Hôtesse De Location

Les jours passent sans se ressembler. Avant hier, j'étais chez moi, nue dans les bras de mon amant. Nous étions couchés, moi en chien de fusil, lui contre moi. Je le sentais contre mon dos. Sa chaleur se communiquait à tout mon corps.J'étais bien aussi, mes soupirs de chatte devait le lui confirmer. Je remuais doucement mes fesses dans un appel silencieux. Mon chéri répondait comme j'aime. Je sentais sa queue se développer doucement.
J'arrangeais mon corps pour bien le sentir entre mes fesses. J'aime beaucoup le sentir bander ainsi contre moi, juste à coté de mon cul, même si je ne suis pas une fanatique de la sodomie. Là, hier, je le sentais mieux que les autres fois. En remuant d'avant en arrière je le sentais durcir. Il avait envie de moi comme j'avais envie de sa queue, n'importe où, même dans l'anus.
Une de ses main s'est posé pour caresser un sein que je sentais durcir. En prenant mes fesses à deux mains, je m'ouvrais pour qu'il me sodomise.
Pour une fois que je te le demande pas, je vais bien t'enculer.
Il me donnait encore plus envie. Nous restions presque dans la même position. Il entrait lentement en moi. Cette fois il m'a fait jour trop vite. Mon type aime me la mettre partout. J'aime quand il me baise, là j'étais morte de plaisir. Je sentais cet orgasme particulier à mon cul. J'aidais avec mes reins pour les mouvements. Je ne me souviens même pas combien de fois j'ai senti un orgasme. Pour lui je sais il a jouit une fois, une seule dans le cul. Je le gardais jusqu'à la fin de sa jouissance.
Puis ce matin je suis partie pour mon travail. A ma descente de l'avion, au guichet de location de voitures, l'hôtesse me faisait un grand sourire commercial. Elle me plaisait comme fille, comme ça sans raison, sinon qu'elle est belle, plus que moi certainement. A mon retour, elle était encore en service : j'étais sa dernière cliente. J'avais envie de la mieux connaître : nous nous sommes assises au bar voisin.


Je voyais ses genoux dépasser de sa jupe, assez courte il faut le dire.
Vous êtes jolie, agréable à regarder.
Merci, vous aussi. Je penses que vous êtes une femme rare.
Elle en dit trop sans doute. Je pose ma main sur le genou le plus proche. Son sourire éclaire un visage déjà agréable.
Je ne sais pas comment elle s'appelle alors que je suis sur le point de succomber à son charme. Et puis, il y a longtemps que je n'aurais pas connu intimement de fille. Ça me manque sans doute. J'allais faire l'irréparable : elle le fait d'elle même en m'embrassant, en public. Ô un simple baiser sur le bout des lèvres, juste en passant comme par hasard. Mon accord se traduit par une courte caresse sur la jambe.
Viens allons chez moi.
Si tu le veux.
Tu n'a pas envie ?
De toi, si.
Son chez elle lui ressemble : coquet, simple, confortable. Nous nous embrassons, ce que nous n'avons pas pu faire dans le taxi conduit par une femme à moustache. Nos langues semblent se connaître depuis longtemps. Je commence à défaire les boutons de son informe. L'hôtesse ne porte pas grand chose dessous. Ses seins sont là, à ma disposition. J'enlève la veste qui gêne mes mouvements. Sa poitrine est plus grosse sans veste.
Je m'appelle Anne et toi ?
Rosine, je sais c'est naze comme nom.
Non, c'est joli. Viens contre moi.
J'obéis comme si c'était mon aînée. Je me blotti contre elle. Son odeur de fille m'excite maintenant. J'ai envie qu'elle me fasse plein de choses, m'embrasser partout, me caresser, me mettre la main, sur les fesses, sur la chatte, qu'elle dispose ses longs doigts dans le con. Elle doit s'en douter, je mouille, je coule même entre mes cuisses malgré la culotte.
Ses mains dans le dos descendent vers les fesses. Hum c'est tentant. Ma tête posée sur son épaule, mes bras qui l'entourent montre bien que j'apprécie.
Elle soulève le bas de la jupe en arrière. Anne sait parler au femme. A moi en tout cas.
Je l'attends quand elle caresse les fesses, qu'elle fait descendre le slip que je la laisse faire. Elle s'accroupit en baissant le vêtement. Quand il est en bas, je soulève les jambes. A peine presque nue, elle soulève complètement la jupe.
Je sens son souffle sur l'abricot. Je regarde ce qu'elle fait, j'écarte les jambes pour laisser passer la tête de celle qui va devenir mon amante. C'est sa langue qui lèche un peu ma motte. Elle glisse vers le bouton.
Je suis sur le point de jouir avant même qu'elle commence. Dieu que j'ai envie d'elle, de sa langue de son con, de son cul. Je la veux contre moi. Anne a excellente idée de m'oublier pour m'emmener au lit.
Je la laisse me déshabiller. Avant que je touche un seul de ses vêtements, elle est nue. J'aurais voulu que je..... qu'elle me.....
Couchée à moitié sur moi, elle caresse tout mon corps. Mes jambes s'ouvrent comme un appel à la suite. Enfin elle pose encore sa main sur la moule. J'attends la masturbation comme si c'était ma première fois. Anne entre deux ou trois doigts. Elle me branle mieux que mon homme ainsi. Mes reins accompagnent sa cadence.
Je n'ai même pas le courage de lui rendre ses caresses. J'attends comme une pucelle la première fois qu'elle se fait mettre. Ce n'est qu'après le premier orgasme que je me décide à chercher sa chatte qui bien sur est totalement mouillée. J'aime ces instants, juste après l'orgasme de rendre les caresses que j'aime qu'on me fasse.
Ce n'est pas suffisant, après que je l'ai faite jouir, elle vient sur moi en 69. Je me fais lécher, je la lèche. D'elle même elle pose un doigt sur l 'anus où elle entre un peu, juste ce qu'il faut pour me faire jouir. J'allais le lui faire aussi quand elle part dans un orgasme comme je n'imaginais pas. Anne se laisse aller au près de moi.
A mon tour de prendre la direction. Nous sommes presque assises, nos jambes mêlées les sexes imbriqués. J'adore cette sensation d'un clitoris sur le mien. Nous bougeons pour aller le plus loin possible dans nos jouissances.
Je jouis encore sans cesse. Ce n'est pas possible, elle va me à posséder par sa chatte.
Je sens un besoin de pénétration que je demande. Elle sait bien comment faire en mettant très lentement sa main entière dans le vagin. Je me laisse fister pour la première fois. Je crois perdre la raison en jouissant ainsi.
Nous devons nous revoir la semaine prochaine. Je lui rendrais tout ce qu'elle m'a fait, surtout la fister.

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