Leslie An12
Leslie AN12 - Anastasia, week-end à Epernay, petite coquine, suite
Anastasia continue sa confidence :
« Le lendemain matin, je suis au salon, bien assise sur le sofa. Il est venu me rejoindre et jai senti mes joues devenir chaudes et ma tête sest mise à tourner dans lattente de voir apparaitre Benoît.
Je lai vu arriver sortant de sa chambre et je lui ai demandé maladroitement :
- Ça va toi ?
- Oui, ça va, tout roule ! Tu regardais la télé ?
- Oui. Enfin pas vraiment, je passe dune chaîne à lautre
- Ah bon. Tas déjeuné !
- Oui, il y a un instant.
Dans létat dans lequel jétais, je ne pouvais mempêcher de regarder son entrejambe et je me suis aperçu que son boxer laissait entrevoir une bosse, visiblement son sexe nétait pas complètement ramolli, peut-être venait-il de se donner un peu de plaisir de bonne heure ce matin, le vicieux.
En prenant son petit déjeuner, il ne cessait de me regarder avec un drôle de regard, je sentais comme des désirs en lui, bien que la veille au soir javais rêvé quil me regardait me donner du plaisir, là à cet instant, je me sentais gênée de son regard sur moi.
Alors pour le forcer à arrêter de me mâter comme un malade, je lui ai dit :
- Tu sais, tu peux inviter des filles de temps en temps quand je suis là cela ne me pose pas de problème.
En le regardant, à ses yeux, jai regretté ce que je venais de dire et la suite me prouva que javais raison.
- Je nen vois pas lintérêt pour linstant et de plus jai dautres projets
- Des projets et quoi comme projets ?
- Pourquoi tu penses que je tinvite aussi souvent ?
Sans le laisser le temps de répondre il enclenche un film dans le lecteur en me disant :
- Tiens regarde, ça va texciter !
Puis aussitôt il sest assis à mes côtés sur le sofa. Je me sentais bizarre, légèrement gênée par la situation. Dans le film, on voyait un couple baiser avec des plans très explicites.
- Ça texcite ? Petite coquine !
Je nai rien répondu. Mes yeux fixaient lécran et jai constaté que la bite du mec, aux dimensions respectables, pénétrait la femme avec vigueur. Javoue que je sentais monter en moi une excitation et que je mouillais, quant à Benoît, il était de plus en plus en plus agité à mes côtés ?
- Javoue que je commence à me sentir à létroit dans mon boxer, me dit-il.
Et le plus naturellement, il a sorti son sexe dressé pour me le présenter en disant :
- Tu vois je bande pour toi car jai envie de toi et je voudrais te faire lamour.
Je me suis levé et je suis sorti de la pièce en lui disant :
- Tu es fou. »
« Voilà nous dit Anastasia, après cela jai été dans ma chambre, jai fait mon sac et je suis partie de chez Benoît. Cest Delphine, qui ma consolé et qui hier ma téléphoné pour me dire de venir chez Benoît pour passer le week-end.
Comme jai confiance en Delphine je suis venue, mais je pense que ce week-end, ne sera pas commun, dailleurs Delphine ma déjà prévenue et quil est bien possible que durant les jours prochains je devienne une femme ! »
Nous avons repris notre ballade, guidées par Anastasia, puis ce nest quensuite, alors que nous étions installées à la terrasse dun café, quAnastasia nous confia :
« En fait pendant les séjours chez lui, Benoît, en profitait pour me parler de sa vie, cest comme cela que jai appris certaines choses sur son passé.
Il a été initié dès sa majorité aux plaisirs de lamour physique par deux femmes plus âgées que lui, mais laventure ne dura pas longtemps, les deux femmes déménagèrent et Benoît se retrouva un peu perdu, seul sans femme pour assouvir ses pulsions sexuelles.
Benoît, à cette époque, avait une amie très délurée, celle-ci avait de nombreuses aventures avec les copains de Benoît et était considéré comme une belle salope.
Benoît, la voyait peu, mais suite au départ de ses deux initiatrices, il prit contact avec Carole, son amie, avec une petite idée, car il savait quelle laurait bien, depuis longtemps, conduit dans son lit pour passer quelques après-midi coquins.
Alors un jour après lui avoir téléphoné pour lui demander si elle voulait le revoir, il se rendit chez elle. Carole ne lui avait pas caché sa joie de le recevoir et lui dit quils allaient passer un bon après-midi ensemble.
Elle habitait dans une petite rue du centre-ville et il la trouva chez elle, alors que les parents nétaient pas là.
La fille aux cheveux noirs et aux yeux verts, lui ouvrit en corsage ouvert, qui laissait entrevoir sa petite poitrine déjà formée et ses longues jambes nues étaient dans des bottes de cuir blanches, ce qui fit battre le cur de Benoît, la trouva charmante et désirable.
Carole ne sembarrassa pas de palabres, elle expliqua à Benoît quelle était en manque de sexe et quelle baiserait bien avec lui, alors elle lemmena directement dans sa chambre.
Il la suivit dans lescalier menant à sa chambre, fasciné par les longues jambes gainées de cuir blanc, et tout en haut lamorce du slip rouge qui apparaissait au gré du balancement de la mini-jupe.
Quelques minutes plus tard, ils étaient tous deux dans une chambre de Carole, dont le lit prêt, nattendait plus queux.
- Ne perdons pas de temps, dis Carole, déshabillons-nous et ensuite on se mettra dans les draps.
- Ok, dis Benoît.
- Tes puceau ? Demanda Carole.
- Non !
- Bon, alors jespère que tes un bon coup car cela fait un moment que je te désire, allez allonges-toi que je moccupe de toi et te fasse bien bander !
Aussitôt allongés, Carole commença ses caresses et Benoît commença à avoir une érection plus quhonorable.
- Tu veux que je te suce ? Demanda Carole.
- Jadorerais ça ! Répondit Benoît.
Carole prit le sexe de Benoît entre ses lèvres et commença à le sucer, puis cessant un instant elle dit :
- Eh bien, tes bien monté mon salaud, jaurais dû te brancher plus tôt.
Et elle sempara à nouveau du sexe qui avait légèrement baissé la tête et se mit à le sucer avec application.
Carole noyait de salive toute la verge quelle senfonçait ensuite jusquau gosier, frottant la chair violacée contre son palais. Ses cheveux croulant autour de son visage balayaient le ventre de Benoît, créant des ondes de frissons qui partaient en cercles concentriques pour se répandre dans tout son corps.
Benoît avait empaumé un sein ferme et jouait avec un mamelon qui durcissait doucement sous ses doigts. Sa bite était maintenant au comble de lexcitation et la pipe que pratiquait Carole commençait à léchauffer plus que sérieusement.
Carole, arrête un peu sinon je vais décharger dans ta bouche !
Elle abandonna la verge bien raide et se plaça à genoux au-dessus du corps de Benoît.
- Tu vas me faire jouir comme une reine avec ta grosse queue !
Prestement elle mit deux doigts dans sa bouche, les mouilla de salive et les porta entre ses cuisses pour humidifier lentrée du vagin. Puis elle prit le sexe de Benoît, le redressa jusquà ce quil touche la fente et doucement sabaissa dessus.
Lentement la queue de Benoît pénétra dans cet antre chaud, sentant tous les détails de lintérieur de Carole, Benoît soupira de plaisir. Puis Carole sanima, montant et descendant sur un rythme lent au début.
Benoît caressait les seins de Carole pendant quelle se pénétrait à son rythme sur la queue de son amant, et après quelques minutes de ce traitement elle se mit à gémir et à prendre un début de plaisir.
- Ah ! Mon salaud, tu as une bonne queue, elle remplit bien ma chatte. Je sens que je vais jouir
Ça vient
Oh cest bon ! Cest merveilleux !
Benoît stimulé par les mots de Carole, se mit à bouger sous la fille, forçant sa queue dans le fond du vagin. Carole hurlait de plaisir et ses cris redoublèrent quand Benoit lentraina dans une roulade pour se retrouver au-dessus delle et la pénétrer avec force et plus profondément.
Bientôt, trop excité par cette petite salope et les couilles trop pleines, Benoît sentit le plaisir sannoncer, monter et son éjaculation vint dun coup, remplissant de son sperme lintérieur de Carole. »
A suivre
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