Dans Le Magasin D'Un Ami

Dans le magasin d’un ami :
Salut, moi c’est Mohamed d’Alger, 25 ans, célibataire. L’histoire qui suit s’est passée le printemps dernier dans un magasin de vêtements pour femmes appartenant à Ryad d' un ami. Il est presque 18 heures, je suis bloqué dans l'arrière-boutique à ranger des cartons. Soudain, j'entends la porte qui s'ouvre : une femme rien qu'à la voix. Je n'écoute pas ce qu'elle demande. Puis un grand silence.
Ryad ferme le magasin. Il fait quand même un drôle de bruit. Je vais jeter un regard : Je vois une femme de bonne taille, belle dame, la trentaine, portant le voile, debout en face de mon ami. Son regard suit tout ce que fait Ryad : elle le provoque.
Je m'approche, curieux de la suite. Ryad se penche un peu : il l'embrasse. Ce n'est pas dans le style de mon copain que de provoquer une nana dans le magasin. Le miroir en face me montre l'envers du décor.
La femme est enserrée dans le bras de Ryad. Elle lui tient les épaules. Son ventre est contre celui de l'homme qui sans doute doit bander. Elle l'excite avec ses mouvements. Ryad commence à découvrir les épaules : parfait exemple de la beauté. Sa bouche se colle sur le cou. La femme lève la tête comme pour chercher sa respiration. La robe commence à tomber doucement, dénudant encore le reste.
Ryad se laisse faire quand la femme le déshabille. Je suis un salaud de les épier ainsi : j'attends une suite chaude, quitte à me branler en regardant. Il la dirige vers le banc en bois du fond du magasin, elle s'y assoit, les jambes ouvertes, ce qui me permet de voir qu'elle est une vraie femme. Ryad penché sur elle l'embrasse encore, descend vers les seins qu'il suce. Elle ne fait pas grand chose en se laissant ainsi peloter.
Elle lui prend la tête quand il pose sa bouche sur la chatte. Il en est tout ébouriffé. Sa bouche s'ouvre dans de presque inaudibles gémissements. Je sens la femme sensuelle à la recherche de son plaisir.
Ma queue me fait presque mal de bander ainsi.

Je commence moi aussi à enlever ce qui gêne mes mouvements, c'est à dire tout. Je peux me toucher la queue, même me branler. Je commence à caresser la pine avec la main droite, la gauche caressant les couilles.
Ryad prend sa place, fait mettre la nana de dos, contre lui. Je vois le sexe tout trempé, la queue par derrière, qui monte vers l'entrée privée. Ils commencent les deux à la fois les allers et venues.
Elle se branle en ayant un pieu dans la chatte. Elle se relève à peine pour se faire mettre dans le cul. Sa main enfoncée dans le vagin. Ryad la tient par les seins. Ma main tiens toujours mon zeb. Et à la fin, j'entre dans la boutique. Aucun mot. Elle me regarde ou plutôt regarde l’engin qui arrive. Je bande encore plus, il me semble. Sa main libre se tend vers moi. Je ne sais trop ce qu'elle veut. Elle me prend dans la main, elle me branle un peu, juste ce qu'il faut pour faire connaissance. Elle ouvre sa bouche et elle me suce. La vache, c'est bon, elle sait bien faire la fellation. Je tends mon bas ventre en avant, vers sa bouche qui seule me suce. Sa main est sur les couilles qu'elle caresse délicatement, sachant qu'elles sont fragiles. Son autre main continue à lui donner ce plaisir particulier de la sodomie.
Dommage elle abandonne. Sans dire un mot, elle dirige la trique vers le con. Je suis à genoux presque contre elle.
Ryad se laisse faire quand elle continue seule le va-et-vient. Je commence moi le mien quand je suis dans son abricot. Elle aime bien ce qu'elle « subit ». Ryad et moi prenons notre plaisir, comme elle.
Ses orgasmes ne sont pas simulés. Elle passe ses cuisses autour de ma taille. Ryad vient à notre secours, en venant lui poignarder encore le cul.
Prise en double elle ne demande pas mieux, sinon pourquoi aurait elle commencé. Je sens que Ryad jouit en elle aux spasmes de sa queue. Ma bite reste encore un moment dans l'abri secret du ventre. Son pubis rencontre le mien plus fort. Les mouvements saccadés nous mènent directement à un orgasme partagé. Je décharge je ne sais combien de semence.
Toujours sans un mot, elle est habillée, même si du sperme coule entre ses jambes. En sortant, elle nous sourit et nous souhaita une bonne soirée.