Les Plaisirs De La Bisexualité Suite Et Fin

Le plaisir de la bisexualité suite et fin.


Comment le lui demander ou comment lui faire comprendre ?
Quand je commence quelques choses je le termine,.
Pour mes plaisirs mes envies j’en fais de même.
J’ai découvert certains plaisirs avec beaucoup de bonheur.
Sucer, ne me suffisait plus, j'avais très envies de le sentir en moi, cela me fait un peu peur, comment va-t-il réagir ?
Je décidai de passer à l’action le vendredi, s’il refusai j’avais le week-end pour m’en remettre, donc, le jour venu, il ce change moi aussi, mais toujours la même question comment lui dire ?
Je vais attendre un peu, j’aurai l’occasion de le sucer et dans l’action on verra bien.
C’est en fin de matinée que ca c’est présenté, il m’a tendu la perche si l'on peu dire !
C’était la pause, je venais juste de finir les plinthes de la grande salle, il se présenta devant moi, j’ai tout de suite vu ce qu’il voulait, il avait pris certaines habitudes et à la grosseur de son pantalon, je ne pouvais me tromper !
Je ne fus pas long à réagir :
J’ai ôté mon tee-shirt et mon pantalon si vite que j’ai dû battre un record !
Sa bite sortie du tissu qui la retenait.
J’entamais une fellation dont j’avais maintenant quelques secrets, lui suçoter le gland, lui chatouiller le frein avec la langue, tout en le suçant je me branlais l’anus avec un doigt.
Je le sentais prêt et moi aussi...
Je me suis relevé, en me tournant pour lui faire comprendre ce que je voulais.
J’écartai les jambes en me penchant devant moi, je me tenais à la chaise.
L’attente me parut interminable, mais toute à coup je senti ses doigts mouillés caresser ou plutôt fouiller mon cul.
J’avais des tensions dans les jambes, l’appréhension je pense.
Il se présenta contre mon anus, je lui dis que c'était la première fois s’il pouvait y aller doucement.
Ce qu’il fit...
J’ai senti sa bite me pénétrer lentement j’essayai de me détendre.

Une douleur me tétanisa, avec la main je le stoppais, j’avais lu qu’il fallait attendre un peu que la douleur passe.
Il entreprit un va-et-vient léger, puis plus vite.
À chaque coup de boutoir, je criai de plaisir, je donnais à mon tour des coups en arrière pour accen mon plaisir, pourvu qu’il ne vienne pas maintenant, j’en voulais encore, encore plus, mes jambes vacillaient, tremblaient...
Il me pris par la taille et me fit mettre à genoux par terre en position de la levrette.
J’imaginais ce que pouvait ressentir ma copine quand moi je la prenais ainsi !
Il me pilonnait le cul, à présent je hurlais de plaisirs, il se lâcha, se cabra et éjacula en moi, j’étais anéanti, il se retira, je restai immobile, les fesses à l’air, j’attendais de reprendre mes esprits.
La semaine suivante, je finissais ma mission sur ce chantier, après quelques fellations et quelques sodomies, lui ne m’avait sucé qu’une seule fois, peu m’importait.
j’étais devenu sa chose, j’avais été consentant et heureux de l’être.
Je ne l’ai jamais revu.
... Et il m’a fallu 31 ans très exactement pour gouter à nouveau à ces plaisirs entre hommes.
Mais c’est une autre histoire...