A L'Hopital
Mon séjour à lhôpital
Javais dix-sept ans lorsque jai eu un grave accident, résultat : hospitalisation, alité pendant trois mois, fauteuil roulant six mois mais toujours à lhôpital. Pendant que je suis alité j'imagine des histoires de copines qui me sucent parce que je joue la carte du malheureux qui na plus de fréquentation et que dans létat où je suis cela nait plus possible, je leur avoue que je suis contraint de me masturber dans des mouchoirs la nuit tombée etc. ..
J'ose alors tester mon baratin et un phénomène extraordinaire se produit : les bonnes filles quelles sont, se sentent investi dune mission de secours ou dinfirmière, peut être de pitié aussi, enfin cela marche et jen profite !
Lhistoire que je veux vous compter se passe la nuit dans cet hôpital, je vous passe les histoires croustillantes entre les docteurs, infirmières, aide-soignant, tout ce petit monde de la nuit hospitalière ne sennuie pas ! Pour ma part après ma sortie nocturne non autorisée sur mon fauteuil je rentre dans ma chambre bien décider à me branler en pensant à ces femmes qui se penchent pour nous dévoiler leur décolleté, leur marque de string, de culotte brésilienne, et pour les plus sages des sous-vêtements en coton blanc, donc je minstalle, laisse la veilleuse allumée ferme les yeux et commence mon jeu solitaire, mon pénis gonfle doucement, je crache dans la paume de ma main pour enduire ma colonne, je me masturbe comme une petite salope qui passe me voir les après-midi après leurs cours... je suis bien, je sens la jouissance qui monte le point de non-retour est là, mais la porte souvre... Je remets le drap en un temps éclair, je ferme les yeux faisant semblant de dormir, cétait linfirmière de nuit pour la piqure, elle fait silence pour ne pas me réveiller, elle sapproche du lit et tire le drap jusquà mon bas-ventre, mon pénis étant en érection gêne la descente du tissu. Sans réfléchir la femme insiste et découvre ma bite au garde-à-vous.
Je ne savais plus où me mettre, le lendemain je questionnai les infirmières de jour pour avoir des infos sur la belle de nuit, on me répond que cest la nouvelle qui remplace la titulaire partie en congé maternité. Le soir même je mefforce de ne pas dormir pour attendre ma piqueuse, je fantasmai sur sa silhouette, ces cheveux, ces formes que jimaginais généreuses, mais je mendormis avant quelle ne passe, je me réveillai en sentant laiguille, jouvre péniblement les yeux et là japerçois une créature divine, elle était blonde, joli visage, un corps athlétique, dans le décolleter de sa blouse dinfirmière une poitrine qui pourrait faire bander un mort, à peine je veux lui dire un mot quelle se retourna pour sortir de la pièce.
Zut ! Raté, ce soir je serais plus vaillant et attendrai sa venue...
La nuit tombée je me prépare à recevoir mon invité imposée, je relève mon lit, zappe de chaine en chaine, tombe sur une émission érotique de nuit, je la regarde bien sûr et me mets à bander, je glisse ma main sous les draps et me touche la verge, je vous le donne en mille, elle entre, oups ! je lui dis que je ne suis pas disponible et dois repasser plus tard, elle me répond quelle na pas que çà à faire et sapproche de moi en regardant la télévision, je ne vous dis pas la honte à dix-sept ans se faire prendre à se masturber ! Enfin la blonde agrippe le couvre lit et le tire vers le bas et bien sûr découvre ma colonne raide, jai vu dans ces yeux quelle l'avait fait exprès et pour ne pas perdre la face je lui dis « vous avez insisté ». Elle prépare la seringue et en me piquant répond « faut pas vous inquiéter, dans mon métier on voit de tout et on se doute bien quun jeune homme qui reçoit des filles dans laprès-midi ne joue pas aux cartes avec. » je la regarde interrogateur elle poursuit quelle aime bien savoir à qui elle a faire et que dans le service je suis le beau gosse qui reçoit beaucoup de filles.
Au bout dun moment nous commençons à parler de nos vies, à mon habitude je déconne sur notre première rencontre qui nétait pas habituelle, je souligne que je fais plus attention quand lon vient me soulager, parfois cest elle qui demande si jai eu de la visite, je rétorque pas aujourdhui, jattendais que tu passes pour me délester, enfin les échanges se faisaient de plus en plus précis, plus émoussé et surtout plus sexy.
Jusquun soir après quelques paroles aux allusions sexuelles, elle sortit en disant : dommage... Je lui avais dit quelle ne me surprendrait plus à me branler.
Alors un jeu commença entre nous, le premier soir je fin de dormir avec la main sur ma bite, elle ricana, le deuxième je bandais plus que la veille, elle souriait, et ajoutait que cétait mieux, je ne pouvais mempêcher de rire aussi et lui dit quelle aussi elle devait jouer avec moi, le soir suivant elle arriva la blouse très ouverte et se pencha pour me dévoiler sa poitrine, je bandais très fort, le lendemain le vêtement était aussi bien ouvert et il ny avait plus de sous-vêtements me dévoilant ses seins ronds et fermes, lorsquelle se pencha pour me piquer je lui mis la main dans son décolleté, elle dit « TE TEU ! Tu vas me déconcentrer. »
Et la nuit tant attendue arriva, elle entre se dirige vers le lit, je bande déjà, je place ma main sur le coin du lit de façon à ce quelle sappuie dessus pendant son ouvrage, elle ne bouge pas, attend, jarticule les doigts et je sens sa vulve à travers sa blouse et sa culotte, elle se retire, je me dis que cest raté, mais elle revient avec un coton enduit dalcool se replaçant au même endroit, ma main reprend de suite son jeu de marionnette, elle me caresse avec son coton très doucement, plus je la chatouille plus elle sapproche de ma bite, lorsque je passe entre deux boutons et lui écarte le sous-vêtement pour lui introduire le majeur dans sa vente humide elle saisit ma bite et me dit « ce soir, cest moi qui moccupe de toi.
Lorsquelle revient je métais endormi, la délicate demoiselle sest approché doucement, glisse sa main sous le drap, saisi ma queue ramollie et commence à me branler, je sens une agréable sensation, jouvre les yeux et je la vois la blouse ouverte se caressant la chatte lorsquelle voit que je suis réveillé elle tire sur le drap, ma bite apparaît raide comme la justice, elle lengloutit en un seul coup la ressortit de sa bouche et me dit quelle a le minou qui lui brule tellement elle a envie de se faire défoncer, je lui réponds de grimper sur le lit et de menjamber pour sempaler sur mon pieux, vu que jai un plâtre du bout des orteils au haut de la cuisse, elle bouche son bassin en avant en arrière, je la sens bien, elle me dit que je suis profond en elle, dun bond elle inverse la position. Maintenant jai son dos en visuel et je remarque une tête de lapin playboy tatoué en bas des reins, cela mexiste encore plus, elle a saisi le barreau du lit et monte, descend sur ma queue, ce qui la fait gémir de plaisir, elle jouit en silence en couinant pour ne pas faire de bruit et continu son va et vient lentement ce qui me fait jouir à mon tour.
Pendant ce séjour à lhôpital mes nuits furent longues et les jours plus courts.
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