et tu me dis de bien nettoyer la raie aussi, ce que je fais en glissant mes doigts entre tes fesses. Faisant cela, ton gland frotte par moment sur mon visage et ta queue palpite à chaque fois, se gonflant petit à petit. Quand vient le moment de m’en occuper, elle bande légèrement et à grossi, un peu plus longue et épaisse.
Je la savonne, essayant de te branler le moins possible mais ça n’empêche pas ta queue de gonfler entre mes mains, bientôt mes doigts n’arrivent plus à faire le tour et à se toucher tellement sa circonférence est grande (5 cm de diamètre?) et il faut que j’utilise mes 2 mains pour la savonner entièrement (23 cm de long ou plus?). Le gland pointe fièrement hors de sa prison, frottant sur ma joue ou mes lèvres par moment. Je malaxe tes couilles pleines pour les laver... Ta queue repose sur mon épaule et se frotte contre mon cou...
« Pouvez vous me passer le pommeau de douche pour que je vous rince monsieur ? »
Je te donne alors le pommeau de la douche et te dis :
« Tu pourrais aussi me rincer avec ta bouche, je suis sûr que ce serait aussi efficace et plus agréable.
- Heu... Oui monsieur... Si vous voulez.... »
Je pose le pommeau de la douche et prends ta queue en main, n’en croyant pas mes yeux de la taille de cet engin... J’ose à peine lécher ton gros gland d’ou pointe un peu du pré sperme dont j’apprécie le goût, puis je lèche ta queue sur toute la longueur, enlevant tout le savon par petits coups de langue avant d’aller lécher tes couilles. Ta queue est rincée sans que je l’aie enfoncé une seule fois dans ma bouche, juste ma langue qui l’a parcouru...
« Bien ! Mais faudra faire mieux avec ta bouche la prochaine fois, maintenant rince-moi la raie et après, on ira faire des photos dehors »
Je prends le pommeau de douche pour te rincer les fesses...
« Non avec ta langue, il faut que tu t'habitue à la mettre partout ».
J’ai envie de vomir, quand je commence à lécher ton cul et que ma langue touche ton oeillet et je regrette de ne pas avoir mieux laver... Je ne fais juste que passer ma langue le long de ta raie me demandant ce que tu as voulu dire en me disant que je devais m habi à la mettre partout...
Ton rinçage est terminé et tu sors de la salle de bain, je te suis...
Pas totalement satisfait, de ton rinçage, je compte bien profiter de ta langue et de ta bouche totalement avant la fin de la matinée.
« Bien ! Dis-je en prenant mes affaires de la veille, je vais chez moi me changer. Je te retrouve ici dans 15 minutes, en tenue sexy, c'est a dire que je veux du court, du décolleté et pas de dessous, c'est bien compris ».
Et je sors de chez toi nu comme un verre, mes vêtements dans une main et mes clés dans l autre.
Je réfléchis mais ne voit pas trop ce que je pourrais mettre, qui pourrait te satisfaire... Peut être la tenue de ce matin, mais tu n’as pas semblé l’aimer... la veste d intérieur est quand même un peu trop courte... Je suis indécise et j ai peur de ta réaction... Je pose la tenue de ce matin sur le canapé, la veste d’intérieur rouge à coté, je sors la veste d intérieur en voile noir ainsi qu’une robe d’été boutonnée devant, un peu plus longue que mi-cuisse et pas très décolleté et t’attends nue pour que tu décides...Je me demande ce que je suis en train de devenir à attendre qu’un homme me dise ce que je dois mettre pour sortir faire des photos que j’imagine sexe...
Lorsque je reviens et que je vois que tu es nue, je te regarde, et d'un ton autoritaire te dis :
« Tu seras punie pour ne pas avoir obéis et être encore nue »
Je me mets à pleurer, car je pensais bien faire, ne sachant pas quoi mettre pour te satisfaire.
Entre deux sanglots, je te dis que je suis désolée, mais que je ne savais pas quoi choisir et que j’ai fait ça pour que tu puisses choisir pour moi...
« Je te donne cinq minutes pour t’habiller, si tu n’es pas prête, je te fous dehors à poil ! Tu as compris ? »
Puisque tu me laisses le choix et que je n’ai pas envie d’aller dehors à poil, je choisis la robe d’été boutonnée devant, qui même si elle est légère me couvrira plus que les autres tenues... Je finis de la boutonner et je passe mes escarpins et j’attends la suite...
A peine as tu fini d"enfiler ta robe, que je t'entraîne dehors, puis après avoir fermer ton appartement et conserver ta clé dans ma poche, je te conduis dans l'ascenseur, direction le petit parc, situé en bas de l'immeuble
Alors que nous sommes dans l'ascenseur, je t'annonce que je vais faire des photos érotiques de toi, et qu'en suite, tu commenceras à nettoyer mon appartement et que dans l’après midi, nous prendrons la route pour rejoindre Marina
Tu m’emmènes donc dans le parc, vêtue de ma robe d’été sous laquelle mes tétons pointent fermement...
« Des photos érotiques monsieur? C'est à dire? »
J’ai un peu peur quand j’entends ça... Surtout après l’épisode de la douche où tu m’as obligé à te sucer la queue et à te lécher le cul... De repenser à cette queue énorme, me fait mouiller et j’ai honte de moi en sentant ça, mais quand je la revois, longue, épaisse, et à repenser que ma langue l’a léchée ça m’excite...
« Allons ne me dis pas que tu ne sais pas ce que c'est ! Tu vas devoir prendre des poses où tu me montreras ta poitrine, tes cuisses, tes fesses etc. Tout en restant habillé ».
Je me sens un peu rassurée, quand tu me dis que je vais rester habillée mais j'ai néanmoins noter que tu allais faire des photos de mes seins et de mes fesses... dans un parc public... je suis honteuse et excitée à la fois et je me demande ce que réserve comme surprise la séance photo...
Nous nous dirigeons dans le parc, vers un banc dans un endroit assez abrité des regards des voisins, seulement, il y a des ouvriers sur un échafaudage de chantier en face, qui peuvent te voir, s'ils détournent leur attention de leur boulot. Une fois assise, je te demande d'ouvrir tes cuisses largement en me regardant droit dans les yeux.
Je suis assise normalement sur le banc et écarte timidement les cuisses en te regardant. Tu me dis que la pose ne convient pas et me demande de me placer les fesses au bord du banc et d’ouvrir plus franchement les cuisses. Je t’obéis, hésitante, et écarte mes cuisses en grand te dévoilant l’intégralité de mon entrejambe. Les cuisses ouvertes écartent mes grandes lèvres, qui sont humides de désir et l’air frais m’électrise...
Après quelques minutes de poses, des sifflets retentissement de l'échafaudage. Tu lèves la tête et remarque les trois ouvriers, qui te regardent, sifflent et rient. Instinctivement, tu serres tes jambes l'une contre l'autre. Je t'ordonne aussitôt de reprendre la pose.
Je rougis de honte à savoir que l'on me mate, mais quelque chose me fait t’obéir sans discuter.
Tu me demandes à présent de déboutonner ma robe pour dénuder mes seins et de m’allonger sur le banc, en appui sur mon coude et de plier une jambe tout en laissant l’autre au sol, ce qui ouvre mes cuisses et dénudent mon sexe face aux ouvriers... ils peuvent également mater mes seins nus...
Les sifflets et les applaudissements redoublent, ainsi que les commentaires salaces. Malgré cela, tu te fais docile et obéissante, je te demande ensuite de te mettre à genoux sur le banc, dos à moi et aux ouvriers, de te cambrer un maximum en écartant tes cuisses, puis lorsque je trouve que la pose est satisfaisante, je te demande de remonter ta robe sur ta taille pour dévoiler ton cul.
J'hésite un moment avant d'obéir, me rappelant que tu m’avais dit que je ne me retrouverais pas nue et pourtant, j ai les seins à l air, la robe entr’ouverte et là, je vais exposer mon cul et mon sexe à ton appareil photo et aux ouvriers... je me demande qu’elle est la prochaine étape du moment que personne n’arrive...ou qu'il ne te prenne pas l'idée de faire venir un ouvrier pour poser avec moi...

Je prends quelques clichés avant de te dire de t'asseoir de nouveau sur le banc face aux ouvriers. Une fois assise, j'écarte tes cuisses, relève ta robe et t'ordonne de te branler pour ses hommes qui te regardent sur leur échafaudage. Tu hésites, puis te décides à obéir, mais à ce moment-là, un bruit de pas dans le sentier près de nous, nous interrompt. Je te fais signe de prendre une pose sage et je décide de regagner l’appartement.
Je suis frustrée de devoir arrêter de me branler la chatte alors que je commençais à apprécier ça... j’en veux à la personne qui arrive vers nous d’interrompre ce moment où je me suis sentie vraiment salope et ou finalement je commençais a aimer ça... Je reboutonne ma robe et me rajuste avant de me lever pour te suivre, frustrée et la chatte en feu...
Arrivée dans le hall de l'immeuble, nous rentrons dans l'ascenseur, et là je passe ma main sous ta robe et entre tes cuisses et constate l’humidité de ta chatte.
« Eh bien ! Tu sembles avoir apprécié cette séance photo, tu es trempée. »
Avant d’appuyer sur le bouton de l’étage, je te fais retirer ta robe, pour te retrouver nue avec juste tes talons hauts. Je te pousse en dehors de l'ascenseur, et te dis :
« Monte à pied ainsi, je t'attends chez moi, et ne traîne pas en route »
Puis la porte de l'ascenseur se referme et je monte chez moi, te laissant seule et nue.
J’ai quatre étages à monter... j ai peur et je monte les étages très vite, mes seins sautant dans les escaliers et l’air s’engouffrant sur mes fesses et mon sexe trempé ce qui augmente mon excitation...
J’ai de plus en plus envie d’une queue... pour assouvir cette faim qui grandit dans mon ventre et je me fais honte de penser à des choses pareilles... moi qui n’ait connu que trois hommes dans ma vie en comptant mon étrange voisin qui a déjà réussi à me donner autant de plaisir sans m’avoir encore fait l’amour... non pas fait l’amour... me baiser violemment comme une traînée que je suis en train de devenir...
Alors que tu es sur le point d’atteindre le palier du deuxième étage, tu entends une serrure s’ouvrir, puis des voix, tu t’arrêtes net, n’osant bouger pour ne pas faire de bruit. Tu sens ton cœur battre la chamade. Immobile, tu espères que ces voisins vont emprunter l’ascenseur et ne pas te voir, mais tu penses déjà à redescendre jusqu’au palier du premier, lorsque tu comprends qu’il attende l’ascenseur.
Tu te sens mieux, et ton cœur reprend petit à petit un rythme quasi-normal.
Tu continues ensuite ton ascension sans croiser personne, et lorsque tu sonnes à la porte, tu espères que je t'attends derrière la porte pour vite d'ouvrir. Hélas pour toi, ce n'est pas le cas, et je te fais attendre une petite minute qui te parait une éternité avant d'ouvrir.
« Entre ma chérie, tu ne devrais pas te promener nue, quelqu'un pourrais te voir » dis je ironiquement
Il faisait frais dans la cage d’escalier et j’ai la chair de poule, ce qui fait durcir encore plus mes tétons.
J’entre rapidement dans ton appartement et espère que tu vas me donner de quoi me vêtir...
Je remarque tes tétons durcis et ta chair de poule.
« Mais tu as froid, tu veux que je te réchauffe avant de commencer à nettoyer la cuisine ?
- Je veux bien oui... merci de me rendre mes vêtements monsieur... comme ça on pourra attaquer la cuisine rapidement... vers quelle heure arrive le plombier, que je ne sois pas nue à ce moment là, monsieur?
- Oh ! Mais je n’ai pas l'intention de te rendre ta robe, pour te réchauffer, mais allons chez toi, ce sera plus confortable.
Tu jettes un coup d'oeil autour de toi, mais pas de robe en vue. Je te prends par la main et t'entraîne sur le canapé
« Oh non pitié monsieur pas la fessée j ai été obéissante... s'il vous plait non, c’est trop dégradant... pitié...
Je te couche sur le canapé face contre le cuir et mettant un genoux sur tes reins pour te bloquer, je commence à frapper ton cul très durement, Très vite, il devient rouge grenat et comme la veille, tu sembles apprécier cela. Je retire mon genou, écarte tes cuisses et plonge deux doigts dans ta chatte trempée.
"Tu es vraiment une salope ! Plus je te frappe et plus tu mouilles"
Je t'att par les hanches, afin de lever ton fessier, toujours les cuisses ouvertes et écartant tes fesses, j'introduis un doigt puis un second dans ton fion
Je pleure de douleur à la pénétration de tes doigts dans mon oeillet étroit.... je suis vierge de ce trou et toi tu le pénètres sans ménagement depuis hier... Et pourtant cette sensation me fait mouiller et m’amène prêt de la jouissance...
« Oh pitié monsieur !... Non pas ça... Aaahhh ! Mmmmhhh ! Oui je suis une salope monsieur... vous avez raison... je ne devrais pas prendre du plaisir à me faire fesser... je suis une vilaine fille monsieur... pitié... Arrêtez !.... Mmhhh ! C’est bon... oui.... »
Deux doigts fouillent mon cul qui s’assouplit et trois autres fouillent ma chatte, qui coule sur tes doigts...
Je te branle jusqu’à la jouissance, puis retirant les doigts de tes orifices, je te les fais sucer et nettoyer avant de baisser mon pantalon et de t’ordonner :
« Maintenant à toi de me donner du plaisir, taille moi une pipe ! »
Tu assois dans le canapé, la queue à l’air bien dure et je me mets à genoux entre tes cuisses, caressant ta queue du bout des doigts, malaxant tes couilles et je commence à laper le bout du gland, jouant avec ma langue autour, crachant dessus pour la lubrifier tandis que je commence à te branler.
Ma langue monte et descend sur ton sexe, la couvrant de salive jusqu’à ce qu’elle brille, puis je vais aspirer tes couilles, les laper et les avaler. Je reviens vers le haut de ta queue et je la prends entre mes seins pour la branler tout en crachant entre mes seins pour que ça glisse et lécher le bout du gland.

Puis je commence enfin à te sucer, avalant ta queue lentement jusqu’à ce que ton gland tape au fond de ma gorge avant de la ressortir et de l’enfoncer à nouveau, ma queue la léchant tandis qu’elle s’enfonce dans ma gorge.
Je te suce cinq minutes avant d’accélérer le rythme et de te sentir venir au fond de ma gorge, la remplissant de sperme chaud que j’avale avec délectation...

Tu me relèves, toujours larmoyante et m'envoie nettoyer les toilettes qu’elles soient propres, quand le plombier arrive.
Je me mets à la tache toujours nue, à 4 pattes et tu prends des photos de moi dans cette position ou de profil pour voir mes seins se balancer.

Le plombier sonne et tu vas lui ouvrir. Vous vous dirigez vers les toilettes, car il y a une fuite et il reste immobile en voyant mon cul en l'air, les fesses ouvertes laissant admirer la vue sur mon oeillet et mon sexe. Je sais que tu as honte de te retrouver dans cette position suivant cet homme ventru, mal rasé, sale et laid.

Puis tu l’emmènes dans la salle de bain pour lui montrer le reste des travaux à faire et quand vous revenez, j'ai fini de nettoyer les toilettes et je suis nue, debout devant vous.

Lorsque je reviens dans les toilettes, tu es debout, nue attendant mon retour.

« Qu'est ce que tu attends pour aller nettoyer la douche, que je te corrige une nouvelle fois »

Et j'ajoute :

« Ce n'est pas parce que le plombier est en train de nettoyer les filtres et évacuations que tu ne dois pas aller faire le ménage et montrer ton cul. Je suis sur que cela ne va pas déranger notre homme"

Tu viens me voir alors que je suis avec le plombier pour me demander ce que tu dois faire, et je te dis de nettoyer la douche alors que le plombier s'affaire sous le lavabo à nettoyer le filtre et l'évacuation

Je me dirige vers la salle de bain avec de quoi nettoyer la salle de bain et commence le lavage.
Je suis à un mètre max du plombier, qui peut admirer mes seins nus se balancés et mon sexe ouvert, quand je me penche pour nettoyer le fond de la baignoire.

A un moment, il m'appelle car il a besoin d'aide pour souder un truc et je suis obligée de m’accroupir à côté de lui, légèrement penchée en avant et les cuisses entre ouvertes pour lui tenir un tuyau tandis qu'il le soude, allongé, la tête quasiment entre mes cuisses, il a une vue imprenable sur mes grandes lèvres pendantes, mon sexe ouvert et humide et le dessous de mes seins...

A ce moment là, j'entre dans la salle de bain et voyant la scène, je me mets en colère te reprochant de profiter d'être seule avec le plombier pour t'exhiber lorsqu'il est allongé sous le lavabo. Je te dis de me suivre, car tu mérites une punition.

J'essaie de m'expliquer en disant qu'il m'a demandé de l'aide et que je n'ai pas pensé à mal ni à m’exhiber, car je ne suis pas ce genre de femme à me mettre nue devant le premier venu… sauf quand vous me l’ordonnez monsieur...

Tu sors de la salle de bain alors qu'à aucun moment l'homme n’a pris ta défense.

Une fois dans le séjour, je te fais t’allonger sur la table sur le ventre, et prenant un martinet je te corrige durement d'une vingtaine de coups sur ton joli fessier, terminant ta correction par un dernier coup sur ton sexe.

Puis je te fais mettre à genoux, les mains derrière la tête, les cuisses ouvertes et la bouche ouverte. Je t'annonce alors :

« Lorsque le plombier aura fini, il pourra utiliser ta bouche et giclé dans ta gorge sans en perdre une goutte… »

Je pleure doucement, en silence, des larmes sur mes joues, sous la douleur des coups sur mes fesses et mon sexe...
« oui monsieur... »
Dix minutes après le plombier arrive et tu lui expliques la situation... Il s'approche et sort sa queue et s’approche de ma bouche.

La bite du mec sent fort, un mélange de sperme et d’urine, et il est oblige de me tenir la tête pour qu'il puisse se faire sucer, sinon je recule de dégoût. Contrainte et e je commence à lui donner de petits coups de langue sur le gland avant qu’il enfonce sa queue dans ma gorge et me baise violemment la bouche au bout de cinq minutes, il éjacule un sperme épais et acide, qui me donne envie de vomir au moment ou j’avale...

Après avoir avaler la semence du plombier, tu pleures recroquevillée sur le plancher, alors que je prends congé du plombier. Puis je reviens vers toi, te fais te lever en te prenant par les cheveux et t'ordonne d'aller te laver car nous allons partir chez moi rejoindre Marina

Je vais me doucher et me rince copieusement la douche, inquiète et curieuse de voir la suite des évènements...

Pendant ce temps, je prépare ta petite robe que tu m'avais montrée le matin sans rien d’autres et une paire d escarpins à hauts talons

Je sors de la salle de bain et me dirige vers la chambre pour m'habiller. Tu m'as choisi la robe que j'avais prise pour aller faire les photos dans le parc qui me couvre au minimum et j'attends la suite des évènements.

Dès que tu es prête, je te prends par la main et t'entraîne en dehors de chez moi. Alors que nous passons devant ta porte pour prendre l'ascenseur, je te demande :

« As tu besoin de prendre quelques choses chez toi ?

- Heu... Je ne sais pas monsieur... Une valise avec des vêtements peut être ? Et mon sac à main ?

- Ton sac à main suffira » dis je en prenant la clé de ton appartement que j'ai dans ma poche et ouvre la porte

Je prends mon sac à main qui est accroché derrière la porte et tu la refermes de suite derrière moi et mets la clé dans ta poche avant de m'entraîner vers l'ascenseur...

Alors que nous arrivons dans le sous-sol où est garée ma voiture, je te dis :
"Que choisis-tu : garder ta robe et faire le voyage dans le coffre ou la retirer et venir près de moi pour le voyage ? »

Je suis surprise de ta demande mais je ne me vois pas aller dans le coffre de la voiture aussi, en guise de réponse, j’ôte ma robe et m'approche de la voiture

"C'est bien ! Je vois que tu commences à aimer être nue et exhiber. Je vais réellement faire de toi une bonne petite pute soumise avec l'aide de Marina"

« Si vous le dites monsieur... Mais je ne voulais pas voyager dans le coffre... »

La voiture sort doucement du garage et bien sur je roule doucement pour aborder la petite rue qui passe devant la sortie. Il y a du monde sur les trottoirs et un homme s'arrête pour nous laisser passer. Il écarquille les yeux en te voyant à quelques centimètres de lui, assise nue près de moi, les cuisses ouvertes et les seins dressés, malgré tes yeux humides

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