Rien Ne Va Plus ! (Ou Petites Frustrations Journalières)
Mai 2013, 6h30, Et cest parti pour aller à Clermont Ferrand aujourdhui, je suis attendu par les chefs de projets. Ah que je naime pas aller là-bas, le trajet est long, et puis un autre sujet occupe mon esprit ; Michel, mon pote, que dis-je ? Ma bête de sexe, devait descendre de Belgique et me rejoindre à Paris aujourdhui afin de se consacrer à une bonne partie de cul, bien virile et bien tendre au sauna
Mais je ne pourrai pas le retrouver, mon patron, en ce retour du WE de Pentecôte ma fixé une réunion ce matin suivi dun restau avant de prendre mon train pour lAuvergne, du coup, jai dû appeler, à mon grand désespoir, mon petit camarade Liégeois pour annuler notre rencard.
Bref, en son absence, je ressens quand même lenvie dun plan chaud aujourdhui, alors, dès que je suis sur lautoroute, je marrête sur ce parking, il faut que je tire mon coup, par nimporte quel moyen, sinon, toute la journée je vais errer et errer encore comme un perdu, et chercher et chercher encore un cul à tirer, une chatte à sauter ou finir, faute de mieux et comme plan de secours, la queue entre mes doigts pour éjaculer une fois pour toute par une bonne branlette solitaire
Parfois, on nest jamais mieux servi que par soi-même !
Je nattends pas longtemps ce matin sur cette aire dautoroute, une Audi sombre vient de se garer et un costume cravate, la cinquantaine grisonnante en sort. Le type est grand, athlétique, et sans doute bien gaulé et viril, à voir la bosse sous les plis de son pantalon de costard. Immédiatement, il me fixe, devine-t-il ce que je cherche ? Bingo, Je crois que oui.
Sans me perdre du regard, il me fixe, magnétique, et se dirige déjà vers les chiottes de laire de service. Je suis impressionné, toujours cette appréhension mal placée, mais dans ce genre de situation, avec un mec que je ne connais pas, cest un peu comme si cétait la première fois. Mais je nai pas beaucoup de temps devant moi, une fois de plus, je serai en retard au bureau et pourtant, une envie, irrépressible me pousse à sortir de la voiture, et me diriger vers ces chiottes.
- Tires moi, nattends pas , il me dit.
Je nai pas attendu son invitation, ma main mécaniquement, a déjà ouvert ma braguette et baissé mon jean sur mes genoux ; cest bizarre je nai pas ment une grosse envie, car je naime pas précipiter les actes, surtout dans des endroits pareils, vite fait, et ça se voit car je bande un peu mou. Le mec en peut plus, il lui faut ma queue dans son cul, alors pour mexciter davantage, il prend ma tige en bouche et me suce furieusement, comme si sa vie en dépendait, il me taille une pipe à la vitesse et au rythme dun étalon au galop. Et létalon qui bande dur et fort, maintenant, cest moi.
Dune main, il baisse mon slip jusquaux chevilles, resté un peu en dessous de mes couilles jusque-là. Là, il faut que je le baise, que je lencule ce mec, que je lui fasse passer son envie, et la mienne également ! Il a le cul en feu et nen peut plus dattendre. De son autre main, il a déjà tiré une capote de la poche de son costard. Ma bite est face à sa tronche alors il fout la capote sur ses lèvres et na plus quà me lenfiler avec sa bouche. Cest délicieux, doux et frais car beaucoup plus lent que la pipe qui a précédé. Sans attendre, il se retourne et me présente son cul et, pour faire bonne mesure, écarte ses fesse avec ses mains, découvrant sous mes yeux, une rondelle cramoisie et un peu déformée signe denculages fréquents mais propre et légèrement parfumé au Guerlain homme. Je nen peux plus, il est tard aussi et lheure tourne, cette fois, jai vraiment 45 mn de retard minimum au bureau, alors faut que je fasse vite et que je le tire ce coup rapide et bien entendu que jéjacule vite fait. Jajuste mon gland sur son entrée brulante, je pousse, ma colonne nest pas enfilée à son maximum, une fois de plus, comme je ladore, à chaque fois, je patiente un peu dans lentrée histoire de sentir mon gland gonfler au contact du fion offert et ma verge sagrandir encore un peu plus dans son tunnel corporel.
Tu mécarte le cul, tu mécartes les fesses mecs, vas-y enfonce toi encore, fous là moi bien profonde ! En même temps, aussi vite quil me suçait tout à lheure, il se branle frénétiquement, mes couilles sont grosses, mais les siennes sont énormes, bien à la mesure de sa bite gigantesque, un peu comme des balles de tennis noires très poilues et dures. En lenculant, nos paires de boules se tapent lune à lautre, ma donnant limpression den avoir 2 paires sous ma gaule, de plus ses poils me chatouillent, putain comme cest bon. Il nen peut plus, il a le diable au corps, il est pressé lui aussi, sans doute a-t-il une réunion ou un avion à prendre
Alors, ce salopard, pas très solidaire de votre serviteur et narrateur de service (qui lui aussi avait une très - grosse envie), ne mattend pas ; Et bien égoïstement il se retire et décharge dans les chiottes en gueulant comme un damné. Ses jets sont puissants, jen compte 6 qui partent loin, comme des coups de fusil à eau, le jus qui tombe au sol est blanc laiteux, très épais, il me dit :
- Jai pourtant baisé toute la nuit avec ma femme très jeune, mais ça ne me suffit pas. Je passe là tous les jours, nhésites- pas ! Excuses-moi mec, mais je suis très pressé, un rendez-vous pour signer un contrat, je suis chef dentreprise.
-Tu las dit Bouffi !!! La belle affaire pensé-je en moi-même dans ma tête. Je men doutais
Bon, il était quand même désolé
Et je lai bien fait kiffer avec mon gros sexe enfoncé dans sa petite rondelle ; Mais sur ce coup -là, jai vraiment limpression dêtre une bite-étalon sur pattes
Mais juste bon à chauffer sans tirer ensuite.
La suite de la journée, mes amis, allait en effet me prouver, quil y a des jours avec
et des jours sans !
Jignorai, à ce moment-là, que je nen étais quau début dune série de petites frustrations.
Bref, javais toujours ma grosse envie et mes couilles pleines!...
Il veut me laisser son numéro de portable, pas besoin jai un amant, je lui réponds. Moi aussi, jaurai voulu décharger, mais il ne men a pas laissé le temps
Je ne suis pas trop frustré, finalement je nen avais quà moitié envie dans ces conditions. Je remonte rapidement mon jean, je sors de la cabine que déjà un gros 4X4 immatriculé en Belgique rentre sur laire, à nouveau même manège, le mec se dirige vers le petit bois et me fait signe. Auprès de lui, cest dun plan branle quil sagit, tout juste se saisit-il de ma queue déjà dressée que
fausse joie
Un éjaculateur précoce ? Un mec qui a trop envie ? Toujours est-il quil décharge encore plus rapidement rien quà la vue de ma main qui sastique sur ma verge, toujours gonflée de plaisir et denvie, il se rajuste et part, avant que jai le temps de dire ouf, 4 minutes chrono tout au plus !
Bon sang, et moi ???!!! Jai tellement envie, il faut que je lime ! Ou tout au moins que jéjacule, mais je dois raison gardée, et là, il est vraiment trop tard, 8h30 passé, là cest sûr, il ne sera pas loin de 10h lorsque jarriverai au taf. Je me rajuste et je prends la route, avec mon envie de baise restée intacte, mais bien décidé à régler cet inconvénient dans la journée, rien de pire en effet que davoir une envie tenaillée au corps et dans la tête sans possibilité de la satisfaire, quand on dit que nous les mecs on réfléchit avec notre bite, cest pas complètement faux... (Du moins pour certains dentre nous !)
10h, jarrive au bureau, jai une tonne de mail, mon boss mattend, il sait que jai un rythme soutenu avec tous ces dossiers projets, mais il sait aussi que je gère. Jentre dans lopen space, je vois chez certains, des regards désapprobateurs, sans doute un peu de jalousie dans les yeux de certain, mais quimporte, dans lensemble il y a un bon esprit. Jouvre mon ordi, il y a comme dhabitude une tonne de mails, mais bon, plutôt facile à gérer.
- Le coup que je nai pas encore tiré ;
- Et surtout (comme disait César), ce qui me fend le cur, cest de ne pas retrouver mon petit camarade Belge, mon régulier de sexe et damitié, pour une bonne partie au sauna, ce midi.
Ne me reste quune solution, pour me vider les couilles avant ce soir : chasser et chasser encore, en solitaire, pour le tirer ce coup, jai encore 12h devant moi.
14H00, je suis dans le train vers Clermont, le déjeuner sest bien passé et maintenant je suis seul. Alors jen profite un peu, tout en me caressant doucement et en bandant très fort, pour me laisser aller à mes pensées secrètes
Je songe à ce même parcours en train, il y a 2 ans environ, lors du retour et que jai rencontré cette jeune femme polonaise qui allait retrouver une copine. Javais engagé la conversation car elle sanglotait toute seule, alors je métais assis à ses côtés, lavais consolé par des paroles douces et apaisantes tout en lui filant un ASPRO, et puis elle sétait laissé aller, et moi aussi
Dabord sur la banquette, et puis dans les WC du wagon (mais ça, cest une autre histoire). Ce qui fait dire à mon copain Belge, que tous les 2 nous faisons partie du club des 10000 (En fait, il se trompe, car cest uniquement quand on baise dans les chiottes dun avion
pas dans un train)
17H00, jen peu plus de cette envie qui me tenaille encore, jaurai du me branler la bite tout à lheure. Mais je me suis endormi pendant le trajet. Je dépose donc mes bagages à lhôtel et reste une solution, aller au sauna de Clermont Ferrand, je ne le connais pas, ça me permettra de découvrir le lieu et peut-être de faire de nouvelles connaissances, mais aussi et surtout, de passer mon envie, enfin, DE BAISER !
Jarrive au sauna au sauna à 20h, il est tard, faut dire que je me suis gouré de rue entre temps, décidément jai la guigne aujourdhui.
Lendroit est quasi-désert ou comme la plupart du temps en province, les mecs se connaissent, je fais le tour 5 ou 6 fois. Au hammam, un mec, un peu fin, me branche, il est plutôt sympa, et suce bien. Il me propose de laccompagner en cabine, après tout, je nai rien à perdre, même sil nest pas mon idéal masculin, il est assez sympa. Par contre, ce mec est très câlin, enfin je vais pouvoir me soulager un peu ! A peine arrivé dans la cabine, je reste debout et il me reprend en bouche, il adore sucer celui-là. Jai une bonne gaule et jai bien compris quen mexcitant de la sorte, il ne pense quà une chose : se faire mettre. Dailleurs, ça ne tarde pas, car il menfile une capote avec la bouche, humm, cest bon
Comme ce matin. Cette fois, ma bite bien raide est prête à tirer son cul, tout juste ajusté avec elle. Jenfonce mon gland, mais je bande mou, tout cela va trop vite, jétais raide à linstant et voilà que mon SGUEG me fais défaut, cest rare, mais ça arrive, coup de fatigue
Depuis ce matin que je lattends ce coup, et que LA, je lai à ma portée ! RIEN NE VA PLUS ! Je vais faire un déçu, surtout quil a lair bien chaud. Bon, on discute un peu et le mec ne men veut pas, alors que je suis contri, un peu honteux de ma débandade
Nnous restons un peu ensemble, de toute façon, il ny a plus âme qui vive dans le sauna. Le mec veut mexciter encore un peu, mais je nai plus le cur à ça, il suce, me branle, bref, ça revient un peu, mais inutile dessayer de fourrer, je suis claqué. Il a du cur à louvrage, me fait une pipe du tonnerre, je sors un peu de ma torpeur et décharge dans sa bouche, je jouis, mais sans plus. Brave type, il a de la générosité et pourtant jen suis désolé. Mais il ne men veut pas. On se quitte, non sans que je lui ai conseillé HISTOIRE DE SEXE. Jai connu ça aussi, la solidarité masculine
Mais vraiment, ce nest pas mon jour. Nous nous quittons à minuit, dailleurs, le sauna ferme.
00H30, jerre dans les rues désertes de la ville, tiens ! Un PUB ouvert, jentre, il y a un peu dambiance et de la bonne musique. Je commande une bière et engage la conversation avec une anglaise plutôt mignonne, la quarantaine à la table dà côté, elle se rapproche, je me rapproche. Jai sa main sur ma cuisse, rapidement elle attaque mon entre-jambe. Je file aux WC, elle aussi, je vois le bon plan, elle aussi sans aucun doute. On est au pied de la cabine, je suis chaud maintenant, et plus réveillé que tout à lheure, je bande dur, cest sûr, je vais le tirer ce bon coup tant attendu depuis ce matin
MAUDIT JE SUIS MAUDIT aujourdhui, juste avant dentrer dans la cabine, une copine laperçoit, lui fait signe. Elle sexcuse et tourne les talons, me laissant seul avec mon envie intacte -
01H30, je suis dans ma chambre, je me branle et prend tout mon temps, jéjacule dans ma main 3 4 jets bien laiteux
JOURNEE DE M
. Triste journée dun cadre en déplacement
Parfois, on nest jamais mieux servi que par soi-même.
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