Sex In The Hospital (1)
En tenue blanche, je marchais dans les couloirs de l'hôpital, un dossier à la main.
Je pus y lire le nom de Richard DU DOMAINE DE LA ROSE MONDAINE. Un bourge, sûrement.
Mes commissures se relevèrent légèrement en pensant à l'idée du ridicule qui devait le combler quand il disait son nom de famille. Certes, cest un nom comme les autres mais cela ne doit pas être facile à porter.
Tout-à-coup, une vague de mélancolie vint faire retomber mon mini sourire.
Je repensais à ce matin, où la directrice de lhôpital ma convoqué dans son bureau.
" - Écoutez, Chris. Le docteur Gray et moi-même avons pu constater que la chirurgie ne vous réussissait pas. Vomir et faire un malaise en pleine opération nest pas un argument très pesant à votre dite passion de la médecine. Je vais vous affecter à un autre secteur. Vous serez sous les ordres du docteur Martinn qui est une de nos meilleures aides-soignantes. Rejoignez-là dans la chambre 1408. Elle doit être avec ce bon vieux Richard. Dailleurs, ce sera son soixante-dix-huitième anniversaire dans pas longtemps, il faut que jy pense. Quest-ce que vous fichez planter encore là, vous? Allez-y pendant que je règle la paperasse, et prenez le dossier en sortant".
Les autres médecins ont raison. La chef est une diablesse, une sadique. Je lai bien supplié, pourtant. "Sil vous plaît, tout mais pas les soins médicaux!". Apparemment, ça na pas marché du tout. Cest dommage. Jaimais bien porter la blouse, ça me faisais un habit classe genre scientifique fou. Laver de la peau ridée, ce nest pas trop mon trip. Jaime mieux tenir autre chose dans ma main.
Bref, je me dirigeai, las, vers la chambre 1408 où je pus entrevoir la coupe au carré du docteur Martinn.
- Bonjour! Dis-je en toquant à la porte.
- Ah, bonjour Chris. Je tattendais. Viens, aide-moi à mettre Richard dans la baignoire.
Attend
Cest lui, ça?! On dirait quil na même pas cinquante ans!
- Euh
OK.
Je pris les jambes de ce cher Richard dans mes bras tandis que le docteur Martinn tenait lautre partie sous les bougonnements de ce dernier. Nous le portâmes ainsi jusquà la pièce à côté. Plusieurs objets enfonçaient ma peau ou tapaient contre mes os à cause des pas saccadés sous le poids des jambes. Enfin le vioc dans la baignoire, Martinn, à côté de moi, menseignait les rudiments de ce métier si
passionnant. Je nécoutais rien, je nétais pas intéressé. La chirurgie, cest tout ce qui compte dans ma vie. Je pensais à lopération de ce matin pendant que sa bouche remuait comme une marionnette.
-
Tas compris?
-
- Oh? Chris? Tu nous fais quoi, là?
- Oui
jai compris.
- Vraiment?
- Vraiment.
- Bien. Met en pratique tout ce que je tai dit sur Richard, alors. Dit-elle en me tendant une éponge.
- Vas-y mon grand, naie pas peur. Ce nest sûrement pas un fossile de soixante-dix-sept ans qui va te faire peur, hein? Dit ce dernier, dune voix , grave et grasse.
Je la prenais lentement, et commençais à frotter le torse ridé de monsieur DU DOMAINE DE LA ROSE MONDAINE avec léponge imbibée deau libérant de la mousse de ses alvéoles jaunes.
Je mattendais à une réflexion de laide-soignante mais rien, pas un mot.
- Tu te débrouilles bien. Jaurais juré que tu étais ailleurs quand je texpliquais.
Je lui fis un sourire .
De temps en temps, je trempais léponge dans leau et la serrais de mes doigts pour lessorer.
Soudain, jentendis une sonnerie.
- Cest mon bipper. Il faut que jy aille, jai une urgence. Finis de le laver, sèche-le, habille-le, remet-le dans son lit, et appelle une infirmière pour quon lui remette sa dialyse.
Et puis quoi encore? Elle est gonflée celle-là, tiens!
- Jai cru quelle nallait jamais partir. On est mieux sans elle, hein mon grand?
- Certainement, monsieur.
- Oh, je ten prie, appelle-moi Richard.
- Comme vous voudrez, Richard.
- Du botox, petit. Du botox. Et des antioxydants. Jai bien vu que pendant quelle expliquait tu nécoutais rien du tout. Je pense que cest linstinct qui a pris le dessus, quest-ce que tu en dis?
- Ça pourrait être une possibilité. Dis-je dos à lui, cherchant du shampooing dans larmoire.
Quand je me retournais, surpris, je vis son sexe plaqué à proximité de son nombril, au repos bien sûr.
Il était de bonne taille. Malgré la vieillesse, la libido reste intacte. Ou du moins cest le cas chez lui.
- Eh bien quoi, petit? Tu nas jamais vu de pénis?
- Ce nest pas dans mes centres dintérêts, Richard. Dis-je en mapprochant de la baignoire.
- Ça pourrait très bien lêtre
Dit-il en saisissant mon paquet dans mon jean blanc.
-
Chris.
- Où voulez-vous en venir?
- Vois-tu, après le décès de ma femme paix à son âme jai longtemps cherché à rebâtir mon amour mais je compris quil était trop tard. Dit-il en tenant toujours dans sa main mon intimité. Alors je me suis rabattu sur
comment vous appelez ça, les jeunes
des plans culs homosexuels. Et je dois dire que tu es très à mon goût.
- Ce nest peut-être pas réciproque. Dis-je en repliant son bras le long de son corps.
- Pourquoi, Chris? Admet-le, je ne suis pas si vieux que ça. Nous les hommes nous avons tous une part dhomosexualité en nous.
- Écoutez, Richard. Cest déjà assez pénible que ma chef mait collé ici alors nen rajoutez pas sil vous plaît. Dis-je encore une fois dos à lui.
- Rajouter quoi, Chris? Admet-le, tu aimes les hommes. Et tu aimes leur procurer du plaisir.
- Vous délirez complètement.
Tu sais pourquoi je suis dans cet hôpital? Il y a deux mois jai fait un grave AVC (Accident Vasculaire Cérébral). Encore heureux quil y avait mon fils pour appeler une ambulance. Et tu connais la meilleure? Dans une semaine je ne suis plus sur cette terre, alors tu nas pas le droit de minterdire ce moment que je convoite depuis que je suis ici.
- Vous savez quoi? Jai une meilleure idée. Je vais finir votre toilette, et vous remettre bien sagement dans votre lit.
Il ne répondit pas, dun coup il déboutonna mon pantalon.
- Cest inutile, Richard. Dis-je pendant quil baissait mon caleçon.
Il prit mon sexe au repos en entier dans sa bouche et me suça aussi vite quil pouvait.
- Oh
continuez, vous faites ça comme un Dieu.
Quelques minutes après, mon sexe était bandé et coulissait dans sa bouche. Il faisait des gorges profondes, glisser sa langue le long de ma hampe
En fin de compte, ce nétait pas une journée si pourrie.
- Prend-moi, Chris. Je veux revivre cette sensation.
- Mais
je peux endommager votre intestin ou même vous faire mourir, vous navez plus lâge pour ça!
- Chris. Pensez que je ne suis plus là dans une semaine. Dit-il en relevant ses jambes.
Jenfilai mon chibre dans un préservatif trouvé dans larmoire et me plaçai dans la baignoire, devant ses jambes écartées.
Je dirigeai mon sexe vers son trou, assez ridé, et fit pousser mon gland à lintérieur.
Malgré ses quelques bruits de douleur, ma hampe réussit à entrer lentement en entier.
Je commençai par de doux va-et-vient, augmentant petit à petit la cadence.
Ils se firent de plus en plus rapides, de plus en plus sec et profond.
- Oh Chris... Oh Chris! Mmmm! Cest bon! OH! Gémissait-il.
Je le pilonnai à fond, faisant glisser son corps contre le fond de la baignoire à cause de leau.
Couché sur lui, jy allais à fond, je ne me reconnaissais plus.
Dans un ultime renfoncement de mon sexe au plus profond de son boyau, je déversai tout ce que javais dans le préservatif.
- OOOOOOOOOOOOOOOOOOH! Firent lui et moi en même temps.
- Cétait
génial mais
particulier.
- Reste comme ça pendant quelques secondes, cest si bon!
Plus tard, je finis sa (longue) toilette, et le remis dans son lit.
Je naurais jamais cru que ce serais une expérience aussi incroyable, même avec des personnes dites âgées.
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