Tania
La surprise vient quand une main se pose sur moi. Je me laisse faire comme une marionnette. Le grande brune m'embrasse sans délai. C'est une première de sentir sa langue violer ma bouche. Je la laisse faire ce qu'elle veut de moi.
Ce qu'elle veut est aussi simple depuis que le monde est monde, depuis que les femmes connaissent le plaisir : elle me veut. Et puis pourquoi lutter, j'ai aussi envie d'elle, comme ça, brusquement.
J'ai en tête les premiers émois avec une fille au lycée, dans les toilettes quand avec un copine nous nous montrions les chattes en écartant les jambes, comme des cinglées. Bien sur nous restions sages.
Mais là, je suis décidée à aller au bout sans perdre de temps: tant pis si je connais pas encore parfaitement la suite.
Nos langues continuent leur ballet ; ça me fait mouiller la culotte.
C'est ainsi que je me trouve avec une autre femme dans un appartement que je ne connais pas. J'ai envie de jouir. Cette fois j'offre ma bouche à la sienne. Tania tient ma nuque pendant que sa langue est en moi. Je me serre contre elle comme si j'avais l'habitude. Pourtant je laisse faire sa nature quand elle passe ses mains sur les fesses.
Comment un femme s'intéresse à mon fessier ? Agréable, presque plus excitant qu'un homme. Elle ne veut quand même pas faire des choses juste sur mon cul. Un femme ne touche jamais les fesses d'une autre, enfin c'est ce que je pense.
Pourtant elle m'excite encore plus, au point que mon pubis cherche le sien, et puis je me sens fondre d'en bas. Si ça continue ma mouille va couler entre mes jambes.
Tania change sa bouche de place, elle m'embrasse le cou, juste là où ça me fait frémir et lever la tête. Le désir monte rapidement : les pubis sont soudés. J'aimerais bien je ne sais quoi, quand je sens sa main qui touche mon sexe par dessus mon jean. Enfin elle se décide à passer ses doigts entre mes jambes. En tendant ma moule contre elle je pose une main aventureuse sur sa poitrine qui me semble-il commence à gonfler, comme la mienne, je suppose.
J'ai envie d'elle c'est certain. La faire jouir de mes mains, mon seul but immédiat. Comment, je n'en sais rien encore sinon la masturber comme je me le fais trop souvent, si elle veut.Quand elle descend la fermeture du pantalon qu'elle le fait descendre je suis décidée à la laisser faire pour me montrer. Tania se baisse devant moi, enlève le jean, je soulève les pieds pour me débarrasser de la défroque. A peine sur pied, je reçois le visage de Tania contre le pubis. Il me semble mouiller encore un jet.
Enfin je reçois les premiers plaisirs de sa langue. Le clitoris doit bien bander quand elle le lèche longuement. Ses deux mains entourent les fesses que j'écarte à peine avant de les ouvrir comme pour l'inviter. C'est drôle de se laisser faire en provoquant le suite. Une main oublie les fesses pour venir chercher le petit paradis. Un doigt suffit pour introduire en moi l'envie d'être sodomisée. Tania maîtrise parfaitement la masturbation annale. Je ne sais plus comment me tenir tellement c'est bon, agréable, jouissif.
Quand le premier orgasme arrive, je me laisse totalement aller au plaisir. Tania profite de mon abandon pour me déshabiller. La fraîcheur relative de l'air me réveille un peu. Pas suffisamment pour oublier la suite.
Sa bouche change d'objectif. Mes seins l'attirent quand elle les embrasse comme j'aime. Son genou est contre ma figue. Je m'y frotte avec envie. Je sens le tissu de son pantalon. Elle me laisse en paix un court instant, le temps pour elle d'être nue, comme moi. Je regarde son corps avec ses seins aussi durs que les miens, sa chatte imberbe. Je voudrais la branler là où nous sommes. Ce n'est pas ce qu'elle veut : elle m'entraîne sur son lit. Je ne peux rien faire quand elle m'aplatit sur le matelas.
Sa bouche me dévore depuis la gorge jusqu'à l'abricot. Elle passe mes jambes sur ses épaules, comme me faisait mon copain en plus brusque. Sa langue lèche les cuisses lentement, comme pour me déguster. J'attends avec impatience qu'elle arrive là où je l'attends.
Tania est contre moi. Elle m'embrasse comme jamais. Sa langue entre dans la bouche après avoir été dans la bouche d'en bas. J'ai mon jus dans ma bouche. Elle se tourne complètement. Son sexe est presque contre ma bouche. Elle me lèche encore. Je n'y tiens plus moi aussi je veux la sucer. Je trouve sa moule proche de moi, je tire un peu la langue pour partager NOTRE plaisir. Un flot de sa cyprine dégouline en moi. J'aime ça.
Notre 69 devient débridé. Je ne suis plus la jeune innocente qui se fait déniaiser. Je provoque le désir, son désir. Mon ventre est en feu quand je la fais jouir. Faire jouir une autre femme, une découverte. Elle gémit comme moi sans doute. Notre étreinte se resserre. Elle pose enfin sa langue sur l'anus. Je l'ouvre un peu comme je peux. Elle sait comment entrer dans ce petit trou. Je force pour rendre tout ce qu'elle fait, mais comment faire la même chose à son cul. Tant pis si ce n'est pas dans les règles , je pose mon doigt. Son cul s'ouvre très facilement. Je ne savais pas qu'une adoratrice du saphisme aime ce genre de familiarités. Je suis bouche ouverte, certainement pleine du rictus de plaisir.
Je sens les orgasmes de Tania : ils doivent être plus forts que les miens, plus nombreux aussi. Elle compense le manque de bite par un gode relativement fin. Elle me le met dans le cul, comme si elle savait que c'était la seule chose qui me manquait. Mon sphincter se détend pour le laisser passer. Sa sodomie est parfaite pour me faire jouir.
Que plaisirs ensemble. Je suis prête à recommencer à lui donner mon corps quand elle voudra.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!