Nos Premiers Ébats : Nuit 1

C'était il y a quelques semaines, un vendredi soir, ma copine rentrait de son école de médecine et moi j'étais déjà en vacances, elle aussi d'ailleurs, elle venait de finir ses épreuves de bac, et m'as trouvé sur le canapé regardant la télé, elle jeta son sac sur le coté du canapé et vinrent m'embrasser longuement.
Pas loin de mon oreille, elle me chuchota:
_ Ce soir...
Elle se releva et me sourit longuement, il était sept heure moins vingt, nous dînâmes, et Marie me raconta sa journée.
A la fin du repas nous nous glissâmes dans notre lit, enlacés, regardant la télé, Marie zappait les chaînes quand tout à coup je sentit sa main glisser le long de mon corps, elle faisait comme si rien ne se passait puis s'arrêta en éteignant la télé.
_Il n'y a rien à regarder, de toute façon on a mieux à faire, me dit-elle avec un grand sourire et en soulevant la couette.
_Tu...Tu fais quoi ? dis-je un peu désorienté.
_Ça se voit pas, je te branle..
En effet elle avait retiré mon boxer et était en train de me branler.
Sa main était chaude et me donna des sensations inimaginable, je lui demanda d'arrêter et de venir s'allonger, elle s’exécuta.
Moi je me glissa entre ses jambes et enleva sa culotte, petite culotte de base, rose et mauve.
Elle avait un vagin épilé au mieux possible, je caressa autour, elle était toute douce.
Après avoir bien vu et bien touché les contours, je me dirigeais vers l'intérieur, une jolie petite chatte qui ne demandait rien d'autre...
Marie me prit la tête et me la colla entre ses jambes.
Étais-je au paradis, étais-ce un rêve, est ce que Marie était encore en train d'écrire sur sa copie d’examen et moi endormi sur le canapé après être rentré de la salle de sport où j'ai été avec mon ami Arthur ?
Non, du moins après six nuit torrides je ne pense pas que j'écris ce texte en dormant.

A présent, elle était là, sur moi, nue, moi aussi, nous étions tout les deux en position chaise longue, et elle gigotait pour que nos sexe se caressent.

Je la prit par les hanches et la fit tombé doucement sur le lit à côté de moi, puis je me suis mis en missionnaires.
_STOP ! Jamais tu met de préservatif ?
je couru vite en chercher un dans l'armoire de la salle de bain. je revinrent la capote à la main, je jetais l'emballage dans la poubelle à côté de la porte, puis je m'assis sur le lit.
Elle vint me prendre la queue tout en m'embrassant le cou, elle fit des va-et-vient pour me faire bander, bravo, elle avait réussi la coquine.
je pris le réservoir entre mon index et mon pouce, et elle prit sans me demander l'anneau, nous la mîmes tout les deux très bien, le colonel était au garde à vous et prêt à rentrer sur le champ de bataille.
elle se rallongea et je me remis en missionnaire sur elle.

Ça y est, elle venait de prendre mon bonhomme et me dirigea vers la porte magique.
Je suis dessus, prêt à la fourrer, 1,2....
_Vas y pas trop fort, dit-elle, je veux pas avoir mal.
je la regardait droit dans les yeux et l'embrassa tout en rentrant mon pénis en elle lentement, une fois enfoncé à fond, je me leva et je commença mes va-et-vient en elle le plus délicatement possible.
Son visage exprimait de la joie et de la douleur, moi aussi j'avais trouvé ça dur à rentrer.
Une bonne minute passa sans rien de nouveau quand tout à coup, respiration plus rapide et plus forte, mouvement du bassin vers moi, ça y est, elle prenait son pied, autant que moi, j'en profita pour accélérer petit à petit jusqu'à une vitesse normale.
_Han !...
Un orgasme, elle venait d'avoir un orgasme.
Cette sensation de lui avoir fait un bien fou me donna l'envie d' aller de plus belle, j'accéléré encore un peu et je fis des mouvement plus poussés.
Il était vingt-deux heures, je me suis arrêté lentement..
_j'ai joui !
_Vraiment ? me dit-elle. J'ai bien cru que tu me prendrai toute la nuit, tu tiens longtemps dis donc, me dit-elle en rigolant.
La capote était pleine, je fit un nœud et la jeta à la poubelle.

_Douleureux...Bon... Impréssionnant !
Elle venait de qualifier notre tout premier ébat, nous étions en sueur, nous avons aimé, nous sommes à présent sur le mit, main dans la main, et nous nous endormîmes.
Le lendemain matin, Marie me ramena le petit déjeuner au lit, elle vint, me posa le plateau sur les genoux, alluma la télévision et vint m'embrasser, nous déjeunâmes ensemble et nous passâmes notre premier jours de vacances en ville, et notre première nuit de vacances était déjà passé, c'était magnifique, un dépucelage de tout ce qui a de plus banal, mais tellement bon ...



A SUIVRE !