Le Nouvel Amant De Ma Femme Et Leur Cinéma
Ce nouvel amant deviendra un étalon régulier qu'elle rencontrera à de nombreuses reprises. Nous partons dans la banlieue de Colmar. Elle a été rasée préparée et je lui ai mis un rosebud dans le cul. Le scénario est fixé. Elle attendra dans la voiture, j'irai d'abord voir l'homme et ensuite je la conduirai dans la chambre à l'étage où il attendra les yeux bandés. Elle sera déshabillée en bas et préparée, yeux bandés également. Nous arrivons près de la maison, je vais m'assurer que les choses sont en ordre et vais la chercher. Elle enlève sa robe se trouve chatte à l'air, je lui bande les yeux et la guide dans les escaliers. Elle entre dans la chambre et s'approche de l'homme. Ils ne peuvent que se sentir avec les doigts. Ils ont les yeux bandés et ne se sont jamais vu avant. Très vite, il lui mets la main sur la chatte et elle se cambre. Je photographie et leur permets de se découvrir avec les lèvres. Elle veut le sucer et se penche sur sa queue qu'il a plus grosse que la mienne. Je n'existe plus pour eux. ils s'enfoncent dans la découverte de l'autre et deviennent de plus en plus chiens. Il la pousse sur le lit, et met sa queue dans sa bouche alors qu'il lui bouffe sa chatte trempée. Il la retourne et elle suit cet amant qu'elle n'a toujours pas vu dans tous ces désirs. Il la pénètre puissamment, lui force les cuisses, l'embrasse à pleine bouche, lui bave toute sa salive sur sa langue, il la lèche, lui laboure avec ses lèvres la raie de son cul et revient lui mordiller la chatte. Enfin il retire le rosebud et d'un coup de rein, l'encule jusqu'aux testicules. Je lui avais dit qu'elle finirait par se faire prendre par le cul, car elle est adepte inconditionnelle de cette jouissance. A tel point qu'elle s'est déjà livrée à plusieurs hommes uniquement par son anus. mais je vous raconterai ça une autre fois. Après leur jouissance, on a passé un moment ensemble pour boire une coupe de champagne et faire connaissance autrement. En partant, il l'a embrassée langoureusement, a passé sa main sur sa chatte et elle s'est laissée faire comme une pute.
J'allais enfin grâce à N. réaliser un plan qui me trottait dans la tête depuis un moment. Jusquà présent, ELLE avait reçu ses amants en ma présence ou alors elle les avait rencontré dans des soirées libertines. Mais javais envie de la livrer seule à un homme et de satisfaire mon candaulisme voyeur en posant une caméra dans la pièce et en la laissant seule avec son étalon. ELLE fut dabord réticente, car elle ny voyait pas vraiment davantage par rapport à la situation normale et elle avait aussi peur que la rencontre tourne mal.
Jai donc pris contact avec N., un amant régulier quelle appréciait pour ses performances et avec lequel elle adorait baiser et qui la faisait bien jouir.
Il accepta et on se mit daccord sur un scénario : je la conduirais chez lui, il aurait les yeux bandés serait assis sur le canapé. Je la conduirais alors dans une pièce pour quelle se change et lamènerais ensuite vers lui yeux bandés. Pendant quelle se déshabillerait, jinstallerais la caméra pour la mettre en route au moment où elle le rejoindrait. Et je quitterais la maison pour une heure pour y revenir et terminer la soirée.
Restait à convaincre la petite renarde ! Je nai pas dû pousser bien fort, car lidée avait fait son chemin et le fait quelle serait avec N. était rassurant. Et de toute façon, elle est dabord sur ses gardes, mais son naturel immoral et dépravé revient vite au galop et elle fantasme rapidement.
La date avait été fixée, un soir en semaine à 20h00. Les libertins sont toujours très ponctuels, pas avant et pas après.
Elle avait son petit sac daccessoires et ses habits érotiques. Nous nous garâmes devant la maison de N.
Jallai ensuite la chercher et la guidai vers la place à côté de lui. Elle avait un haut noir qui cachait ses seins était sinon cul nul avec des bas noirs et des escarpins noirs également. Immédiatement, ils se cherchèrent avec leurs mains et leurs bouches et mélangèrent leurs langues comme si ils navaient attendu que ce moment-là depuis des lustres.
Elle avait ouvert ses cuisses et il la palpa directement à lentrejambe. Je décidai donc de réaliser le plan et pris congé en lui caressant la joue. Elle était bien trop occupée pour réagir et je partis avec le sentiment agréable dêtre assez inutile dans ce qui allait se passer.
Je pris la voiture et cherchai en zone commerciale près de Colmar un magasin dans lequel nous voulions acheter des meubles. Pendant que je regardais les vitrines, jessayais dimaginer ce quils faisaient. Je dois dire que je ressentais un immense plaisir à savoir quELLE se faisait baiser et quelle se donnait sans retenue, sa bouche, sa chatte, son cul, quelle dégustait cet étalon avec lequel elle était en symbiose corporelle parfaite comme une maîtresse, une pute ou une salope trompant son mari. Sauf que jétais consentant et que je lavais voulu.
Ce qui se passa, je lai vu après en visionnant le film et je le raconterai plus tard. En revenant une heure après, je les vis sur le canapé sembrassant goulûment . elle était allongée et lui était penché sur elle lui mordant la bouche, bouffant la pointe de ses seins et lui palpant son ventre offert. Elle avait un godemiché fiché dans son cul et ressemblait à une pouliche, car celui-ci avait une queue de cheval. Lépaisseur des lèvres de sa chatte et le trou béant laissé par la grosse queue de N.
Je nexistais pas. Je vins masseoir sur un fauteuil et restai là à les regarder. Jarrêtai ensuite la caméra et ils reprirent leurs esprits, se relevèrent, gorgés de sexe. N. ouvrit du champagne et nous discutâmes gentiment de tout et de rien. Puis je lui demandai de nous montrer ses orifices, ce quelle fit volontiers, ouvrant ses lèvres en grand et laissant voir le rose de son vagin. N. fut bientôt debout, se colla à elle et lembrassa à pleine bouche en lui caressant les fesses et en la tenant serrée contre lui. Il lentraîna alors à létage en la faisant passer devant lui pour pouvoir mater ses fesses. Au milieu de lescalier, elle sarrêta et ouvrit ses cuisses, tendit ses fesses pour quil voie bien ses orifices. Ils furent bientôt dans la chambre, où il le coucha sur le lit. Elle prit alors sa queue entre ses pieds et la masturba longuement pour bien la durcir avant la chevauchée dont on voyait à louverture de ses trous quelle en avait grande envie.
Elle sallongea sur le dos et il enfila son gros dard capoté lentement, lentement dans son vagin avide de le recevoir puis sallongea complètement sur elle et entreprit de la baiser à grands coups de bite profonds, sarrêtant régulièrement au fond de son vagin en tournant ses hanches pour bien lélargir.
Il la mit ensuite en levrette et simmisça entre ses fesses rondes et avenantes et lui embrocha le trou du cul. Elle gémissait fort et sa gorge rendait le son des coups de son amant dans son sphincter.
Ça dura longtemps et jobservais combien elle avait besoin de ces amants qui lui procuraient des plaisirs que je ne pouvais lui donner et jaimais la façon spontanée, libre et sans retenue avec laquelle elle soffrait. Je nexistais pas dans ces moments-là et jen étais heureux. Le bénéfice pour notre couple était sans commune mesure avec les quelques frissons que je ressentais parfois de ne pouvoir la contenter de la même façon que N.
Nous repartîmes dans la nuit, après quil leut caressée sous sa robe, empaumant sa moule grasse de ses jouissances et épaisse de laction de sa belle queue.
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