Massage Nuru

Je me baladais en centre ville à l’étranger, dans le coin des magasins érotiques, sexshop et videoshop sans idées en tête. Personne dans la rue et des boutiques sans grand intérêt ni attrait visuel, sauf une. Un salon de massage, rien d’outrancier, d’où s’échappait des volutes d’encens qui embrument aussitôt votre cerveau. Sans réfléchir je me dirige à l’intérieur, quelques personnes discutaient avec une femme d’une quarantaine d’année vêtue d’une robe noire plutôt chic. Je patiente en attendant mon tour et tourne les yeux vers ce lieu très sobre et sans prétention qui reste pourtant attirant, l’encens continuant peut être à faire son effet.

Après une simple discussion la gérante me dirige vers une porte entrouverte et m’invite à y entrer. Je trouve cela bizarre comme façon de faire, mais ne m’en préoccupe finalement pas plus que ça. En rentrant je découvre une lumière tamisée, limite sombre, une vasque en verre avec un grand miroir sur le mur de droite en prolongement de la porte, et au centre de la pièce un grand lit double sur lequel était couchée ma jeune partenaire. Presque nue, ne portant qu’un simple tanga, elle était allongée de profil en attendant ou rêvassant. Difficile à dire. Blonde aux cheveux courts un peu entremêlés, des petits seins ronds d’une taille raisonnable et une taille de guêpe. Elle avait une ressemblance troublante avec Amy Smart.

J’entre et referme la porte, elle ne dit rien et ne bouge pas. Elle a un quelque chose d’envoutant : elle semble rêvasser, être ailleurs, et de n’avoir aucune envie de faire son boulot. Cela pourrait être rebutant, mais au contraire cela lui donnait un charme fou et elle me troublait totalement. Je retire mes chaussures et m’allonge à côté d’elle sur le lit, son corps à contre jour est tout simplement magnifique. Elle me dit enfin bonjour d’une voix douce et entame la discussion autour du massage. Elle semble toujours aussi négligée, mais prête tout de même attention à moi et à mes envies.

Je m’excuse auprès d’elle car je m’apprête à aller au wc, afin de profiter au maximum du moment à venir. Je passe la petite porte à côté de la vasque, en la refermant je m’aperçois que le miroir est en fait sans teint ! Je regarde ma masseuse se lever, au travers de la glace elle se dirige vers la vasque et se penche en avant pour se laver les mains. Son regard, sa petite taille de puce et ses seins ronds qui pendent légèrement du fait de sa position me laissent sans voix. Comble de tout, elle se passe à présent de l’eau sur les seins. Je deviens extrêmement à l’étroit dans mon jean, mais n’y prête presque pas attention tant cette vue me fascine. Elle de son côté ne joue aucun jeu, elle fait ça pour elle juste pour se rafraichir, elle ne dirige aucun regard vers la glace et n’accentue pas ses gestes. Alors qu’elle ne peut pourtant pas ignorer ma présence et la transparence de la glace, 30 cm devant elle.

Au moment ou elle se dirige vers le lit je ressors de ma pièce, en me disant que c’est certainement la meilleure expérience de voyeur que je n’ai jamais eu. Je la ratt avant qu’elle n’atteigne le lit et me place derrière elle. Je l’embrasse dans le cou et passe mes mains sur sa taille. Elle ferme les yeux et se cambre légèrement pour poser sa tête sur mon épaule, ayant pour effet de mettre en avant ses seins et de positionner ses petites fesses sur mon membre érigé. Je saisis ses petits seins de mes deux mains tout en appuyant la pression sur ses fesses, je la sens onduler et frissonner sous les caresses que je procure à ses tétons du bout des doigts. Je ne suis plus maître de mes mains, ni de mon corps, son physique et son aura m’hypnotisent complètement. Elle se retourne et me pousse vers le lit, où je m’allonge. Elle se positionne à genoux à côté de moi, à contre jour, et déverse sur mon torse de l’huile chaude en descendant de mon cou jusqu’au bas ventre. Arrivée sur mon sexe, elle zigzague par-dessus et insiste sur le gland et prend de la hauteur pour que la pression du liquide soit plus forte. C’est divin, mais elle finit par m’exciter en trempant directement mon sexe dans le reste du peau d’huile tiède. Je n’en pouvais plus.

Sans dire mot, elle passe par-dessus moi en prenant soin de ne pas me touche d’aucune part. Elle passe ses mains fines sur mon torse pour étaler l’huile, je devine que ses petites fesses doivent être à quelques centimètre de mon chibre ce qui devient de plus en plus intenable. Elle retire ses mains, et se les passes sur elle en se massant les seins, huilant son corps à son tour. Elle tourne autour, les soulèves, pince ses tétons, les serre… Puis descend ses mains sur son tanga. Elle se caresse en petits cercles par-dessus le tissu qui s’opacifie au fur et à mesure de l’impression de l’huile. Après ce doux traitement elle finit par descendre son bassin sur moi et frotte son tanga sur mon sexe en lents vas et viens. A présent détrempé je devine aisément ses petites lèvres au travers du tanga et je vois mon membre aller et venir entre cette intimité que je ne connais pas.

D’une main elle me saisit et place mon sexe à l’arrière de sa croupe, fais quelques vas et vient puis le saisit à nouveau pour le passer sous le tanga, entre ses fesses. Elle recommence ses vas et vient experts, mon sexe écrasé entre ses fesses et sous la pression du tissu. Tout en continuant elle s’approche de moi et frotte ses seins sur mon torse, nos corps glissent à présent complètement l’un sur l’autre. En descendant ses seins sur mon torse, cela a pour effet d’accen sa cambrure. La vue de cette fille qui se frotte à moi, huilée, le cul tendu et collé à mon chibre est juste divin. Elle semble à présent se laisser emporter, comme sous l’effet de quelques bouffées d’un joint. Elle remonte sur moi, me lèche l’oreille et me susurre doucement : « T’es vraiment bon et joli à regarder comme client, j’aimerais en avoir des comme toi tous les jours ».

Sa voie est comme le reste, douce et suave mais également un peu détachée. Cette fille me rend dingue, nous continuons notre affaire, je la redresse et me relève également. Assis et entremêlés l’un sur l’autre, je place une main dans le bas de son dos et appuie de l’autre sur son épaule pour la faire se cambrer au maximum. Son cul est tendu sur mon sexe et ses seins ressortent. Je ne résiste pas et les places en bouche immédiatement. Je tourne ma langue autour de ses tétons, les gobes et les aspires. Je passe d’un seins à l’autre sans réfléchir, je lui mordille les tétons et je sens du liquide chaud envahir mon chibre. Ce n’est plus de l’huile mais bien de la mouille en bonne quantité qui se répands sur moi. C’est à mon tour de la rendre folle.

Elle me pousse d’un seul coup en arrière se lève et pivote. Elle me présente sa croupe et d’une main insère à nouveau mon chibre dans le tanga complètement détendu, puis d’un mouvement de bassin elle ne me caresse pas mais s’empale de toute ma longueur. Elle reste droite, libérée, cette sensation est ahurissante après tant de préliminaires et d’excitation. Plutôt souple elle se penche en avant et se couche sur le lit, tout en ayant ses fesses érigées. Elle commence un vas et vient saccadé, rapide et sur toute la longueur de mon membre. On dirait une gorge profonde améliorée, je sens ses lèvres se refermer en sortant et s’ouvrir autour de mon membre en retombant dessus. Elle gémit et prends son pieds, je m’abandonne complètement. Au bout de quelques minutes elle se relève, me fait m’asseoir au bout du lit et s’agenouille par terre. Elle me regarde avec des yeux de braise, le visage et les cheveux mouillés de transpiration. Cette fille est rock et j’aime ça. Elle saisit mon membre du plat des deux mains et remonte le long, s’avance et le place entre ses seins. Elle entame une branlette espagnole tout en me regardant et en se mordillant la lèvre. Quelques mouvements plus tard, je sens que je suis au bord de la rupture et elle le devine, elle me caresse alors le freins du bout des doigts et sors sa langue pour me lècher le bout du gland. En totale experte elle devine ce qu’il me faut et enclanche deux simples vas et viens qui auront raisons de moi. J’éjacule dans sa bouche et je la vois continuer à me regarder avec ce regard de braise. Je devine qu’elle s’est laissée emportée par moi et qu’elle n’a pas l’habitude de dériver autant du massage. Elle crache le sperme sur ses seins et se caresse avec. Je ne débande pas mais malheureusement nous devons nous arrêter là. Le timing étant par ailleurs largement dépassé.

Nous prenons une douche et je repars, nous nous remercions tous les deux pour ce moment agréable. Je rentre chez moi, groggy, planant à 15 000 par le bienfait et l’attitude de cette fille. J’y retournerais c’est sur…