Agnès Et Ses Plaisirs Solitaires
Il me revient un épisode de ma vie lorsque jétais jeune et que je commençais à exercer mon métier dinfirmière. Cétait à l'époque où je venais de m'installer dans un petit village près de Montpellier où je n'y connaissais quasiment personne...
Il me faut vous dire que je supporte assez mal labstinence, mais je ne voulais pas engager trop tôt, de relations avec des hommes de la région, de crainte que cela se sache et ne nuise au développement de ma clientèle encore bien mince dans mon service de porte à porte.
Certes, il marrivait de méchapper certains soirs jusqu'à Montpellier et dy faire quelques rencontres pour satisfaire ma libido, mais vu ma profession, ces évasions ne pouvaient être très fréquentes... Une ou deux fois par mois tout au plus, et cela était évidemment un rythme de jouissance tout à fait insuffisant pour moi... C'est pour cette raison que mes pratiques solitaires reprirent à cette époque à un rythme beaucoup plus important.
Mes séances de masturbations n'avaient alors rien de spontanées ; elles étaient au contraire, souvent prévues et préparées à l'avance... C'est ainsi que parfois, je passais toute une soirée, seule sur mon lit, entourée des quelques godes que je possédais, mais aussi très souvent, d'instruments (et de légumes !...) divers avec lesquels j'aimais à me pénétrer... J'avais un lit très bas et je pouvais me voir toute entière dans le grand miroir mural...
Ma maison était un peu isolée, à l'écart du village, et de plus elle était située sur un grand terrain, assez éloignée de la route. De ce fait, j'étais tout à fait tranquille et l'été je n'hésitais pas à laisser ma fenêtre ouverte à cause de la chaleur.
Comment aurais-je pu deviner que ce soir-là, trois ivrognes qui habitaient des maisons un peu plus loin dans le village, sans doute intrigués par la lumière qui irradiait de ma chambre, aient eu l'idée d'y venir voir ?...
Ils ne furent pas déçus, me surprenant en pleine lumière, nue, me masturbant allongée sur mon lit, cuisses ouvertes, face au miroir.
Quel choc!...
Etre surprise lors d'une pareille masturbation... Et par des voisins, des gens qui me connaissaient... J'eus d'abord une frousse terrible... Je m'attendais à un viol, à ce qu'ils me sautent dessus et me prennent de force, mais ils se contentaient surtout de rire. Ils avaient entouré le lit et me regardaient, intégralement nue... J'étais à l'époque très mince et je n'avais que 26 ou 27 ans alors qu'eux avaient entre 45 et 55 ans.
La première frayeur passée, tout se bousculait encore dans ma tête; qu'allait-il se passer ? Quelles étaient leurs intentions ? Que pouvais-je attendre de trois hommes au trois quarts ivres ?... Aussi lorsque l'un d'eux s'adressa enfin à moi et me dit :
- " Eh bien la pitchoune, tu sais que tu es bien mignonne, toi !... Un joli brin de fille! Pas vrai les gars ?...", je commençai à me rassurer peu à peu.
L'autre adopta le même ton et dit :
- " Oui, un joli petit lot... T'es pas bien grosse mais t'es bien roulée, j'aime bien tes petits nichons... ". De plus en plus gênée je voulus tirer le drap pour me couvrir mais le premier m'arrêta gentiment :
- " Non... Laisse-nous regarder encore un peu... Ca nous rajeunit les yeux de te voir comme ça... Tu ne sais pas ce qui nous ferait plaisir ? Eh bien, ce serait que tu continues, que tu fasses comme si on nétait pas là, comme tu faisais avant que l'on arrive... ".
Mon cur battait à tout rompre, je n'avais qu'une seule envie : qu'ils partent !... Mais je savais aussi que si je me montrais désagréable, ils risquaient fort de se fâcher, ou tout au moins de raconter ce qu'ils avaient surpris.
Oh non !... C'était trop bête, moi qui n'étais là que depuis quelques semaines et qui commençait à adorer cette région... Je réussis à me raisonner
Bien sûr ils étaient vieux et moches, passablement saouls, mais ils étaient gentils... J'avais au moins cette chance... Alors, quoiqu'il m'en coûte, j'avais intérêt à acheter leur silence, à me montrer gentille de façon à ce qu'ils n'aient pas envie de me nuire. Je leur souris donc et en rougissant presque, je leur dis :
-" Bon et bien... d'accord, mais vous restez sages, n'est-ce pas ? "
C'est ainsi que, morte de honte, mais très troublée, je repris ma masturbation sous leurs yeux... Evidemment, avec les godes et les différents flacons, légumes épars sur mon lit, il n'était pas question de ne pas les utiliser devant eux...
Curieusement, alors que j'éprouvais une honte immense qui aurait dû me "bloquer", tout sembla s'inverser, et au contraire, le plaisir monta en moi plus vite et plus fort que lorsque j'étais seule... Cela m'affolait mais je me sentais emportée par le plaisir malgré moi... Ils me regardèrent jouir de façon bruyante et même impressionnante, haletante, le corps secoué de spasmes et même parfois me ramonant énergiquement avec un des godes, tant j'en avais besoin.
Je comprends que dans ces circonstances, ils n'aient pu résister au désir de sortir leurs sexes... A nouveau ils entouraient le lit et je pouvais les voir se branler au-dessus de moi... Cela n'était évidemment pas pour me calmer. A un moment, je n'y résistais pas et empoignais les bites des deux qui se trouvaient de chaque côté du lit. Galamment le troisième prit le relais pour manuvrer dans mon con, le gode que j'y avais laissé... Ils avaient des sexes de taille normale mais noueux et de sentir sous mes mains les veines gonflées m'excitait encore davantage. Mes idées se bousculaient; je me disais qu'ils étaient vieux et laids, mais personne ne saurait... De toute façon j'étais trop excitée pour résister. Je regardai dans les yeux celui qui était à ma droite et je lui dis :
-" Prends moi, j'en ai envie.
Dans l'état d'excitation où je me trouvais, je jouis violemment sans savoir si cela était lié à la situation ou au savoir-faire de ces hommes mûrs. Celui que je suçais me lâcha tout entre les seins, ses couilles velues au niveau de ma bouche. Je jouis une nouvelle fois
Le troisième, monté plus long et plus endurant encore que le premier, me baisa plus longuement et plus à fond ; il me fit même prendre plusieurs violents orgasmes... pour finir, il dégagea sa longue verge et maspergea le pubis avec des râles profonds de vieux mâle en rut
Ils me demandèrent à boire. Je leur servais, à chacun 2 ou 3 rasades dune bouteille de vieille eau de vie qui me restait, quils burent cul-sec
Puis ils sortirent bruyamment de ma cuisine tout en regardant ma nudité dun il concupiscent
Je navais quune frousse : ivres comme ils étaient, cest quils aillent répéter partout leur bonne fortune et colporter ce quils mavaient fait faire !... Mais tout alcoolos qu'ils aient été, ils surent relativement bien se taire et je n'eus pas d'écho de cette aventure par la suite... Ou plutôt les faibles échos que jen eu, furent des illades entendus et des grimaces invitantes lorsque je les rencontrais au hasard de mes déplacements
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