Suite De Mon Évolution Vers La Soumission
[ Le récit précédent cette histoire a été publiée sous le pseudo de Cocody : http://www.histoires-de-sexe.net/entre-hommes/histoires/histoire-lire.php?histoire=15941 ]
J'avais abandonné ma narration après avoir quitté mes deux blacks africains et avoir enfin pris conscience d'une autre facette de ma personnalité.
Puis vient le temps de l'assurance
Mon comportement avait changé et je ne peux dire si mon entourage, à cette époque, l'avait remarqué. Je ne pouvais plus faire un pas dans la rue sans dévisager discrètement les noirs que je croisais. J'avais adopté un comportement, je crois féminin ; j'adorais être remarqué, par les hommes comme par les femmes.
Souvent je fouillais dans la lingerie de ma femme, dans sa garde robe. Je m'exhibais, discrètement, avec les sous-vêtements les plus soyeux et les plus voyants. Etant, à cette époque bien sûr, très sportif, je gardais une ligne à faire pâlir beaucoup de mannequins, et cela me permettait d'essayer quelques jupes ou robes. Plus difficile pour le haut.
Je m'enhardissais, ma première sortie en slip rose fut sensationnelle. Je parcourus la distance entre l'épicerie et la maison dans un état second ; j'avais l'impression que tout le monde savait et souhaitait me déshabiller.
Mais que c'était bon, cette douceur du linge, je bandais haut et fort. Je m'imaginais consti une garde-robe complète rien qu'à moi...
A partir de mi-juin beaucoup de femmes et d's d'expatriés rentraient en France pour y passer leurs vacances ; les maris ne les rejoignaient que bien plus tard. Durant cette période, on voyait trainer beaucoup de cul-blancs dans les quartiers dits chauds.
Après avoir déposé ma famille à l'aéroport, je fonçais au petit bar que m'avait indiqué Bernard, quand me prenait l'envie de le voir. Il n'y était pas mais le patron me dit qu'il le préviendrait que je souhaitais qu'il m'appelle.
Quand il m'appela enfin, je lui demandais s'il pouvait venir me voir chez moi.
Comme à mon habitude, le matin je me levais tôt, je partis courir quelques kilomètres et après une bonne douche, décidait de me préparer. Bernard ne viendrait que cet après-midi, mais je ne tenais plus, j'étais impatient.
J'avais à ma disposition, la quasi-totalité de la garde robe de ma tendre, j'avais le choix, mais aussi le stress de la bonne tenue à me mettre. Seule manquait une perruque, mais je ne pensais pas que ce soit indispensable, quoique de longs cheveus bloncs attirent toujours autant les longs doigts noirs de nos amis...
Je choisis un beau slip en satin de couleur rouge, très doux, quelques dentelles sur les côtés et un espèce de petit nud sur le devant, trop mignon.
A l'origine, je pensais mettre des bas, voire des collants, mais vu la chaleur et pour une première, on verrait plus tard.
Un soutien-gorge, rouge lui aussi mais aux bonnets assez épais, ce qui évitait d'y glisser quelque chose. Si un heureux jour, j'ai un endroit discret où je peux stocker tous ses jolis articles, je m'acheterai de faux seins, c'est évident.
Je trouvais une magnifique petite robe noire assez ample, avec un tout petit décoleté, avec plusieurs volants et qui m'arrivait à mi cuisse. Je ne pouvait fermer la fermeture du dos au niveau du cou, mais c'était malgré tout ravissant.
Et là, pour la première fois, je décidais de me maquiller très légèrement. Le maquillage ne s'enlève pas à la seconde (heureusement) et j'imaginais bien la tête de quelqu'un de mon entourage me surprenant ainsi grimé ; aussi, je m 'étais assuré,bien que le risque zero n'existe pas, que personne de connu ne viendrait -et puis ça rajoutait un peu de sel à mon acte. Un léger fond de teint aprés un rasage méticuleux et presque parfait. Un tube de rouge trouvé dans un petit panier au milieu d'une multitude de couleurs, de formats ; comme c'est bon de passer ce baton sur les lèvres, quel érotisme.
Sorti de la salle de bain, je fais quelques pas ; je suis bien et j'y retourne pour m'admirer dans la glace.
Que vais-je mettre aux pieds ? Dans le domaine, rien ne m'allait évidemment, je ne trouvais pas 'chaussure à mon pied' ; je décidais de rester pieds nus ou tong.
La matinée avançait.
Assis dans le canapé, à un moment où je croise les jambes, quelque chose cloche ; mes jambes ne sont pas épilées et c'est comme incongru ; douceur, satin et poils, crin se marient mal.
Dans la commode de ma femme, je finis par trouver une boite non ouverte de collants ; je m'en enfile un et je retourne m'assoir : même si ce n'est pas encore le sommet de l'érotisme, c'est nettement mieux et je m'amuse à croiser, décroiser les jambes.
Maintenant je pense au féminin, je veux que vous m'appeliez madame.
15 H 30.
A la grille d'entrée, que je surveillais depuis une heure, mon immense Bernard apparaît ; je lui ouvre à distance et me précipite à la porte d'entrée. Un court instant il hésite en me voyant puis un grand sourire :
_c'est pour moi tout ça ?
Je l'embrasse, je me colle à lui ; il sent la sueur mais je suis ravie. Je l'emmène par le bras dans la salle de séjour. Il s'assoie dans le canapé, je m'agenouille à ses pieds :
_comment me trouves tu ?
_tu es beau, j'aime beaucoup.
_je suis ta petite femme maintenant, donc tu dois me dire : 'belle'. Je suis à toi, mon beau Bernard, dis moi ce que tu veux.
_je vais bien baiser la blanche là, ça je n'ai jamais fait.
Je me relève et lui propose s'il le souhaite de prendre une douche. Il refuse, par contre il a envie de boire. Je me précipite à la cuisine, je suis heureuse, je le sers. Il a envie de moi, il a besoin que je l'entoure, que je le serve.
_montre moi ton petit cul de blanche.
Aussitôt debout, je me retourne, soulève ma robe et lui présente l'objet de son désir. Sa main immense, me caresse, me triture, puis me fesse gentiment, puis plus fort.
_Tout à l'heure, si tu es sage, je te baiserai, en attendant, j'aimerais que tu me fasses à manger.
_ ?? ; tu as faim ? Je me rends compte que ma question est idiote et je cours à la cuisine ; je prépare un morceau de pizza au micro-ondes, je vais lui faire des ufs ; il est venu me voir ; il sourit encore et me dit :
_c'est tout ce que tu as ? Tu n'as pas atiéké, poulet yassa ? Bon ça ira, mais la prochaine fois.
Il me saisit par la taille, se colle et je sens son membre se mouler dans mes fesses.
Je n'en peux plus, j'essaie de me retourner pour le sucer ; refus.
_tout à l'heure ma belle.
Tout est cuit. Il m'entraine dans la chambre d'amis. Puis il se couche sur le lit, me demande de lui retirer son pantalon.
S'il ne m'aide pas un peu je n'y arriverai pas ; il se soulève légèrement et je peux enfin retirer slip et pantalon. Sa belle bite noire et majestueuse me défie, veinée, gonflée de sang et de vie.
A genou entre ses cuisses, je le gobe, le caresse, lui prodique toutes les douceurs dont je suis capable. Ma langue s'enroule autour du gland si doux, quelques gouttes s'en échappe que je récupère avec délectation.
Ses mains se font lourdes sur ma tête, mais je ne relacherai pour rien au monde cet obélisque noir.
La douceur du gland beaucoup plus clair que le reste de la hampe, la découpe parfaite, sa taille bien évidemment, tout ça m'ennivre.
Quelques soubresauts imperceptibles si ce n'est ma langue et le gland se gonfle un peu plus et dans un geyser de bonheur je le reçois, toute cette bonne séve se précipite dans ma gorge, dans ma bouche ; boire, ce divin nectar, telle est ma quête. Aucune goutte ne se perdra. Tout est à moi, sa petite femme.
Petit à petit, son sexe se détend, je continue de le savourer, mais cette petite pause nous détend aussi.
Lui maintenant entièrement nu et moi, qui suis restée habillée, un peu ivre de cette passion, nous passons à table.
Je lui ramène ses ufs et sa part de pizza froids, mais il dévore ; je lui sers un bon vin et, avec sa permission, je m'en sers un verre.
_tu n'as qu'une bouteille de ce vin ?
_oh non, mais les autres se trouvent dans l'appenti au fond du jardin, mais si tu veux, j'ai de la bière, de l'alcool.
_il est trop bon le vin là, va me chercher une autre.
Je sens à son ton, qu'il a changé de comportement, l'alcool sans doute.
_mais, mon chéri, je ne peux pas sortir comme ça, les voisins vont me voir !
_les voisins là, on s'en fout, ma petite femme elle fait ce qu'elle veut chez elle et si son homme là il lui dit de faire, elle fait sinon : plus l'amour, bite là pour une autre.
Je sens instinctivement qu'il vaut mieux m'exécuter, j'ai choisi Bernard comme mon maitre, je dois l'accepter et d'ailleurs j'y prends du plaisir.
Très rapidement, je franchis les 30 métres à découvert ; je prends 2 bouteilles et au retour je prends mon temps. Après tout pourquoi me cacherai-je ? J'aime mon côté féminin ; je suis un homme/femme, un hofemme, un nouveau modèle qui vient de sortir, qui se découvre.
Je commence à comprendre un peu des deux sexes, c'est super. Je vois une jolie femme, je la désire.
Et si je vois cette même femme dans les bras d'un bel homme je voudrais être à sa place.
Bon, je cogite, je traine en chemin, mais j'ai mon homme qui m'attend et qui doit s'impatienter.
Il a quitté la table et s'est allongé sur le divan, désirable comme toujours. Il fait la sieste, je ne le pertuberai pas bien que j'en ai envie.
J'en profite, sans bruit, pour débarrasser la table, passer un petit coup de balai, ranger la cuisine ; c'est bon et si je m'écoutais je laverais ses habits, les repasserais, je suis folle.
Les ronflements qu'il dégage sont terribles, mais ils me rassurent.
A peu près une heure plus tard, c'est le réveil, lourd. J'ai préparé du café et Bernard l'accepte avec joie.
_tu as une belle maison et on est bien ; tu veux que je reste avec toi ?
_tu sais que je suis marié, mon chéri et que..
_oui, bien sur mais c'est meilleur avec moi, non ?
_c'est très bien avec toi, mais ma femme est ma femme et je dois être présent à ses côtés, et je l'aime aussi.
_c'est bon de baiser avec une femme blanche ? Moi j'ai jamais fait, mais je voudrais essayer, comme beaucoup de mes potes. Je pourrais faire ça avec ta femme, non ?
_je ne suis pas sûr qu'elle soit d'accord.
_si je te dis que si tu veux encore être avec moi, tu dois me laisser ta femme, tu acceptes ?
_écoute, je te promet que je vais lui en parler et que je ferai le maximum ; comprends que ce n'est pas courant de proposer à sa femme de prendre pour amant son propre amant.
_tu me jures ?
_oui, je te le jure, je lui proposerai.
Après tout, si je prends le temps, et que tout se passe en douceur, je trouve que ce serait pas mal ; j'en suis toute émoustillée.
Bernard se lève du canapé, s'approche de moi et me retourne, il me soulève la robe, me penche en avant et s'agenouille ; il me lêche les fesses et le cul ; c'est quelque chose d'inconnu pour moi, mais ce n'est pas désagréable ; au bout d'un moment, il se relève et je sens qu'il approche son marteau- piqueur de mon petit trou.
_allez ma belle, je vais bien te baiser et te montrer ce que je vais faire à ta femme ...
Son doux gland s'enfonce dans mes chairs sous la pression lente et constante qu'il exerce.
Offerte, écartelée, qu'il de moi, je le veux ; seuls sa force, sa puissance et sa belle bite comptent. J'ondule et me contorsionne pour être mieux possédée.
Puis ensemble, nous nous arrêtons de bouger, lui au plus profond de mon fondement, moi tendue au maximum vers son ventre ; longtemps ainsi, prise, heureuse.
Mon maitre.
Bien plus tard, nous finirons cette magnifique journée, toujours soudés, toute petite dans ses bras, à la « missionnaire », embrassée, labourée et remplie de son bon sperme.
Bernard repartit très tard.
Je me précipitais à la salle de bain, pour... me démaquiller.
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