Leslie An06

Leslie AN06 – Anastasia, en route pour le week-end à Epernay, suite

Plus tard alors que prenions le petit-déjeuner, sachant qu’il faudrait bientôt partir pour nous rendre chez Delphine, Aurélie me raconta une partie de sa vie…

« Tu sais ? Leslie, il y a quelque temps, étant seule à la maison j’ai voulu regarder un film à la télé, mais en cherchant dans les films de mes parents j’ai découvert des cassettes avec des titres des films plus ou moins évocateurs.
Un titre retint plus son attention : « Moi ». Ne sachant pas de quoi il s’agissait et qui se cachait derrière ce moi, je ne résistais pas à visionner ce film et le mit en route.
Les premières images me montrèrent que le film était tourné dans le salon de la maison de mes parents, là où je me trouvais à cet instant.
Il y avait au moins trois personnes, deux hommes et une femme, la caméra étant en poste fixe, mais certainement télécommandée. La voix de la femme me fit tressaillir, je compris, en fait, qu’il s’agissait de ma mère.

Tu sais, je suis un peu innocente sur les choses du sexe, j’avais vu des corps nus sur la plage et parfois dans des revues que je feuilletais chez le libraire, je me branlais seule dans ma chambre en étouffant mes gémissements de plaisir.
J’avais même acheté un plug qui me servait de temps en temps et le gode que je me suis servi hier, et là je me retrouvais devant un film où ma mère était actrice.

Elle rigolait et disait aux autres d’être sympas avec elle et de faire en sorte qu’elle garde un bon souvenir de ces moments, la caméra fit un plan large, pour me faire découvrir que tout le monde était nu.
Ma mère, s’approcha d’un des deux hommes, le saisit par la verge et l’amena jusqu’au divan où elle s’assit, puis elle commença à avaler goulûment son sexe qui grossit dans sa bouche.
Le deuxième s’approcha, lui aussi le pénis dans la main, déjà dur et le pointa sous le nez de ma mère, elle le saisit et commença à le sucer pendant qu’elle branlait le premier.

À un moment, elle avait les deux verges dans la bouche en même temps.

J’étais surprise et choquée de surprendre ma mère dans une situation pareille, mais découvrant le sexe avec ce film, je commençais à trouver cela excitant.
De plus, les deux hommes étaient virils à souhait et devaient sûrement faire de la musculation. Ma mère faisait une fellation à ses deux partenaires en se caressant la vulve d’une main.
Excitée par le film, j’entrepris de me caresser, en me disant que j’aimerais bien être à la place de ma mère et de m’en prendre, moi aussi, un peu plein le cul, j’en rêvais depuis si longtemps et il me tardait que cela vienne un jour.
Une étrange sensation de chaleur et de désir naissait au cœur de ses reins, je me laissais aller dans le canapé, en me caressant.
Ma mère faisait une fellation aux deux hommes et sur son ordre, un des hommes sortit son membre de sa bouche, la contourna, l’invita de la main à relever le postérieur, puis commença à lui lécher la vulve.
Pendant qu’elle continuait sa fellation sur l’autre, elle se faisait lécher la vulve et pénétrer le vagin par les doigts de son compagnon, je voyais nettement les coups de langues aller jusqu’à son anus.

A cet instant, j’ai senti que j’avais besoin de sentir quelque chose de dur au fond de mon cul, alors j’ai pris mon plug et je me le suis enfoncé dans le cul.
L’homme qui était derrière ma mère la léchait divinement, car tout en suçant l’autre elle ne cessait de gémir. Les coups de langue de l’homme entre les cuisses de ma mère allaient du clitoris à l’anus.
À voir le plaisir que semblait prendre avec ses deux étalons, j’augmentais les va-et-vient de ma main sur mon sexe pour me branler plus fort.
L’homme qui était derrière ma mère arrêta ses caresses buccales, jugeant certainement qu’il était temps de passer aux choses sérieuses, il présenta son membre contre la vulve de ma mère, puis l’enfonça d’un coup provoquant un hurlement de plaisir de ma mère qui en lâcha le sexe du deuxième homme.

Je n’avais jamais vu d’hommes nus en érection et surtout avec de tels attributs, je me dis que ma mère allait déguster.

La scène était intense, car pendant que ma mère suçait un homme tout en gémissant, un deuxième la défonçait à grands coups. L’homme qui se faisait sucer, retira son énorme sexe et dit au second que c’était son tour, tout en tirant ma mère par la main. Il s’assit sur le divan, adossé au mur et l’invita à s’empaler sur sa bite.
De voir cet énorme phallus érigé vers le haut qui allait disparaître entre les cuisses de ma mère, j’accélérais encore le mouvement, le plaisir me gagnait et je gémissais de plaisir en continu, je savais qu’il me faudrait bientôt me faire moi aussi défoncer et hurler de plaisir.
Je suis restée un moment à me branler en me défonçant doucement l’œillet avec mon plug, lorsque j’ai relevé la tête, les positions avaient changé, l’homme sur lequel ma mère s’était empalé était maintenant debout derrière elle et testait l’élasticité de son anus en y introduisant un, puis plusieurs doigts, tandis que l’autre, maintenant allongé sur le divan se faisait sucer la queue.

J’ai à cet instant ôté le plug de mon cul et je me suis introduit un doigt dans mon cul en soupirant de plaisir, la sensation était délicieuse.
Ma mère était penchée au-dessus de l’homme qu’elle suçait, offrant indécemment son cul au deuxième qui voyant le petit trou de ma mère offert posa son pieu sur les replis de son anneau. Puis appuyant son gland contre le trou entrouvert et jugeant le moment venu, il enfonça son énorme pieu dans le rectum de ma mère, qui poussa un cri.
Ils restèrent un moment immobile, ma mère essayant vraisemblablement de s’habi à ce phallus qui lui écartait les chairs et demanda à son sodomiseur de ne pas bouger. Puis lentement, elle commença à onduler du bassin avec des petits gémissements qui montraient le plaisir qu’elle avait à avoir cette bite dans le trou du cul.

Puis se repoussant en arrière et ouvrant ses cuisses, elle invita l’autre homme à la prendre par devant, ne se faisant pas prier celui si enfila ma mère de son pieu de folie.

Maintenant, les deux énormes sexes la pilonnaient en rythme. D’un coup elle explosa, victime d’un orgasme.
Je me suis faites jouir en regardant ma mère se faire prendre par les deux trous, ma mère si prude et si réservé, je venais de la voir se faire taper comme une salope, en jouissant j’ai décidé de vivre ma transsexualité et que si je me faisais sodomiser ce ne serait que pour mon plaisir, comme ma salope de mère. »

- C’est pour cela que j’ai été au club hier et que tu m’as rencontré, me dit Aurélie.
Nous avons terminé notre café et nous sommes remontées dans notre chambre chercher nos sacs de voyage, puis nous avons été cherchées notre voiture au parking de l’hôtel.
Une demi-heure plus tard, nous étions en route pour Epernay, où Delphine devait nous attendre pour le déjeuner, avant de démarrer je lui ai envoyé un texto pour lui annoncer que nous partions à l’instant même. Nous avions dix minutes de trajet et nous serions pile pour midi chez Delphine.

Aurélie s’était pouponnée et avait enfilée une petite robe noire en soie et avait passé par-dessus un gilet gris afin de cacher son décolleté qui était très plongeant, elle était belle comme un cœur.
Je lui ai dit, qu’elle était belle comme un cœur, que je l’a trouvait belle et que…
- Arrêtes-toi un instant sur le bas-côté, me demanda Aurélie.

Je me suis arrêtée dans sur le bord de la route près d’un petit ruisseau, et aussitôt Aurélie s’est penchée sur moi et me relevant la jupe en me faisant ouvrir les cuisses, elle a sorti mon sexe de mon string et a commencé à me sucer.
Bien que sans trop d’expérience en la matière, puisque j’étais sa première relation, Aurélie commençait à bien sucer, elle le faisait avec conviction et envie, prenant son temps et ne laissant aucune partie de mon membre sans attention.
Sa langue s’enroulait autour de mon gland et ses lèvres jouaient avec avant que sa bouche ne m’absorbe tout le sexe. Aurélie allait devenir une experte en fellation.

Les caresses de sa bouche allant et venant sur mon sexe eurent bientôt raison de ma volonté de faire durer le moment le plus longtemps possible, car j’ai jouis dans sa bouche et Aurélie, après s’être redressée, en me regardant dans les yeux, avala mon plaisir en me faisant un clin d’œil en me disant :
- Tu es ma chérie et je vais faire attention à ceux où à celles qui te regardent avec envie…

Nous sommes reparties en sachant que ce petit intermède nous avait retardées un peu, mais cela en valait le coup.

A suivre…

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