Plan Suce Au Bureau
Cest arrivé il y a quelques jours. Je lai croisé à laéroport de Tunis, alors que je rentrais à Alger. Il me fixait du regard. Je ne sais pas pourquoi, mais jétais pris par une folle envie de lui parler, de lui sourire. Mais je métais retenu.
Taille moyenne, brun de peau, les tempes grisonnantes (cest mon faible), les traits fins, il porte des lunettes. Il est mignon, mon genre dhomme quoi. Une fois dans lavion, je le vois arriver. Il est dans la rangée devant moi. Nos regards se croisent encore une fois. Je souris et il répond à mon sourire. Je me rends compte quil ressemble au mari dune copine. Je me dis que cest peut-être lui et que je ne lai pas reconnu. Je prends mon courage à deux mains et je lui demande si cest lui. Un sourire en coin, les yeux qui pétillent, il me lance : « Non, mais votre visage ne mest pas inconnu ! ».
Tout au long du voyage, il se retourne et me sourit. A la descente de lavion, on discute un peu. Il rencontre des connaissances à lui, je me mets en retrait. Attendant de passer la police des frontière, nos regards se croisent et il me lance : « On se retrouve après ! » Jacquiesce de la tête. Une fois devant le tapis de bagages, on se présente et séchange nos numéros de tél. Je me retiens de lappeler de suite, pour ne pas me ramasser un râteau. Je me dis que comme toujours, je me fais des scénarios
Deux jours plus tard, sur facebook, il menvoie une invitation que je mempresse daccepter. Une discussion sengage mais sans plus. Le soir, on se recapte sur facebook, mais là, la discussion prend une autre tournure, et ce, suite à lémoticône (une langue qui pendouille) que jai utilisé. Il me lance : « Arrête avec la langue, ça me fais des choses ! » Je saisis la perche qui mest tendue pour lui demander : « Quel genre de choses et à quel niveau ? » Il me répond : « Je suis sensible partout ! » On poursuit notre jeu de questions-réponses avec des sous-entendus de plus en plus explicites jusquau moment où il me dit quil a envie dune langue et dune bouche qui le sucent.
Une discussion sur nos goûts, nos envies et attentes sengagea. Tous les deux étant sur la même longueur dondes, nous avons convenu rapidement dun rendez-vous. Le briefe était que je le suce dans la voiture, quil se lâche dans ma bouche et que javale son foutre. Amateur de sperme et de pipe, jai tout de suite accepté la proposition. Ne restait quà fixer le jour. Le lendemain, on en rediscute et je suis excité au point de lui proposer de passer au bureau en fin de journée. Aux environs de 18h30, il arrive. Je le fais entrer, prenant le risque car quelques collègues sont encore là. Ce qui augmente le degré dexcitation. Heureusement que mon bureau est en retrait. A peine la porte fermée, ma main caresse son paquet. Nos têtes se rapprochent et on se roule une pelle magistrale.
Je continue à caresser son sexe qui commence à durcir. Je marrête, je déboutonne et débraguette son pantalon. Un caleçon noir cache lobjet de mes désirs. Je me mets à genoux, je tire sur le caleçon et une bite de taille moyenne couleur chocolat se lève, à moitié bandée. Je nhésite pas une seconde. Jengouffre son membre et commence à le sucer, voire à la pomper. Il se laisse faire et exprime son désir par de petits gémissements et grognements qui mencourage à continuer mon ouvrage. Je salive et sens cette queue coulisser dans ma bouche. Je pousse loin au fond de ma gorge, callant mes lèvres sur son pubis rasé. Puis je reprends ma suce et jagace son gland avec ma langue. Sa bite nest pas longue, ni trop large. Elle juste moyenne, ce quil faut, je la sens charnue dans ma bouche. Sucer un mec alors que derrière la porte, jentends mes collègues mexcite grave.
Je baisse le dernier rempart (caleçon) et dégage les valseuses. Je les prends et les fais rouler une à une dans ma bouche ce qui électrise mon bonhomme. Assis sur la chaise, jambes écartées, il se laisse aller au plaisir de ma pipe. A part les bruits de succion, lon peut entendre une mouche voler. Il renverse sa tête en arrière, me caresse la tête avant de bien la tenir entre ses mains, et mimprégner son rythme.
Je poursuis pendant 5 minutes à sucer sa belle et bonne bite propre qui sent le mâle en fin de journée, ce qui nest pas pour me déplaire. Il me regarde et me lance : « Combien de queues tu as sucées pour tailler des pipes comme ça ? » Ce qui a eu pour effet de me stimuler et poursuivre avec des gorges profondes.
Il se lève, reprend ma tête entre ses mains et commence à me baisser littéralement la bouche. Je laisse faire, je prends un pied denfer. Je bande comme un malade. Ma queue est comprimée dans mon jean. Se mettant sur la pointe des pieds, il enfonce sa bite dans ma gorge. Joublie tout ce qui mentoure me concentrant uniquement sur ce qui coulisse dans ma bouche. Il souffle, une respiration saccadée. Il me prévient quil va venir. Je le tiens par les hanches histoire quil se lâche dans ma bouche. Ça ne rate pas. Un dernier coup de rein, il senfonce. Je sens sa queue se contracter. Et là quatre jets de sperme chaud atterrissent sur ma langue. Cest chaud, un gout particulier, légèrement poivré, une grosse quantité de foutre, ce qui nest pas pour me déplaire. Il me caresse la tête, je le regarde, la bouche pleine de sperme et javale le tout. Il me sourit et se baisse pour déposer un baiser sur mes lèvres. Satisfait, je reprends sa bite dans ma bouche pour la nettoyer. Un moment court et intense gorgé et chargé de plaisir. Jattends avec impatience le prochain rendez-vous. Là ma rondelle en prendra pour son grade.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!