Mon Second Amant (1)
La vérité, c'est que ma première aventure fut une révélation. Beaucoup de frustrations, d'envies laissées de côté. J'avais passé plus de temps à donner du plaisir qu'à en prendre. Et pourtant, bien que coupable, je me sentais légère, et comme un fauve, prête à me relancer dans l'arène. Il fallait donc trouver un nouveau partenaire.
Je commençais par faire abstraction des relances d'Alex. Bien que l'envie était forte, et que mon premier amant avait au moins pour qualité de faire les choses vite, je rêvais à une rencontre plus torride et sensuelle. J'entrepris donc de chercher dans mon entourage un candidat potentiel. Je me suis surpris également à faire attention aux petits gestes subtils du quotidien, pendant les courses devant l'école de mes s, etc...
Mon amour de mari, quant à lui, vivait probablement sur sa planète. De retour de séminaire, il me fit l'amour comme à laccoutumée, mais m'offrit un orgasme mémorable. Je crois que le pauvre n'y était pas pour grand chose, et que mes aventures m'avaient mise en condition. Mais il en tira une certaine fierté, que je le poussais dans cette direction. A dire vrai, mes amis, pendant un mois, je fus la plus épanouie des femmes, mais le quotidien reprit le dessus. Encore une fois...
C'est sur un tchat gratuit, que les meilleures pistes se concrétisèrent quelques semaines plus tard. Il avait fallut apprendre à maîtriser ce nouveau langage. J'étais donc une 'MILF' en recherche d'un amant, et cette image attisait tant de convoitises que je dus faire un tri sévère et sans appel. Il y a quelque chose d'excitant à incarner un fantasme chez beaucoup de jeunes, et je me laissais séduire par les mots de certains. Exit les travestis, les adolescents, les retraités, et les couples, mon dévolue se porta sur Seb, 30 ans, n'habitant pas très loin, mais pas non plus dans la même ville. Il avait su trouver les mots, prendre son temps, établir un lien. EN l'espace de 3 semaines, il avait fallu s'y résoudre, je l'appréciais énormément, tout du moins virtuellement.
Mais, nous étions d'accord sur un point, c'est que virtuel n'est pas réel. Seb était célibataire, et au moins avait du temps libre. Il cherchait l'amour, mais ne disait pas non aux plans cul. Ce à quoi j'avais répondu que j'étais la candidate idéale. Il est évident, au vue de la proportion de femmes sur ce genre de site, que j'avais toutes les cartes en main. Je choisis le lieu et l'horaire pour aller boire un café. Il s'arrangea avec son boulot, et nous nous retrouvâmes un vendredi en début d'après midi à un café, assez loin de chez nous, pour éviter d'être vu.
La rencontre fut très agréable. Seb était gentil et avait beaucoup d'humour. Il était surtout bien foutu, grand, visiblement sportif. Galant, il avait toutes les attentions pour moi. Je me sentais princesse. Il finit par me confier que je l'excitais beaucoup. Je me suis beaucoup amusé de cette fascination pour les "milf". Mais 30 était l'âge idéal. Pour seb, le plus important était de déterminer une approche pour me mettre dans son lit. C'était à la fois touchant et excitant. Rendez-vous fut prit chez lui, pour la semaine suivante. Nous nous séparâmes sur un long baiser à côté de nos voitures, et il en profita pour me saisir une fesse fermement. Je m'abandonnais dans ses bras, et le long baiser, fut bien plus agréable que la dernière fois.
Le mardi suivant (les mercredi étant proscrit), j'arrivais vers 10h du matin chez Seb. Il avait un studio, très petit, mais plutôt bien agencé, à 20 km de chez moi. Il avait fait un effort pour ranger, et faire le ménage apparemment ,ce que je trouvais touchant. Seb avait choisit de considérer qu'il recevait une dame. Il m'offrit un café, puis un apéritif, l'air de rien, nous discutions depuis déjà plus d'une heure. Le moment était agréable, et je me sentais sure de moi, très à l'aise.
Seb m'avait promis un massage à notre rencontre précédente, entre autres moments agréables. Il me servit un verre, et je me mis en position.
Je finissais de m'allonger sur le canapé convertible qui remplissait tous les usages dans le studio. Seb, dont les mains couraient sur mon corps, vint se positionner à quarte pattes au dessus de moi, une bosse dans son pantalon parfaitement au dessus de mon visage. C'est un peu fébrile, que je commençait à la caresser doucement à travers la toile.
Quant à mon amant, il avait déjà entrepris de me retirer mon jean, qui bloquait aux genoux. Comme promis, je n'avais pas mis de culotte, ce qui eu pour effet, de n'opposer aucune résistance, et d'offrir mon sexe épilé à ces caresses. Je défit les attaches de son pantalon, et son sexe libéré, jaillit d'un coup. Une belle queue, bien ferme, veineuse, bien droite, assez épaisse, pas très longue. Il baissa légèrement le bassin, pour m'inciter à entamer une fellation, ce que je fit sans me faire prier. Quant à lui, il chauffait littéralement mon clitoris, faisait ventouse avec sa bouche, puis lapait doucement mon con. Je mouillais abondamment. Rapidement, il changea de position, afin de se consacrer entièrement à moi, et ma bouche n'eut plus que pour fonction de gémir sous ses coups de langue.
Oui, c'était le pied, J'avais attendu ce moment là pendant des années m'avait il semblé. J'avais cruellement envie de lui ordonner de me bouffer la chatte avec les mots les plus crus que je connaissais, mais rien ne venait. Ses doigts me fouillaient, y compris l'anus, humide de ma mouille. J'étais au bord de l'orgasme, et je sentais déjà mes jambes me laisser tomber, quand Seb me prit par la taille, et entama de me pénétrer, lentement, comme pour bien me faire sentir chaque centimètre de son sexe entrant en moi.
Et je l'ai bien senti. Au bout de quelques va et vient, j'ai joui. J'ai joui fort, mouillant abondamment, avec la respiration rauque, et les jambes qui tremblent. Seb ne s'arrêta pas en si bon chemin, et se mit alors à me pilonner dans différentes positions. Et au bout de quelques minutes, il jouit en moi. Instant magnifique. Je me sentais complètement épanouie.
Seb commanda une pizza, et remis le couvert après manger. Il me baisa plus longuement, me sodomisa longtemps, et m'embrassa partout. Il resta après, pendant plus d'une heure à me caresser doucement, pendant que je somnolais à moitié par terre. Arrivé à 16h, je du me rhabiller, et déguerpir à toute vitesse.
Le reste de la soirée, je n'étais pas vraiment là, encore un peu dans les nuages. Quand mon mari vint se coucher, j'entrepris de le sucer goulûment, comme pour finir la journée dignement. Le gourmand profita du moment, et au moment de m'annoncer son orgasme, je maintenais fermement son sexe dans ma bouche, et encaissa les jets de sperme.
Après ça, j'ai super bien dormis...
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