Je Vais Hurler Ton Nom
Voilà quelques semaines que je n'avais pas revu James. Il m'avait demandé des photos de moi et j'avais passé tout un après midi à poser, face a mon objectif en me dénudant de plus en plus.
Je m'étais beaucoup appliquée à prendre des poses que je savais excitantes, ainsi avais-je pris des clichés de face, ma main cachant sagement mon pubis épilé et laissant mes seins, petits et fermes, se dévoiler pour lui.
J'avais également posé à quatre pattes, le regard suggérant toutes mes envies, et j'avais pris un grand plaisir à photographier mes jolies fesses pour lui.
Rien que le fait de l'imaginer découvrant ces clichés me fit mouiller abondamment et je me masturbai longuement juste après.
Je lui envoyai les photographies et sa réponse me fit regretter son absence encore plus fort.
" Imaginez l'instant où nous nous retrouverons seuls. Je lécherai tout ce que je vois sur ces images, vous embrasserai partout, vous mordillerai les tétons, les lobes d'oreilles jusqu'à vous arracher des gémissements.
A cet instant seulement je poserai ma main sur votre sexe et glisserai un doigt en vous tout en vous mordant encore les seins.
Si vous gémissez plus fort, je mettrai un deuxième et peut être un troisième doigt.
Je vous retournerai sur le dos, afin d'avoir une vue imprenable sur votre magnifique cul. J'embrasserai votre dos jusqu'à la base de vos fesses et glisserai un autre doigt en vous tout en vous caressant encore.
Je vous ferai tellement d'effet que vous me supplierez de venir en vous, de vous accorder la caresse de ma bite.
Et quand je viendrai, vous ne le regretterez pas. "
Je me doigtai longuement en relisant ces mots.
J'arrivai chez lui plus excitée que jamais.
Il me fit le désirer pendant des heures, puis descendit finalement vers mon sexe.
Il lécha de haut en bas avant de me caresser le clitoris du bout de la langue. Alors que je commençai a gémir, il mis un doigt en moi.
Je respirai de plus en plus fort, laissant échapper des petits cris de plaisir. Lorsqu'il mit un deuxième, puis un troisième doigt dans mon sexe, mes gémissement se muèrent en suppliques.
" Je t'en prie, viens en moi avec ta queue, je veux te sentir. "
Il remonta le long de mon corps et j'attrapai sa bite dans ma main. Il me mordit le téton gauche tandis que je le branlai vigoureusement. Je mouillai, gémissait, le suppliait de s'introduire en moi.
Il me prit enfin, fis quelques va et viens, puis se retira et me retourna avec force. Il me pénétra en levrette et la sensation de profondeur m'arracha un cri.
" Baise moi, encore, oh oui, James ! "
Suite a venir
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