Leslie An11

Leslie AN11 - Anastasia, week-end à Epernay, petite coquine

Après le petit déjeuner, nous sommes toutes les trois parties chez Benoît.
Arrivées chez lui, nous avons présenté Aurélie à Benoît, qui à ses yeux l’a trouvé fort à son goût.
Nous étions en train de prendre un café quand une jeune fille est arrivé chez Benoît, il nous a présenté la petite sœur de son ex qui venait d’avoir dix-huit ans un mois plus tôt et qui se prénomme Anastasia.
Une petite jeune fille brune aux grands yeux sombres, pas très grande mais mignonne comme tout, un vrai petit bout de femme.
Delphine et Benoît nous ont expliqués qu’ils avaient des préparatifs à faire et que nous pouvions, Aurélie, Anastasia et moi allé faire un tour en ville et plus tard pour le diner.
- Revenez vers dix-huit heures afin de nous laisser le temps de tout préparer, nous dit Benoît.
C’est comme cela que pendant que Benoît et Delphine, restés à la maison pour préparer la soirée, nous nous sommes retrouvées avec Anastasia et Aurélie à nous promener dans la ville d’Epernay.

Nous nous sommes baladées comme de vieilles copines de lycée, puis à l’heure de manger, nous avons été dans une petite brasserie, où dans le calme de la salle, confortablement installées, Anastasia nous a raconté :
« Ma sœur et Benoît sont restés presque deux ans ensemble et c’est vrai qu’avec lui je m’entendais bien, d’ailleurs nous sommes restés en bonne relation après leur séparation, ma sœur à cinq ans de plus que moi et lorsqu’ils se sont séparés j’allais fêter mes dix-sept ans, voilà maintenant plus d’un an de cela, mais Benoît s’est rapproché un peu plus de moi, et depuis quelque temps Benoît, me demandait de passer le voir de plus en plus souvent, et parfois, à sa demande je restais dormir chez lui.
D’ailleurs, nous avons fait une grande fête, avec tous les copains pour ma majorité et maintenant je passe souvent voir Benoît et dormir chez lui.

C’est comme cela que je sais qu’il passe du temps devant son ordinateur, à lire des histoires de cul où regarder des sites porno pour adultes !
D’ailleurs, souvent le soir, je l’ai entendu se branler devant son ordinateur, car sa chaise donne des coups contre le mur mitoyen avec ma chambre, et parfois dans la nuit j’ai aussi entendu son lit grincer et, à cet instant, je sais qu’il se donne du plaisir.
C’est comme cela que l’autre jour, alors qu’il était parti travailler, j’ai trouvé la porte de sa chambre entrouverte et la curiosité ma prise et je suis entrée dans sa chambre. Là, j’ai vu des photos de toi Leslie, nue, toi une femme avec un sexe d’homme et des photos de moi, habillée.
Un soir, il est partit assez vite dans sa chambre et ce n’est qu’en allant me coucher que je me suis aperçue que la porte de sa chambre était entrouverte, alors j’ai risqué un œil et ce que j’ai vu m’a terriblement troublé.
Benoît installé devant son ordinateur était en train de pousser des petits gémissements, complètement à poil. D’où je suis je le voyais de profil avec sa queue bandée dans la main en train de se branler doucement, sa main entourant sa verge dressée et il faisait des va-et-vient, d’abord tranquillement, puis de plus en plus vite.
A un moment, il s’est arrêté pour gémir en disant :
- Ohhh, Leslie et toi… Anastasia !
Et il a continué de se branler frénétiquement en poussant de petits soupirs tout en continuant de prononcer nos prénoms.

Bon, c’est vrai que voir mon ex-beau-frère se branler m’a mis dans tous mes états, bien que je sois encore vierge j’avais déjà vu des sexes masculins, ceux de mes copains sortant de la douche après les épreuves de gymnastique, mais voir celui de Benoît raide, se branlant devant ma photo en soupirant mon prénom, m’a laissé sans voix.

Sa queue était grosse et raide, puis je l’ai vu se cambrer sur sa chaise, la jouissance n’était pas loin, il a accéléré ses mouvements et j’ai vus des cascades blanches sortir par jets de son sexe et qui tombées sur le plancher de bois. Il tenait toujours sa bite dans sa main, les jambes pendantes et bien écartées.
Je me suis rendu compte que sa queue est énorme, enfin c’est l’impression que j’ai eu à cet instant et qu’il était parcouru de petits soubresauts, en hurlant une dernière fois mon prénom.

Pour ma part, trop excitée par le spectacle, j’ai couru me réfugier dans ma chambre…
Malgré mes dix-huit ans, je n’ai pu, ce soir-là, m’empêcher de me regarder dans la glace, et l’image qu’elle m’a renvoyé était bien celle d’une jeune femme emprunte à des désirs que Benoît venait de faire naître, je me suis mise à penser que je pouvais désirer…
Oui, pour la première fois, j’ai senti en moi un désir de faire l’amour, d’être possédée par un membre dur et viril, qui me ferait jouir et hurler de plaisir.

Mais je suis une fille très timide qui a tout juste commencé à explorer sa sexualité voilà peu de temps et c’est probablement pour ça que j’étais dans un tel état après ce spectacle.
Je n’ai pas de repères, pas d’expérience, ce genre de d’évènements est totalement nouveau pour moi, mais impossible de nier, j’étais terriblement excitée.
Je n’avais jamais ressenti quelque chose de semblable, et je n’avais, à cet instant, qu’une envie être toute nue sur mon lit et me caresser, jusqu’à hurler ma jouissance.
Alors aussitôt je me suis déshabillée et nue, j’ai regardé mes seins et ma chatte, je me sentais indécente, mais comme c’était bon, mes petits seins pointaient honteusement tandis qu’une douce chaleur commençait à m’envahir, presque involontairement j’ai commencé à me caresser les seins, j’ai fermé les yeux et j’ai imaginé que Benoît me regardait caché dans un coin de ma chambre et qu’il était conquis par la beauté de mon jeune corps encore intact et que soudainement réveillant ses désirs, il me désirait...
Mais soudain, je voulais le choquer, l’impressionner afin qu’il me désire encore plus, je voulais être le centre de son attention, juste une fois pour le plaisir, pour mon plaisir.

Alors je me suis allongé sur mon lit, ma main droite est descendu sur mon ventre, lentement mais inexorablement, enfin j’ai atteint ma toison, j’ai relevé les jambes, les pieds bien à plat calés sur le matelas, j’ai ouvert en grand mes cuisses et me suis concentrée sur mes sensations, juste profiter de l’instant.
La nuit caressait mon corps tout entier, j’ai souris vicieusement à Benoît qui me regardait, moi la frêle jeune femme qu’il désire, totalement exposée je veux qu’il garde ce souvenir en lui pendant longtemps.
Alors je me suis touchée, indécente, et le désir l’a emporté sur ma raison, je n’ai plus été capable de me raisonner et de retenir ma main qui s’était un instant reposée.
Elle a repris vie et joua avec mon sexe béant de désir, j’ai joué et caressé négligemment mes poils pubiens, remonté sur l’intérieur de mes cuisses, puis revenu sur mon sexe encore et encore.
Puis lentement, en me montrant le plus possible à Benoît, mon majeur s’est frayé un chemin entre mes cuisses et est remonté le long de ma fente, j’étais trempée et j’ai souris intérieurement en pensant à l’état dans lequel mon pauvre Benoît devait se trouver à cet instant.
J’ai remonté encore un peu, sous mon doigt humide mon clitoris gonflé de plaisir était sorti de sa cachette, quelques tournoiements d’un doigt dessus ont diffusé dans mon bas-ventre ces sourdes décharges de plaisir capable d’amener une femme au plaisir en quelques secondes.

Je me suis interrompu un instant, pour reprendre mon souffle, j’ai pensé à Benoît qui devait maintenant se branler en me regardant, mais je n’avais pas l’intention de jouir aussi vite, même si mon corps tout entier le réclamait avec force, non ! Il fallait attendre, le faire attendre.
J’ai quitté cette zone trop sensible et je suis revenue plus au centre de mon intimité, avec science et délectation, je me suis pénétrée. Le plaisir était plus diffus, mais non moins agréable, majeur et index de concert sortaient et repartaient au fond de moi en un va et vient lent mais précis, la paume de ma main heurtant mon clitoris au passage, envoyant à chaque passage une onde de plaisir plus intense encore que la précédente.
Je n’ai pas tenu longtemps à ce régime, j’ai succombé au plaisir qui m’a envahi en se faisant plus pressant de seconde en seconde. Puis, à un moment, j’ai senti cette énorme vague venir de très loin, me secouer, me faire frissonner, ma tête s’est vidée, mon corps a pris le contrôle, j’ai jouis, j’ai jouis encore, j’ai dû me mordre les lèvres pour tenter de ne pas hurler mon plaisir, mais un cri est sorti de mes lèvres et j’ai jouis en hurlant. »

Anastasia fait une courte pause et rajoute :
« Et puis le silence est venu, l’air est toujours doux autour de moi, j’en avais presque oublié l’endroit où je me trouvais. Je reprenais mon souffle doucement, les yeux grands ouverts, jamais le ciel ne m’avait paru si beau, j’étais heureuse et j’avais pris du plaisir.
J’imagine que l’orgasme a temporairement effacé toute réserve en moi, car dans cet état de grâce, je ne ressentais aucun besoin de fuir ou de me cacher.
Bien au contraire, si un homme était entré dans ma chambre à cet instant, j’aurais ouvert les cuisses pour lui afin qu’il me prenne et me fasse jouir… »
Ce soir-là, le sommeil a eu du mal à me gagner, me demandant ce que je ferai le lendemain, si Benoît m’avait entendu hurler et qu’il me posait des questions.
À bout de force, je finis par me laisser envahir par le sommeil, un sourire aux lèvres en pensant que rien ne serait plus comme avant… ».

A suivre…