La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°211)
Suite de l'épisode précédent - La nuit de noce (première partie) -
La nuit était déjà fort avancée quand les invités quittèrent le château après sêtre mainte fois soulagés dans dincroyables orgies offertes par le Maître des lieux. La chaleur de cette nuit dété laissait place à la lourdeur de lair, à lévidence lorage approchait. Des éclairs de chaleur éclairaient de toute part le ciel dun noir dencre et étoilé de mille points brillants. Ces éclairs commençaient à déchirer latmosphère lourde et Monsieur le Marquis ordonna aux esclaves de rentrer à lintérieur tout ce que la pluie pourrait abîmer, telles les tables encombrées et leurs argenteries, etc
Alors tous les esclaves saffairaient sous les ordres de Walter qui pris en charge ce rangement qui devenait urgent à cause des premières gouttes de pluie. Le Marquis se tourna vers sa femme et soumise toujours à demi couchée dans la pelouse près de son Maître. Il la regarda longuement en silence, on aurait cru quIl admirait son corps, ses courbures, les sinuosités de ses formes si sensuelles. Quand au bout dun long moment alors que la pluie commençait à mouiller son costume, Il lui dit sur un ton laconique mais tendrement:
- Cest lheure
Il avait à peine dit le dernier mot que le hasard voulu quun éclair plus proche que les autres suivit dun rapide et gros coup de tonnerre gronda sur le château comme si la providence leur imposait de rentrer dans la demeure, dans la chambre nuptiale
Alors la Marquise Aurore dEvans compris de suite, ce que cela voulait dire, la nuit de noce, quelle attendait au plus profond de son âme depuis quelle avait appris son propre mariage, allait enfin commencer. Les éclairs illuminaient son visage dange, et malgré la pluie qui lui dégoulinait sur le visage, elle paraissait radieuse à la pensée du moment à venir. Son Mari et Maître lui tendu alors la main pour linviter à se relever. Une fois debout, la Marquise neu pas le temps de réagir quelle se sentit soulever du sol pour se retrouver couchée dans les bras du Marquis.
Puis le Noble qui ne quittait pas du regard Sa belle, se mit à marcher en direction du château, il fit fi de la pluie qui ne le gênait nullement. Il traversa la cour tranquillement, monta le perron avec Sa belle dans les bras, poussa la lourde double porte dentrée et se retrouva dans le hall immense. Trempé par la pluie, il déposa à même le carrelage sa femme soumise. Il claqua des mains fortement et lécho qui en suivit raisonnait fort dans cette partie du château. Il neu pas à attendre longtemps que deux belles et jeunes esclaves entièrement nues arrivèrent en courbant léchine.
- Quon mapporte de quoi nous sécher
Les esclaves firent rapidement demi-tour. En attendant leur retour, La Marquise Aurore dEvans, trempée également jusquau os, sagenouilla face à son Maître et se prosterna pour lui dire :
- Maître, suis-je autorisée à vous dire ce que je ressens ?
- Oui Ma belle, dis-moi
lui répondit le Marquis tout en lui souriant et lui caressant les cheveux à la coiffure inexistante, conséquence de la pluie
- Je sais que je vais vivre ma plus belle nuit de ma vie, je le sens, je le devine
Je mesure limmense privilège qui mest accordé. Etre Votre femme est plus quun Honneur, cest un Bonheur inouï, mais davoir été choisi par Vous et parmi Vos nombreuses soumises, je ne réalise toujours pas ce qui marrive.
- Oui ma belle lui répondit le Marquis dEvans, pour me combler, il te suffit dune seule chose, une unique chose qui te permettra dêtre à la hauteur et je sais que cette chose tu las possède sans aucun doute
Cest ton Amour
Oui il te suffit de Maimer simplement de maimer et tout ce passera bien
Car cette nuit dAmour, ce ne sera pas quune simple soumise chienne que jaurai dans ma couche, mais jaurai aussi et avant tout Ma femme, Ma Marquise
Puis sur ces mots rassurants pour la belle Aurore qui parue soulagée en souriant tendrement de ses belles dents blanches, les deux esclaves revinrent avec les bras encombrés de serviettes éponges et autres lingeries. Le Noble frappa alors de nouveau dans les mains et les deux esclaves comprirent ce quelles devaient faire. Elles déshabillèrent totalement leur Maître là au beau milieu de ce hall où le silence régnait et où seul le tonnerre qui redoublait dintensité apportait une ambiance quasi suréaliste. Puis elles séchèrent le Maître à laide des grandes serviettes éponges. Elles passaient le linge de partout en faisant attention de noublier aucune partie du Noble corps. Quand une delle voulut sécher le sexe du Marquis, celui-ci empoigna le bras de lesclave pour lui dire :
- Non
pas toi
Alors Il pris la serviette éponge des mains de la belle esclave pour la donner à Aurore. Celle-ci compris quelle devait sécher la bite de son Maître. Aurore sappliqua du mieux quelle pouvait, passant la serviette entre et sous les cuisses du Noble, sur côtés puis sur les testicules, sur la verge, sur le dessus poilu en allant vers le nombril et redescendait doucement. Ce séchage érotique fit réagir le Marquis qui commença à bander.
(à suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!