Ah Le Facteur_1

Ah le facteur !
Sur mon coin de campagne c’est une factrice avec un fourgon qui distribue le courrier et les paquets depuis plus d’un an maintenant en remplacement d’un facteur en mobylette. Nôtre nouveau facteur, taille moyenne, cheveux courts blonds, petites lunettes, se prénommait Odette avait 47 ans, était mariée sans s. De suite elle a sympathisée avec Monique et moi, on lui a alors dit de rentrer le fourgon dans l’allée jusque derrière la maison pour déposer courrier et paquets surtout quand il y en avait des lourds. C’est moi qui d’ailleurs les décharge et pendant ce temps Monique lui offre un café et elles discutent. Après quelque temps Monique lui a proposé de venir prendre un café même si il n’y avait rien pour nous, ainsi elle prenait le café tous les jours avec nous, ou avec Monique si je n’étais pas là. Elle a alors fini par rentrer le fourgon puis entrer par l’arrière sans frapper avec l’habitude. Monique qui me voyait souvent la mater me disait après son départ : elle te plait elle est comme tu les aimes ! Tu voudrais bien la sauter grand salaud. J’avouais que je bandais en y songeant. Un matin ne l’ayant pas entendu arriver j’entrais à poil dans la cuisine la queue au garde à vous et on resta à se regarder, surpris, sous l’œil amusé de Monique. Puis cette dernière s’avançant vers moi me caressa la queue en disant à Odette : tu vois je te l’avais dit il a envie de toi. Quelques jours plus tard Monique me raconte qu’elle a cuisiné Odette et a appris que son mari, Denis 52 ans, ne la baise plus du tout depuis deux ans. Odette suppose qu’elle ne lui fait plus envie avec le temps et l’âge mais Monique me dit qu’elle l’a persuadée que Denis baisait ailleurs car il ne serait pas resté deux ans sans baiser. Après cela Monique m’encouragea à être à poil la queue raide quand Odette passait. On voyait bien qu’elle était troublée surtout quand Monique me caressait la queue l’air de rien en disant : t’es une amie je te le prête, profite en, en plus il a envie.

Quelques temps plus tard, j’étais en congé pour une semaine et seul car Monique était partie quinze jours chez Josiane (voir les hasards de la vie). J’étais à poil queue en l’air dans la cuisine, buvant un café après avoir pris la petite pilule Cxxxxx, car la journée allait être rude. En effet j’attendais l’arrivée de Michel et Corinne nos amis Rouennais (voir j’aime les soldes) qui venaient passer la semaine avec moi pour fêter les 60 ans de Michel et son départ à la retraite il y quelques mois. Soudain Odette entra en me disant bonjour. Elle n’eut pas l’air surprise de ne pas voir Monique et de suite ajouta en rougissant que Monique lui avait dit qu’elle serait absente et qu’elle n’avait qu’à en profiter avec moi. Me doutant de ce que Monique avait bien pu dire et comment elle avait du pousser Odette je souris et lui répondis : oui ce serait bien, j’en ai tellement envie ! Je m’approchais et sans prévenir l’enlaçais puis l’embrassais. Je pouvais sentir son corps chaud et moelleux contre moi et elle devait sentir ma queue raide contre elle. J’adorais son physique, gros seins gros cul du ventre et des jambes longues et fortes très galbées. Je l’embrassais en la pelotant elle se serrait contre moi comme un noyé s’accroche à une bouée. La lâchant alors je l’entrainais avec moi dans la chambre et là je la déshabillais doucement, elle restait immobile et rougissante. Une fois nue je la poussais doucement sur le lit et lui fis écarter les cuisses pour y plonger ma tête. Je découvrais une toison blonde très fournie d’où je fis émerger avec ma bouche ma langue et mes doigts un clito court mais très épais. Je l’amenais alors au bord du plaisir assez rapidement et elle se mit à se tortiller en gémissant et serrant les cuisses puis les écartant elle m’attrapa en criant viens ! Je présentais ma queue à l’entrée de sa chatte et d’un coup l’enfilais, elle eut un hoquet et je sentis de suite sa chatte se serrer très fort sur ma queue et elle serra les jambes autour de moi en gémissant et se mordant les lèvres. J’allais et venais à grand coups de reins et sa chatte se serrait de façon spasmodique sur ma queue et Odette gémissait râlait en se mordant fort les lèvres. Puis d’un coup elle serra fort les jambes autour de moi se tendit comme un arc et sa chatte se sera sur ma queue à la broyer. J’accélérai le mouvement et d’un coup déchargeait en longs jets dans son intimité. Je la sentis alors se relâcher sa chatte se détendre et elle hurla oui, oui !!! Elle m’attrapa alors pour m’embrasser comme une furie pendant que je sentais ma queue qui doucement glissait hors de sa chatte. On resta un bon moment ainsi puis elle se leva toute rouge en balbutiant : il faut que je parte. Je la calmais, lui dis qu’elle allait prendre d’abord une douche puis la conduisis à la salle de bain et parti nu comme un vers prendre un café à la cuisine. Quinze minutes plus tard Odette surgit en criant : zut je suis en retard, je l’attrapais alors par le bras l’embrassais en lui disant de se calmer. L’embrassant alors je lui dis : pars tranquillement, ne va pas avoir un accident et appelle moi à midi. Elle était à peine partie que j’entendis une voiture rouler dans l’allée, regardant l’heure je sortis à poil pour constater que c’était Michel et Corinne qui arrivaient.
A peine sortis de la voiture on s’enlaça les uns les autres en se roulant une pelle profonde et Michel qui m’avait attrapé la queue sourit en disant t’es poisseux, tu viens de baiser ? Moi même je constatais qu’il avait le crâne rasé et comme je le caressais il me sourit ! Les faisant entrer je leur racontais tout puis après avoir pris un café Corinne ôta le pantalon et la chemise de Michel qui apparu totalement lisse sans un poil sur le corps, le crâne lisse, portant une cage de chasteté, les tétons annelés et tatoué au dessus du sein gauche. Le tatouage représentant un fouet croisé avec un escarpin. De plus il avait maintenant un bon petit bide et Corinne me dit alors : ca y est il peut vivre sa condition de soumis total en permanence maintenant, il va pouvoir remercier Monique et Josiane pour son éducation. Je m’approchais de Michel et lui caressais doucement le cul puis son petit bide avant de lui triturer les tétons en tirant et tournant les anneaux qu’ils portaient. Il commençait à bander un peu mais la cage bloquait toute velléité d’érection. Corinne qui avait vu cela vint lui prodiguer quelques claques bien sèches sur les fesses en lui disant durement : tu bandes seulement si je te le permets ! Michel baissant la tête répondit : oui maitresse, elle lui dit alors : à partir de maintenant tu n’es plus que notre esclave. Puis Corinne sourire au lèvres se changea et ayant passé sa tenue de dominatrice elle se harnacha d’un gode ceinture de belle taille et ordonna à Michel : suce ma queue, suce et applique toi. Ce dernier s’exécutait avec une technique impeccable. Corinne lui ordonne alors de tendre son cul et je vois Michel se retourner se pencher en avant et écarter ses fesses avec ses mains et Corinne sans plus de préparation l’enfile à fond. Elle le lime à grands coups en lui claquant les fesses et bientôt je vois le sperme couler de la queue de Michel comme si il pissait. Michel ne dit rien et Corinne déculant sans ménagement lui dit : nettoie et après suce ton maitre pendant que je me prépare. Michel nettoie le foutre qui a coulé par terre puis vient vers moi et me taille une pipe comme rarement on m’en a taillé une. Corinne a ôté le gode ceinture et assise dans un fauteuil elle se branle le clito en regardant Michel me pomper. Cela m’excite je bande comme un fou, voyant cela Corinne se lève vient vers nous, écarte Michel qui se recule et se met à genoux mains dans le dos, et tout de go elle s’empale en râlant sur ma queue raide. Elle me chevauche et gémit, râle et crie à Michel : regarde lopette comment ton maître fait jouir ta maîtresse. Pendant qu’elle me chevauche elle me travaille les tétons et m’embrasse à pleine bouche. Sentant que je vais jouir elle se lève et avec ses mains écarte ses fesses et revient s’empaler par le cul sur ma queue puis recommence ainsi à me chevaucher tout en se branlant le clito en même temps. Bientôt elle jouit en criant et moi même n’en pouvant plus je lâche tout dans son fondement. Elle se lève alors et jette un regard à Michel qui sans rien dire vient me sucer pour me nettoyer la queue. Corinne sourit et lui dit : c’est bien, continue, quand ma queue est redevenue bien luisante et propre Corinne s’assied sur le canapé en relevant les jambes et Michel lui nettoie alors l’anus avec sa langue jusqu’à ce que Corinne l’arrête. Il se met alors à quatre pattes et Corinne lui pose un plug, une fois l’opération effectuée Michel se lève récupère dans les bagages un petit tablier blanc transparent et une paire de mules à talons et il s’occupe de prépare et servir café et tartines. Corinne s’est lovée comme une chatte contre moi en disant : tu as vu comme il bien éduqué ! On va pouvoir se laisser vivre, puis elle ajoute : et ta factrice tu comptes en faire quoi ? Je lui réponds que j’espère bien en faire une salope à mon service et au service de Monique. Pendant ce temps Michel fait le service et on déjeune servis comme des rois ! Je lui fais par de mon étonnement d’avoir vu tout à l’heure Michel cracher du foutre car je croyais qu’elle pratiquait sur lui un prostate milking régulier comme le lui avait conseillé Josiane. Elle me dit ne pas l’avoir fait l’avoir fait régulièrement les derniers temps et que c’est pour cela qu’il avait la cage de chasteté mais que l’on va arranger cela. Pendant que Michel dessert range et fait la vaisselle Corinne me demande quand je pourrais venir pour passer quelques semaines chez elle maintenant que Michel peut être nôtre esclave 24h sur 24. Je lui réponds que le plus pratique serait qu’ils s’installent tous les deux ici puisque Monique passe le plus clair de son temps chez Josiane depuis que celle-ci est à la retraite. J’ajoute qu’ainsi elle pourra m’avoir pour elle tout le temps. Je lui rappelle alors qu’il faudrait faire quelques courses, Corinne appelle alors Michel et lui donne ses ordres puis on porte les bagages de Corinne dans ma chambre et ceux de Michel dans une petite chambre au fond du couloir. Celle-ci est très spartiate, il n’y a qu’une armoire et un lit. De plus le lit est très sommaire. Corinne se change et moi je vais prendre une douche et m’habiller. J’observe Michel, il a fini de ranger la cuisine et il passe l’aspirateur dans le salon. Je m’approche comme pour surveiller et je lui caresse le cul. Il frémit et s’arrête quelques instants. A ce moment Corinne arrive et voyant cela lui tire les tétons rudement puis l’attrapant par l’oreille comme un gamin lui tire fort dessus en lui disant : tu as oublié les consignes ? Michel rouge répond : non maitresse et il reprend son ménage de plus belle. Corinne reste un moment à le surveiller tout en me malaxant la bosse du pantalon. Puis on s’en va en courses, Corinne est cramponnée à mon bras et m’embrasse à tout bout de champ. Cela m’amuse et je lui dis qu’on dirait une collégienne amoureuse. Elle rit et me dit : je t’aime et je suis heureuse de pouvoir le montrer. A 13 heures on rentre et Corinne appelle Michel pour qu’il décharge les courses et les range, juste à ce moment le téléphone sonne et je reconnais la voix d’Odette. Je mets le haut parleur pour que Corinne puisse écouter puis je discute avec Odette pour qu’elle se rende libre demain après midi après son service en lui disant de ne pas passer demain matin et d’amener mon courrier demain après midi quand elle viendra. Cela étant réglé j’ai maintenant hâte d’être à demain ! En raccrochant j’entends un bruit et me retournant j’aperçois Michel qui vient de poser les deux derniers sacs de courses et est plié en deux cul tendu vers moi je m’approche et me colle contre lui caressant son cul. Je mets à bander comme un âne et sans rien dire je baisse mon pantalon et ôtant le plug de son cul je l’enfile tout de go. Corinne qui n’a rien perdu du spectacle me dit : vas y encule le à fond. J’att les anneaux de ses tétons et ainsi cramponné je vais et viens à grands coups. Je sens soudain les mains de Corinne écarter mes fesses et sa langue titiller et fouiller mon œillet. Je bande encore plus raide et donne de grands coups dans le cul de Michel. Corinne me doigte alors le cul pendant qu’elle se met à me lécher doucement les couilles et à les malaxer. C’est trop bon, elle a maintenant mis deux doigts dans mon cul et me malaxe doucement les couilles. J’en peux plus je jouis en hurlant lâchant plusieurs jets dans le cul de Michel. Je reste alors enfoncé jusqu’aux ras des couilles, sans bouger, dans le cul de Michel. Corinne me dit alors de sortir ma queue et immédiatement sans qu’elle ou moi ne disions mot Michel se mets à genoux et me la suce jusqu’à ce qu’elle soit nette et luisante. Corinne lui remet alors le plug anal et me dit : cela m’a beaucoup excitée de te voir baiser cette lopette, puis elle s’assied dans un des fauteuils lève sa robe et écarte les cuisses, elle n’a pas de culotte, de suite Michel vient se mettre à genoux entre ses cuisses. Je le regarde faire jouir Corinne avec sa langue et ses doigts. Quand elle eu jouit elle le renvoya aux travaux domestiques afin que nous puissions rapidement passer à table car nous avions rendez vous cet après midi, mais c’est une autre histoire……..