Leslie An08
Leslie AN08 Anastasia, week-end à Epernay, chez Delphine, suite
Aussitôt nos deux compagnons partis, nous avons parlé un peu, nues assises dans les canapés du salon.
Delphine prit la parole pour nous dire :
- Nous pourrons diner quand vous voudrez, il y a ce quil faut, mais je tiens à vous dire que je suis vraiment heureuse de vous recevoir chez moi, et jespère que vous dormirez toutes les deux avec moi cette nuit !
- Heureuses, nous le serions nous aussi, répondit Aurélie.
Les yeux dAurélie brillaient, comme si elle se retenait de pleurer, à cet instant elle était heureuse de vivre et de sentir tout lamour qui se dégageait delle et les effets quelle pouvait avoir sur des hommes.
Delphine sapprocha et enlaça tendrement Aurélie avant de lui déposer un baiser sur ses lèvres, puis lui dit tendrement :
- Tu sais, tu es belle et désirable, jai senti quil fallait te faire rencontrer des hommes afin de te donner confiance en toi, et rassures-toi, Leslie ne ma rien dit, jai juste eue comme une intuition
- Je te remercie, dit Aurélie, cela ma fait du bien de me sentir désirée.
- Tu le seras encore souvent ma chérie, dit Delphine, et tu verras comme cest bon !
- Oui mais comment ne pas faire derreur ?
Tu sauras rapidement, ce qui est bon pour toi et ce que tu veux ou ne veux pas et puis il y a Leslie.
- Leslie ne seras pas toujours là.
- Peu importe, ne tinquiète-pas tu vas vite apprendre.
Aurélie était radieuse, elle venait de découvrir le sexe et les rapports physiques, après avoir été enfermé des années dans son corps qui réclamait des caresses et des pénétrations, elle venait de se réveiller à la vie et allait maintenant en profiter
Alors que Delphine prenait sa douche, Aurélie est venue me parler.
- Tu sais Leslie, je repense à Didier, cet homme que jaurais pu rencontrer dans dautres circonstances, et que pense-t-il de moi maintenant, il me considère comme une petite transexuelle qui sest offerte à lui comme au premier venu ?
- Il ne faut pas que tu penses ainsi, ne sois pas honteuse de tes désirs et de ton plaisir, dis-je, tu tes offerte et tu en as tirer du plaisir, cest le principal et de plus ce qui est fait, est fait.
Aurélie continua :
- Je sais que tu as certainement raison, mais tout cela est si nouveau et je pense que ce nest pas fini, car le week-end ne fait que commencer.
- Là tu as raison, mais laisses-toi aller et profites de la vie !
- Ce qi est fou, cest quen plus jai pris un pied denfer, jai adoré et je me pose des questions, ça me rend triste.
- Cest parce quau début tu voulais vivre avec moi une belle aventure, mais notre vie nest pas toujours quune belle aventure, il faut vivre et parfois se faire une raison.
Aurélie sallongea sur le canapé et senfonça la tête dans un coussin et se mit à pleurer, certainement le stress et le plaisir, car jamais depuis son adolescence, elle navait été heureuse comme cela, elle ressentait au fond delle-même un besoin irrépressible de pleurer, certainement de bonheur, comme si à chaque larme versée, cétait des années de frustration qui séchappait.
Petit à petit, Aurélie se calma, elle sentait que sa vie allait changer et que plus rien ne serait comme avant, elle avait gouté au sexe et elle avait aimé, elle minvita à prendre une douche avec elle.
Ensuite après la douche, nous sommes allées dans une chambre nous vêtir un peu.
En sortant de la chambre, Aurélie ne sétait jamais sentie aussi libre et heureuse, elle vivait un conte de fée, maintenant elle se donnerait du plaisir toute seule et sans honte. Mais cela avait ses limites et Aurélie le savait, un gode ou un vibromasseur en silicone, ne remplacera jamais létreinte dun homme.
Nous avons diné, tranquillement sachant que la soirée nétait pas terminée
Après le diner, Aurélie regardait les livres dans la bibliothèque de Delphine, quand, au bout dun moment, elle se sentit observée, en se retournant, elle comprit que Delphine ne cessait de la regarder. En rencontrant les yeux dAurélie, le visage de Delphine se radoucit.
Delphine se leva et alla vers Aurélie, puis Delphine posa ses mains sur les hanches dAurélie et lattira contre elle, et lembrassa à pleine bouche dans un baiser passionné remplit de tendresse et damour.
Aurélie restait immobile, tétanisée par la surprise. Mais voyant une ombre de tristesse voiler les yeux dAurélie, Delphine ne put sempêcher de dire en chuchotant :
- Je me sens bien avec toi, ce qui ne métait pas arrivé depuis très longtemps.
Aurélie sourit, alors elle rajouta :
- Je te désire, ça je ne peux le nier, je voudrais que tu me possèdes maintenant sur la table du salon,
Aurélie baissa la tête, mais ne répondit pas. Elle était troublée par laveu de Delphine. Elle navait jamais entendue une telle déclaration, un tel aveu, cette femme lui avouait ses désirs, alors elle se sentait troublée.
Delphine, pour lever ce trouble demanda à Aurélie :
- Tu veux boire quelque chose ?
- Oui, merci, un grand verre deau.
Aurélie sassit sur le grand canapé, et Delphine vint sasseoir à côté, déposant sur la table, en face de la jeune femme, le verre deau.
- Merci, dis Aurélie
Aurélie se pencha vers elle et lembrassa sur la bouche puis se retira en bredouillant :
- Jen avais envie
Elle neut pas le temps de terminer que Delphine se penchait sur elle pour lui rendre son baiser. Leurs langues semmêlaient lune autour de lautre, dans un mouvement endiablé et frénétique. Les mains de Delphine étaient déjà passées sous la nuisette dAurélie pour caresser ses petits seins.
Aurélie sabandonnait aux caresses de Delphine, qui en profita pour passer sa main dans lentrejambe de sa partenaire, et sentir la dureté de sa verge à travers létoffe de sa culotte.
Elles se mirent rapidement nues, puis elles mobservèrent un instant, me regardant comme si jallais les interrompre dans leur plaisir, alors pour les rassurer je leur dit :
- Faites comme si je nétais pas là, aimez-vous et si vous avez besoin appelez-moi.
Delphine était contente de constater quAurélie navait pas été oubliée par la nature et avant quAurélie ne comprenne ce qui se passait, elle saccroupit et prit la verge dans sa bouche.
- Elle est bonne et bien dure.
- Comme cest bon ! Dit Aurélie.
Au bout de quelques minutes, Delphine se détacha en disant :
- Allez, maintenant cest à toi de me donner du plaisir !
- Mais je nai jamais fait lamour avec une femme, dis Aurélie.
- Laisses toi aller et guider par tes désirs, et je serais là pour te guider dans tes premiers instants.
Delphine sallongea sur le dos, Aurélie se pencha sur elle et avec sa langue, commença, à la demande de Delphine, à tracer des cercles autour de ses tétons, en cercles de plus en plus étroits.
Delphine sabandonnait totalement à ce type de caresses, les seins érigés elle prenait du plaisir. Une fois ses tétons durcis, Delphine guida la tête dAurélie jusquà son entrecuisse, elle lui demanda de donner des coups de langue sur lextérieur de sa vulve, en noubliant pas dutiliser ses mains pour caresser les zones sensibles.
Delphine lui montraient, les unes après les autres, ces zones qui donnent du plaisir et font se cabrer les femmes quand elles sont effleurées par le ou la partenaire du moment.
Delphine ressentait un plaisir profond à lintérieur de son bas-ventre, car Aurélie avait entreprit, en suivant son instinct, une exploration plus en profondeur de lintimité de Delphine avec sa langue, jouant avec son clitoris et glissant son index dans sa chatte humide.
Sous les caresses dAurélie, Delphine sentit des ondes de plaisir la traverser, Aurélie continua avec son index et avec sa bouche, elle aspirait le clitoris, le rendant beaucoup plus sensible au moindre effleurement de sa langue. Tout à coup, Delphine se sentit partir. Son corps ne lui appartenait plus, il convulsait sous leffet de lorgasme. Aurélie eut juste le temps de sécarter pour admirer le jet de mouille quexpulsa Delphine, pendant lorgasme.
Delphine était vidée. Jamais elle navait joui avec une telle intensité. Aurélie la serra contre elle, riant et lembrassant et lui parlant à la fois.
- Ça va, demanda Aurélie, surprise de ce qui venait de se passer ?
- Oui, oui, bredouilla Delphine un peu gênée, tu mas fait jouir comme jamais, avec une telle intensité !
Delphine soccupa à redonner vigueur au membre dAurélie, en peu de temps voyant quAurélie bandait dur, elle sallongea et lui demanda de vernir sur elle pour la pénétrer, Aurélie sexécuta sans difficulté.
Delphine aimait sentir ce pieu de chair qui la défonçait, après plusieurs minutes Delphine proposa de changer de position, elle se mit à genoux, afin de pouvoir se faire prendre en levrette, Aurélie pouvait de la sorte admirer les fesses de sa partenaire.
Alors quAurélie besognait Delphine, celle-ci eut son deuxième orgasme et hurla son plaisir, puis Aurélie, peu de temps après, arrêta son mouvement de va-et-vient et en profita pour délivrer sa partenaire de son pieu de chair.
Je croyais quAurélie avait fini par jouir elle aussi, mais lorsque Delphine se cambra en hurlant, je compris quAurélie était en train de la sodomiser.
Quelques minutes plus tard, Delphine ny tenant plus annonça quelle allait jouir.
- Oui, vas-y, remplit moi de ta semence, ma chérie.
Son souhait fut exaucé sur le champ, Aurélie se cambrant à son tour, jouit au fond de lintimité de Delphine.
Les deux amantes exténuées sallongèrent sur le grand canapé, lune contre lautre, pour un moment de tendresse.
- Tu sais cest ma première sortie, jai rencontré Leslie il y a deux jours, alors tout cela est un peu nouveau pour moi.
Aurélie se blottit dans les bras de Delphine et ferma un instant les yeux, Delphine la serra en me regardant et à son regard je sentis que Delphine était touché par cette petite transexuelle qui démarrait dans la vie.
A suivre
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