Chaude Fille, Encules Moi

L’ascenseur est en panne : me voilà obligé de monter chez elle à pieds. J’aurais mieux fait de me masturber, pourtant ses fesses m’attirent depuis que nous nous sommes rencontrés l’autre jour au restaurant. J’espère qu’elle va se laisser mettre, comme j’ai envie. Un coup de sonnette. Elle ouvre magnifique dans sa robe un peu courte.
Un baiser échangé sur les joues. Je suis chez elle. Bien meublé son appartement. Pas possible elle doit avoir un mec.
La nuit d’automne est tombée depuis longtemps. Elle m’oublie pour passer dans la salle de bain. Que diable va-t-elle faire à cette heure ? Enfin elle revient, la voilà en déshabillé, terriblement excitante. Elle le cherche, alors je n’ai pas à me gêner. Je sens ma queue prendre du volume.
Collée contre moi, elle passe son ventre contre le mien en sachant bien que je bande. Ses mouvements n’ont rien d’innocents. Ma bouche va de ses lèvres à son cou, jusqu’à ses épaules. Elle insiste contre le pubis. Mes mains sont sur ses fesses : je les frictionne lentement. Elle écarte son visage du mien, me regarde avec des yeux qui montrent son désir. Lentement elle fait tomber ce qu’elle porte. Nue elle est encore plus belle, ses cheveux couvrent ses épaules et une bonne partie du dos.
Ses seins durcissent contre moi. En les embrassant je sens les tétons glisser sur mes lèvres. J’aurais du la masturber un peu avant. J’ai envie de passer mes doigts entre les fesses. Elle ne se dérobe pas, au contraire, elle tend sa croupe. Alors lentement, doucement mes doigts viennent dans la raie.
Son murmure presque indistinct indique que je dois aller au bout. Elle l’aura voulu, je descend doucement, je passe sur l’anus une fois avant de revenir. L’arrière train en arrière, elle me donne son cul. Je caresse le tour de l’anus, elle l’ouvre un peu. L’index droit fille en elle. Je masturbe cette entrée secrète.
Elle colle son entrecuisse contre ma jambe. Son mouvement montre qu’elle se branle.

Mon va-et-vient correspond exactement au sien. Sa bouche quitte la mienne sur un  « je jouis ». J’allais arrêter ce que je lui fait. Elle aurait du, elle arrêter.
Je continu mon massage intime. Enfin elle s’occupe de moi. Ma bite en avait mal. Je l’ai dehors, encore habillé. Je la sens avoir des mouvements incontrôlés vers le haut, pourtant le gland reste sous le prépuce. Le dos de sa main contre mon ventre, elle att le membre le secoue un peu.
Sa masturbation ne dure pas, elle m’oublie encore pendant qu’elle a encore un orgasme que je sens autour du doigt.
Enfin un mot magique :
- Encules moi.
Elle me pousse dans la chambre, sur le lit. J’étais prêt à lui obéir, mettre une queue dans un si joli cul, n’importe quel homme normalement constitué l’accepterait. Elle a du changer d’avis, elle vient sur moi, s’y couche pour prendre la bite dans la bouche. Ses lèvres m’entourent comme il convient, elles font le tour de la tête de la queue, me serrent jusqu’à, la fin du gland pour recommencer. Mes couilles font partie de ses attentions. Elle veut me rendre ce que je faisais à son anus. Ses doigts passent sous les joyeuses, jusqu’à leur base pour s’attaquer à mon cul vierge à ce jour. Malgré moi je me referme un peu avant de la laisser faire. Ma foi ce n’est pas dégueulasse. Elle y coulisse un moment en continuant la fellation.
Elle me donne sa chatte. J’hume son odeur particulièrement forte de petite fille négligée. Mes lèvres rendent ce qu’elle me donne. Au début je lui tiens les fesses pour ensuite passer une main entre. Son trou est toujours avenant, ouvert encore pour moi.
J’arrive à dégager ma queue pour ne pas jouir rapidement. Elle ne se gêne pas pour le faire. Puis, encore
- Encules moi.
Cette fois elle reste sur le ventre, elle garde ses fesses ouvertes. Quand je suis sur elle je passe entre ses jambes ouvertes. Ma pine est d’abord sur le bas des globes. Je la laisse faire son passage le long de la raie.
J’ai à peine le temps de passer sur le cul qu’elle me fait entrer.
Le gland débarrassé du prépuce entre en elle. J’aurais aimer savourer la pénétration. Pour elle c’est du temps perdu. Je me trouve embourbé dans ses boyaux. Sa cadence donne le tempo. Pas possible d’aller et venir si rapidement. En prenant le pari de rester immobile, je la sens bien mieux. Je ne pistonne pas, elle fait à elle seule ce qu’il faut. Juste avant moi, elle jouit encore.
Je me retire flagada. Pour elle il lui en faut encore. Elle me mange la queue en partie.

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