Leslie An13

Leslie AN13 - Anastasia, week-end à Epernay, t’tite Anastasia, raconte

Je sens dans le récit d’Anastasia beaucoup d’émotion et de trouble, mais elle continue de raconter :
« Après m’avoir raconté son aventure avec Carole, je sentais Benoît très excité, et il n’arrêtait pas de me regarder avec insistance, je dirais même qu’il était prêt à me sauter dessus, ce jour-là je n’ai pas compris ce qui se passait, ce n’est que juste après l’avoir démasqué se branlant devant ma photo que j’ai pris conscience que Benoît désirait me sauter, et que même si je m’étais laissé aller en laissant parler mes désirs et me masturbant en rêvant de me donner à un homme, j’ai eu peur, ce qui a motivé mon départ de chez lui.

Dans les jours qui suivirent, je n’ai pas arrêté de me masturber, je devenais accroc au plaisir et plus je prenais du plaisir et plus j’avais envie d’aller plus loin.
J’ai commencé à aller sur des sites pour chercher des accessoires et un jour je suis partie en ville m’acheter un gode pour m’accompagner dans mes plaisirs solitaires.

C’est en sortant du sex-shop, le lapin blanc, après avoir fait mon achat, que non loin de là, j’ai rencontré Benoît.
- Anastasia, mais… Qu’est-ce que tu fais là ?
- Moi, rien ! Je me ballade. Et toi ?
- Drôle d’endroit pour se balader, tu fréquentes le sex-shop ?
- Pourquoi ça t’intéresse ?
- Ben, oui, je me pose la question !
- Ecoutes Benoît, j’ai ma vie et mes secrets et je n’ai pas envie de t’expliquer.
- Ok petite coquine, je te laisse en espérant qu’un jour tu me confie ce petit secret.
En m’éloignant les pensées se bousculaient dans sa tête, savoir que Benoît m’avait trouvé non loin de l’établissement me mettait mal à l’aise et montrait, certainement, aux yeux de Benoît, que je n’étais pas la petite innocente que je voulais être…
Etait-il maintenant possible, moi cette fille bien foutue que les mecs du lycée draguaient en espérant me baiser un jour, ne suscite pas l’envie et les désirs.


Mais en fait, rapidement les pensées se sont envolées, car je n’avais qu’un hâte, celle de rentrer à la maison, m’enfermer dans ma chambre et essayer mon nouveau compagnon de jeu… »

C’est à cet instant qu’Aurélie posa une question à Anastasia :
- Et ce nouvel ami, tu t’entends bien avec lui ?
- Ohhh oui, réponds Anastasia, mais je n’en dirais pas plus…
- Nous aurions bien aimé, avec Leslie, que nous en dise un peu plus, dit Aurélie.
- Alors je vais vous raconter la suite, nous dit Anastasia.

« Quand je suis rentré chez moi, je me suis aussitôt enfermée dans ma chambre et je me suis masturber, puis j’ai utilisé le gode et je me suis fait jouir comme une folle, c’était trop bon et ensuite je l’ai souvent utilisé, délaissant quelque peu mes études.
Mais peu de temps après, mon Père, voyant mes résultats scolaires, décida de me mettre en pension chez les sœurs en pleine campagne pour la fin de l’année avant de passer mon bac, j’étais désespérée, je me retrouvais seule ans amis, alors pour passer le temps, je me contentais seule le soir dans le noir avec mes doigts et mon gode.
Puis, je me suis fait une amie, comme nous nous entendions bien nous passions la plus part du temps ensemble, c’est ainsi que, peu de temps après nous sentant attirée l’une par l’autre, nous avons demandé à être dans la même chambre pour être encore plus souvent ensemble et avoir un peu plus d’intimité.

Je n’avais jamais été avec une fille et donc je n’avais pas une grande expérience des femmes et ce que deux femmes pouvaient faire ensemble, mais Eva paraissait avoir de l’expérience, alors je décidais de me laisser guider.
Je savais que les garçons s’intéressaient très sérieusement à mon corps, et qu’ils me reluquaient, mais je n’avais jamais eu de flirts, je n’avais jamais été peloté, sinon que par mes propres mains, et j’avais acquis une certaine expérience dans le domaine de me donner du plaisir toute seule, et j’adorais ça.


Un soir en chahutant avec elle dans notre chambre, je constatais qu’Eva me frôlait le corps de ses doigts de façon très précise et que ses yeux regardaient mes cuisses largement découvertes et ouvertes laissant apparaitre ma culotte, elle était comme excitée et d’une voie douce elle m’a proposé de nous déshabiller toutes les deux afin d’être nues l’une devant l’autre.
Une fois nues, nous avons regardé nos corps, puis Eva prit l’initiative en touchant mes seins, puis ma toison pubienne. Sa caresse fut légère et je me mis à frissonner de tout mon corps. Doucement je me mis à mon tour à la caresser.
Elle avait la peau était douce et je pris plaisir à la caresser doucement tandis que je la sentais palpiter comme un petit oiseau.

Vous vous doutez bien qu’il ne fallut pas bien longtemps pour qu’elle frissonne sous mes caresses, pendant qu’Eva de son côté s’attardait, avec sa bouche sur mes seins et commençait de me branler la chatte de ses doigts agiles.
Elle me guidait en même temps, m’obligeant à enfoncer un doigt dans sa vulve. Puis elle se mit alors à jouer avec mon clitoris tandis que de mon côté je lui caressais le sien avec insistance.
Excitées comme nous l’étions, cela ne dura pas. Je sentis le corps d’Eva se raidir et elle se mit à hurler sa jouissance, puis se fut mon tour.

Comme nous étions l’une près de l’autre, ses lèvres se collèrent au miennes et sa langue força ma bouche, le baiser fut long et profond, j’étais ravie.
Ce fut notre première expérience, nous recommençâmes souvent, mais je ne permis jamais qu’Eva utilise le gode sur moi. Au fil de nos jeux nous avons varié les façons de faire, mais toujours je prenais un vrai plaisir à voir Eva jouir.

Puis un jour Eva en me faisant l’amour, me dit que j’étais une petite vicieuse, et qu’elle adorait être avec moi et me voir jouir, mais que je ne me laissait pas assez aller.
Surprise au début par le ton, et excitée par ses propos, je sentais en moi un nouveau plaisir m’envahir, alors je décidais de me laisser aller dans les bras de mon amante.


Elle m’allongea sur son lit et commença à m’embrasser à pleine bouche en me doigtant la vulve avec adresse, je ne fus pas longue à me mettre à gémir car je sentais une douce chaleur envahir mon ventre et mon intimité.
- Petite salope, me dit Eva, on dirait que je te fais jouir….
J’étais dans un état second, proche de l’orgasme. Elle continuait de me caresser la chatte et frottait mon clito avec insistance.
- Écarte bien tes cuisses, me dit-elle.
Puis sans que je puisse faire quoi que ce soit, elle présenta le bout de mon gode à l’entrée de ma fente et l’introduisit dedans. Au début ce fut facile, car j’étais bien humide à cet endroit et je m’étais habituée à le faire seule.
Puis l’étroitesse de ma petite chatte l’empêcha d’aller plus loin, elle arrêta la progression et retira le gode à ma demande.

Mais presque aussitôt elle le mit sur mon petit œillet plissé et poussa un grand coup, j’ai ressentis qu’une légère douleur, amis elle m’a enfoncé le gode jusqu’à la garde et se mit à me limer le cul avec force, faisant entrer et sortir le pieu de latex qui m’empalait le cul.
Je le sentais bien et Eva prenait un malin plaisir de me l’enfoncer bien à fond.
Un de ses doigts me titillait le clito pour me faire oublier la douleur qui s’estompait peu à peu, je sentais une forte chaleur m’envahir, tandis qu’elle me disait des mots obscènes :
- Petite chérie, je t’encule, tu sens le gode te bourrer le cul et t’aime ça, quelle salope tu fais, tu es de la race de celle qui aime le cul et tu vas jouir comme une reine.
J’avais en effet un orgasme géant. Je n’avais jamais joui du cul, je me tordais de plaisir sous l’introduction du gode dans mon cul
J’ai jouis comme une folle en m’évanouissant presque et nous nous sommes endormies.
On a recommencé souvent, en premier Eva m’enculait avec le gode, puis elle m’offrait son cul à son tour pour que je l’encule. »
- En fait, dis Aurélie, t’es toujours vierge, mais pas du cul !
- Oui, dis-je, mais plus pour longtemps, je crois.


A suivre…

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