Mon Amant (1)
Je suis une belle femme. Je le sais. Je suis bien foutu, et je me suis bien sorti de deux grossesses. Je suis désirable, mon drame, c'est que j'ai l'impression de ne plus être désiré.
Je suis une mère de famille, Julie, 38 ans, et toutes ses dents. Des seins bien en place, par chance, un ventre presque plat, et des cuisses fermes. C'est un boulot de tous les jours d'entretenir ça. J'ai le temps, mon mari bosse pour deux, pour trois même. Voila, je suis une ménagère de moins de 50 ans, légèrement embourgeoisée, qui vit dans un lotissement de grande banlieue parisienne, au grand air.
Mon mari, que j'aime plus que tout est souvent absent, c'est le seul point noir de ma vie. Et je m'ennuie. J'ai longtemps travaillé, mais suite à me seconde grossesse, et un arrêt de longue durée, je n'ai pas réussi à retrouver un emploi, ni même à garder le précédent. Ainsi donc allait ma vie, au rythme routinier des sorties d'école et des émissions tv.
Tout allait bientôt changer. Ma meilleure amie et confidente Karine me confiait un jour qu'elle trompait son mari. Avouer lui avait fait du bien. Elle se lâchait alors sur les orgasmes qui lui avaient tellement manqué, et les sextoys qui ne lui suffisaient plus. Et moi? je l'écoutais, envieuse, et honteuse à la fois. Je lui en voulais de partager le poids de son secret avec moi, et en même temps, tout ça m'excitait.
Et pourquoi pas moi? Moi qui était si frustré et qui n'en parlait à personne? Internet et les réseaux sociaux, ce fut la révélation. On y retrouve souvent ses vieux amis d'école, et parfois c'est ex. Alex était un ex. Un de ceux avec qui j'avais repoussé ma première fois, pas prête, et lui trop impatient. Il embrassait bien, il était beau. Il passait du temps sur un célèbre réseau social avec un chat. Moi aussi. Pour autant ne nous adressions pas al parole. De quoi aurions nous parlé?
Un matin, de dépît, Karine partie en vacances, et mon mari, parti pour un séminaire, je me risquais, pouru ne fois, à utiliser une photo de moi comme avatar.
Puis il me lança:
"tu sais avec une photo comme ça, on croirait que tu dragues"
"ha bon, tu crois? ha les mecs, vuos êtes tous pareil"
"Bien sur que oui Ma Juju..."
Je jouais un moment à l'innocente éffarouchée.
"Mais t'es marié toi! c'est indécent"
"bah oui toi aussi, et alors? On a bien le droit de discuter..."
Alex devenait plus entreprenant, il savait qu'il tapait juste. J'aurais du répondre fermement, trouver une échappatoire, mais je n'en avais aucun envie."
D'autres messages, plus ou moins entreprenant, me parvenaient par la messagerie. La blague avait assez duré, et j'ai effacé la photo.
"Bon ma belle, on se boit un verre, ça te dit?"
J'étais pétrifié, horrifié. Je n'ai pas répondu. Une journée à attendre quelque chose, en regardant le message, laissé sans réponse. 18h près de 7h à attendre, je me lance "ok". Et presque instantanément, "maintenant?" Trop tard pour reculer, je lui demandais de choisir un endroit ,et de me laisser une heure pour me préparer. Je ne sais pas ce qu'il me prenait, mais je faisais tout pour emmêler les pistes, et je m'habillais en jean baskets, non, sans avoir pratiqué une préparation minutieuse: épilation, maillot, maquillage aguicheur.
Je retrouvais Alex dans un bar de la petite couronne. J'étais inquiète à l'idée d'être vue. Alex me mit en garde, il n'avais pas énormément de temps, mais ça lui faisait plaisir de me revoir. J'étais rouge pivoine, incapable de vraiment tenir la discussion. Inutile de préciser qu'il a prit de suite le dessus sur moi.
La vérité, c'est qu'il n'étais pas très heureux non plus en ménage, il cherchait à s'amuser sans sentiment. Il avait été abrupte, et ne prenait pas de pincettes, il voulait baiser, juste, de temps en temps, et il lui fallait une partenaire. Je cherchais de l'affection et de la tendresse, et je me retrouvais comme un vulgaire plan cul. J'ai hoché la tête. Alex paru déçu, désamparé.
"oui? oui à quoi"?
"ben oui à tout."
Enfin j'arrivais à parler, pour mieux foncer dans la gueule du loup. J'en avais tellement besoin. Tout ce que tu veux, Alex, mon beau. Les cheveux mi-long, barbe un peu négligé, mince, sportif. J'ai craqué. Le plan était simple, Nous devions reprendre nos voitures, et je devais le suivre vers un endroit qu'il connaissait. Je l'ai suivi 3/4 d'heure, avant que nous nous engageâmes sur un petit chemin de terre. Il avait plus une bonne partie de la journée, et l'air était plutôt frais. Il s'arrêta derrière un bosquet, je restais, au point mort, dans ma voiture, attendant quelque chose, toujours pétrifiée. Il est venu me chercher au bout de quelques minutes. Il m'a emmené dans sa voiture, plus grande et confortable. Et nous nous sommes regardé, un bon moment. J'ai fermé les yeux, et je lui ai donné le feu vert. Il m'a peloté, littéralement, j'en avais des frissons, il me caressait pour la forme, pour me mettre à l'aise. A dire vrai, j'étais tout sauf à l'aise, mais j'étais dans un état d'excitation intense.
Il a déboutonné son pantalon, et baissé suffisamment pour laisser dépasser une belle verge, bien tendue, rasée, propre. Il me fit comprendre qu'il attendait de moi que je le suce.
je plaçais une main sur ses testicules pour les masser doucement ,et j'appliquais mes lèvres sur son gland.
"C'est bien ma belle, soupira-t-il. Montre moi ce que tu sais faire."
il me parlait comme à une pute, et je n'eu pas la force de faire plus qu'un haussement d'épaule pour lui montrer ma désaprobation. Il ne parla plus. De longues minutes s'écoulèrent, pendant que je m'appliquais sur sa queue. A cet instant j'avais oublié où j'étais, et ne pensait plus à rien d'autre que le membre qui glissait dans ma bouche. A un instant même, j'ai renoncé à tout effort, et l'ai laissé aller et venir dans ma bouche. Il appréciait, visiblement, et moi je me sentais désirable, mes scrupules s'évanouissaient au fur et à mesure que sa queue habitait ma bouche.
"Allez, c'est parfait. t'es super, mets toi à 4 pattes maintenant."
Je mexécutais doucement, sans vraiment savoir si je voulais vraiment ça ou non. Et, une fois en culotte, cambrée, la joue contrele cuir du siège, je sentis son sexe dur frotter contre mes fesses. Il me plaça, et j'obéis à tout. Mes genoux étaient maintenant au bord de la voiture, et ma culotte écartée, il m'avait intimé l'ordre de la maintenir comme ça. J'adorais ça, finalement. Sa queue est entrée en moi d'un coup sec, m'arrachant un râle. Il me prit pendant plusieurs minutes, à son rythme sans se soucier de moi, de mon plaisir, puis à un moment, il m'intima l'ordre de me retourner. J'ai eu juste le temps de me positionner selon sa volonté que je sentais son jus me couler sur le visage et dans le coup.
En rentrant chez moi, je trouvais juste un mot dans ma boîte: "merci, à bientôt".
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