Le Commencement 2

03/07
Cela fait maintenant six mois que M m’a livrée une fois à un inconnu, depuis plus rien, nos relations sont normales, il a peut-être été déçu de l’expérience.
Nous sommes des couples de voisins qui s’entre-aident pour aménager nos maisons respectives et nous nous entendons tous très bien. Une petite soirée entre amis, au clair de lune termine la semaine.
J’ai mis pour cette soirée une petite robe de toile bleue à bretelles, boutonnée sur le devant, un soutien-gorge balconnet qui laisse le dessus de mes seins libres et une mini culotte de dentelle noire. Mon petit minou est rasé de frais comme l’exige maintenant M.
Nous sommes début juillet ; quelques mois après mes premiers pas hésitants dans la découverte du sexe avec M mon époux adoré.
Les vacances vont bientôt commencer, la table est dressée dehors, l’éclairage parcimonieux est donné par des torches soi-disant anti-moustiques, en fait on ne voit pas grand-chose là où nous sommes à l’extrémité d’une longue table.
Les apéritifs et les amuse-gueules défilent allégrement, l’ambiance monte insensiblement. Je suis assise en face de M, et J est à ma droite, D à ma gauche en bout de table, les autres convives complètent la table, mais n’ont pas d’intérêt dans l’aventure. Le repas se déroule joyeusement, la bonne humeur est de mise. Le vin qui coule à flots délie langues et gestes. Un peu grise, je suis en pleine discussion principalement avec A notre hôtesse quand une main se pose doucement sur ma cuisse droite, j’ai un petit sursaut, mais je ne bouge pas, je ne veux pas déclencher une dispute, et en plus la situation m’émoustille mais m’inquiète en même temps. Je ne sais pas comment M réagirait s’il s’apercevait de la situation et je ne veux pas le perdre pour une histoire de cul.
Tendue, je continue donc la discussion à laquelle tout le monde participe maintenant et la main s’agite, les doigts font remonter ma robe qui passe par-dessus mon genou ; bientôt j’ai la chaleur de la main de J sur ma cuisse, qu’elle masse lentement en s’ approchant de l’intérieur.

Une douce sensation commence à me monter du ventre.
J’ouvre ma cuisse vers J et comme la discussion s’anime, il se penche sur la table, véhément dans la discussion puis il se rassoit et en profite pour remonter jusqu’à ma petite culotte. Ses doigts qui s’agitent en vain pour écarter le fin tissus et investir ma chatte, se mettent alors à la masser et ce qu’il ressent le laisse perplexe ; il s’énerve et moi je mouille, bougeant beaucoup sur ma chaise pour favoriser les caresses. En désespoir de cause, les doigts de J tirent sur le haut de ma culotte, je me soulève discrètement un peu, jambes resserrée et elle glisse sur mes cuisses, puis passe mes genoux et tombe sur mes chevilles. Me voilà libre, je sens la brise du soir sur mon ventre et je cale ma cuisse droite contre celle de J, sa main revient vers mon ventre et lorsque ses doigts trouvent ma chatte rasée, le regard qu’il me jette est plein d’étonnement ravi et il entreprend d’écarter mes lèvres puis remonte ma fente jusqu’à mon clitoris, déjà tout dur. Je suis trempée et je commence à jouir, je donne des petits coups de reins et je serre ces doigts qui me donnent un plaisir interdit, et j’en veux maintenant encore plus. Les yeux brillants, je souris à M qui déguste un digestif ignorant ce qui m’arrive.
J est sur les nerfs, la bosse qui déforme son short doit y être pour quelque chose.
La soirée continue, après desserts et digestifs, comme d’habitude on va danser.
J’ai récupéré ma culotte et J la glisse dans sa poche.
Nous rangeons un peu le matériel, et J profite de la moindre occasion pour me toucher. Quand nous passons derrière les autres pour rentrer par le garage, quelque peu titubants, il me retient, me retourne et baisse mes bretelles pour me sucer et mordiller les tétons ; bref mais jouissif, je coule de plus belle et je sens ma mouille qui commence à me descendre sur les cuisses.
Pendant une bonne heure, dans le salon et le couloir, nous entamons une véritable cavalcade de danses rythmées, qui associées à l’alcool ont vite raison de la plupart des convives qui s’assoupissent, qui dans le canapé, qui dans les fauteuils, il est deux heures et Paris s’endort….

Les danses rythmées ont laissé la place aux danses propices aux contacts humains, lumières très tamisées. Je danse quelques slows collée contre M, qui a fait sortir mes seins qui durcissent sous ses caresses (ce dont je raffole car ça me fait presque jouir), sa langue enroulée autour de la mienne.
Quand la série de slows suivante débute, M entreprend une canette de bière et J en profite, il se précipite sur moi et m’entraîne subrepticement accompagné des trémolos de Julio Ecclésias, dans le coin le plus sombre, dans le couloir, loin de nos époux respectifs, la sienne somnole dans un fauteuil. Il me lèche les oreilles et m’embrasse dans le cou en soufflant comme un mâle en rut. J’ai mes deux bras posés sur ses épaules, mes mains sur sa nuque. Le bras droit de J est passé dans mon dos et me tient serrée contre lui tandis que son autre main descend entre nous deux pour défaire les boutons de ma robe ; sa main est maintenant entre mes cuisses et ses doigts me tiennent écartée et caressent mon clitoris.
Je commence à jouir, doucement, ma respiration s’accélère et mes ongles se plantent dans sa nuque à mon premier orgasme ; je colle ma tête dans son cou et je lui murmure en hoquetant de plaisir « Ohhhhhh, comme c’est bon, j’aime être branlée, continue encore », inconsciemment j’écarte les cuisses en fléchissant un peu pour être encore plus ouverte, dansant d’un pied sur l’autre, ma première séance de soumise revenant sans cesse à mon esprit.
Je jouis de plus en plus et J est obligé de retirer sa main de ma chatte pour la mettre sur ma bouche, mes petits cris dépassant parfois la musique, mais personne n’a rien remarqué ; il en profite pour me faire sucer ses doigts, poisseux de mon jus, ce qui fait encore monter mon excitation.
Quand sa main revient sur ma chatte, je suis collée au mur, cuisses ouvertes, et j’avance mon bassin impatiente ; quand son pouce s’enfonce dans mon vagin et que son indexe vient titiller mon anus, je suis suspendue à son cou, et malgré les risques, ma bouche se colle sur la sienne et nos langues entreprennent une sarabande endiablée, puis c’est l’orgasme total, J m’a presque décollée du sol et son pouce laboure ma chatte ruisselante.
Accrochée à son cou, je répète sans arrêt « c’est bon, c’est bon, encore, encore, tu me fais si bien jouir, Ohhhhh, Ouiiiiiii » donnant de violents coups de reins pour m’empaler encore plus profond, encouragée par « petite salope, petite salope,…. » qu’il répète sans arrêt à mon oreille.
Comme le disque va bientôt se terminer, ma main se glisse dans le short de J et j’y trouve une belle queue, mais qui n’a visiblement pas résisté à l’excitation, elle est poisseuse de sperme ; je la branle quand même et elle reprend de l’assurance. Quelques minutes plus tard, une violente contraction remplit ma paume d’un liquide chaud et visqueux ; je retire ma main et comme la lumière revient, je suis en train de me lécher les doigts.
Presque quatre heures, il se fait tard, et après cette soirée animée, nous ramassons tous les cadavres de bouteilles, réveillons les endormis et après un dernier café regagnons nos maisons respectives.
M est monté prendre sa douche et je suis en train de sortir la poubelle en titubant un peu quand une main se plaque sur ma bouche pour m’empêcher de crier, je reconnais l’odeur de ma chatte, c’est donc J, qui passe derrière moi, d’une bourrasque il me fait rapidement pencher en avant, mains appuyées sur le couvercle de la poubelle, sous le lampadaire, et relève ma robe. Avec ses pieds il m’oblige à écarter les miens. Je suis le cul à l’air et la chatte ruisselante, dans la rue, le lampadaire éclaire la scène d’une lumière crue éblouissante. J’imagine mes fesses blanches sous l’éclairage, bien cambrées et mon cœur bat la chamade, autant de peur d’être surprise que d’excitation de la situation. J me caresse les fesses, les écarte et je sens une grosse boule chaude se frayer un chemin dans mon ventre et buter au fond de mon vagin ; puis il entreprend un va et vient rapide et de plus en plus fort qui me fait hurler un « ouiiiiiiiiiiiiii » dans la nuit quand un liquide brûlant me remplit. J se retire, m’embrasse et repart en courant, « merci c’était parfait, tu fais une belle salope, au fait, je t’ai rapporté ton sac et ta culotte ».

Je me relève, regarde si mes cris n’ont pas ameuté le quartier, mais rien ; notre chambre est allumée, je ferme le portail, récupère mon sac et je rentre prendre aussi ma douche.
Demain ou plutôt aujourd’hui c’est Dimanche, et le dimanche on reste au lit et on fait l’amour jusqu’à midi…. normalement.

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