Angélique

Couché dans ma chambre pendant que je suis seul à la maison, j’aime me faire du bien. Je n’ai pas encore connu de fille. J’imagine fort bien ce que je ferais. J’ai tous mes fantasmes tournés vers Angélique, une vague cousine qui vient assez souvent chez moi. Si je rêve sur son corps, c’est que je n’ai pas tellement de point de comparaison : les seuls filles que je connais sont dans le même lycée que moi : je les trouve ou charmantes ou bêtes, plutôt bêtes. Aucune ne me donne envie d’elle avec les quelques boutons d’acné qui les défigure.
Bref je suis bien sur mon lit, les jambes à peine écartées la pine bien droite, ma main sur elle. Je la fais aller et venir lentement au début pour poursuivre rapidement vers la fin pour bien jouir. Aujourd’hui j’ai un journal de cul. Je vois des photos de filles nues montrant toutes leur con ouvert et d’autres où des couples se font l’amour : les hommes ont tous les bites qui sont hors norme.
La première goutte a coulé depuis ma prostate, je ne vais pas tarder à jeter mon sperme. Soudain un bruit qui me fait lever la tête, en un éclair il me semble que ma mère va me surprendre. Elle doit bien se douter que je me masturbe à cause des tâches sur mon slip. J’ouvre les yeux : c’est Angélique qui ouvre la porte : je n’ai pas le temps de me cacher. Elle me regarde d’abords d’un air sérieux puis attentif :
- Tu as une belle queue.
- Tu la voudrais ?
- Je ne dis pas non, dans la bouche.
- Tu me ferais un pompier ?
- Tu ne serais pas le premier que je sucerais.
- Si tu veux.
Je prends l’air d’un vieux routier.
- Vas-y, suce-moi pour comparer.
Elle n’hésite pas à me demander de me mettre tout nu. Je dois rougir, pourtant je me remets un peu.
- Comme ça je préfère, je te verrais en entier, c’est plus excitant et pour toi et pour moi.
- Et toi, tu reste habillée ?
- Non je vais me mettre à tes cotés nue comme toi.
Je suis donc couché avec une jolie fille à mes cotés.

Je rebande normalement. Pour tenir parole il faut qu’elle passe sa tête aux pieds. D’un souple mouvement elle est juste à la hauteur de ma queue. Angélique se met sur le ventre, lève sa tête pour être comme il faut un peu plus tard. Elle prend ma pine dans une main. Rien que cette prise me donne encore plus envie de jouir. Je lève la tête pour bien voir comment elle fait.
Sa bouche s’ouvre sur ma bite, une main prend ma queue pour la tenir, à hauteur de mon bas ventre. Elle tire sur la peau de la queue, mon prépuce descend. Je pensais qu’elle allait tout mettre dans la bouche. Non, elle me lèche le gland. Je ferme les yeux de bonheur. Je ne pense plus à rien. Ses lèvres entourent mon gland. Elle le fait entrer dans la bouche mouillée très lentement. Je sens pour la première fois un plaisir que je n’imaginais pas. Elle enserre ma bite jusqu’aux replis du gland vers la bite. Elle revient en arrière pour recommencer. Enfin sa langue vient léger le gland, justement là où elle m’a donné tant de plaisir. Elle fait lentement monter et descendre la peau qu’elle avait dans la main.
C’est la première fois qu’une fille me donne une fellation. Je vais jouir dans sa bouche c’est inévitable. Pour une fois mon jus ne coulera pas sur mon ventre. Je ne sais pas ce qu’elle dira, je m’en fiche elle m’aura donné ce que je mérite.
Elle arrête alors que j’étais sur le chemin d’un orgasme parfait. Angélique m’enjambe pour mettre son sexe sur ma bouche. C’est la première chatte que je sois, encore plus de près. Je me sans durcir encore.
- A tout tour cousin de me lécher.
Je suis d’abord surpris du gout de sa chatte et de son odeur. Il n’y a rien d’extraordinaire : elle sent la femme simplement.
Mais comment et où lécher. Pourtant je l’ai vu dans un de mes journaux de cul. Je me lance en cherchant partout dans son magnifique con l’endroit où elle aimera que je la lèche.
Elle ne peut rien dire puisqu’elle a repris ma queue dans la bouche. Par ses mouvement je devine où je dois aller.
Je sais quand même comment est faite une fille. Je trouve un endroit parfait que je nomme clitoris. C’est bien là : quand je sors complètement ma langue que je lèche l’endroit, elle gémit en se tortillant. Je continue mes pensées axées uniquement sur ce que je fais. Du coup j’oublie un peu le plaisir de ma queue. Je sens quand même monter mon sperme. Il fait plus que monter : je jouis comme elle. Chacun sens l’orgasme de l’autre avec ses lèvres. Je reçois dans la bouche une bonne partie de son jus comme elle reçoit ton mon sperme.
Elle revient en position normale, la bouche pleine de sperme, me regarde dans les yeux pour avaler tout ce que je lui ai donné. Angélique m’embrasse ensuite. J’ai nos gouts mélangés dans ma bouche. Je suis un peu écœuré et j’ai jouis.
- Tu m’as donné un drôle de plaisir cousine.
- Je sais tu as jouis comme j’aime, dans ma bouche.
- Tu veux recommencer ?
- Oui, mais pas comme ça. Quand tu banderas te me la mettras où tu voudras, dans le cul ou la chatte.
- J’aimerai les deux.
- Gourmand, tu es comme moi je la veux devant et derrière.
- Dis-moi depuis quand tu baises ?
- Depuis que je me suis fais surprendre pas une copine et son copain quand j’avais tout juste une quinzaine d’année, et depuis, je baise souvent. Quand je n’ai personne avec qui baiser, je me branle comme toi. Tu veux que je te montre ?
Sans attendre que je réponde, sa main est déjà sur sa chatte. Je vois qu’Angélique écarte bien les lèvres, se mouille les doigts dans sa moule avant de passer rapidement deux doigts sur le clitoris. Elle ferme les yeux pour profiter du plaisir. Elle me fait bander encore plus fort. Le regarde intensément ses doigts aller et venir sur sa chatte. Elle gémit quand elle caresse un sein. Je la vois se tendre comme si elle avait attrapé une prise électrique. Elle soupire fortement en jouissant. Je suis étonné de l’avoir vu se branler devant moi ainsi.
J’ai une grande surprise quand elle me prend encore la bite dans sa main.
Elle me branle avec la même main qui l’a faire jouir. J’aller l’arrêter quand elle vient sur moi se met à cheval que mon bas ventre : je sens sa moule contre ma bite. Elle bouger pour prendre du plaisir et m’en donner. Enfin elle prend ma bite à pleine main pour la loger dans son joli con. En se laissant aller, ma queue entre toute seule tellement elle est mouillée. Nous faisons les mêmes mouvements de baise.
Ma chère Angélique me dépucèle sans problème. Je me retiens inutilement : elle jouit avant moi. Elle se soulève complètement pour que je la lui mette dans le cul. Unique sensation de plaisir : elle est plus serrée que dans son autre trou. Elle ne cesse pas de jouir tout le temps de la sodomie. Je ne pensais pas du tout qu’un cul soit si bien à mettre.
Elle me fait sortir pour changer de position : elle se met en levrette. Je suis juste derrière elle, ma queue bien tendue presque contre son entrée. Je « bafouille «  un peu pour trouver son anus. Elle m’y aide avec sa main pour me positionner.
- C’est l’ennui quand on encule une file la première fois, il faut toujours aider la pine à entrer.
Je suis maintenant à l’intérieur, bien au chaud, dans cet endroit magique. J’aime bien sentir son sphincter autour de la bite. De temps en temps elle le resserre pour prendre plus de plaisir. Par contre quand elle jouit, ces spasmes de son sphincter m’excitent drôlement. Arrive le moment crucial : je jouis dans son cul. Nos spasmes se confondent. Je reste immobilisé dans ses boyaux tout le temps de notre orgasme.
C’est délicieux ensuite de se retrouver couchés cote à cote avec nos langues qui ont repris leurs caresses. Je caresse ses seins pendant qu’elle me caresse encore la queue qui pour le moment reste comme insensible.
Elle arrive à m’exciter : je suis jeune et bande facilement. Elle me masturbe un peu, juste ce qu’il faut pour que je sois bien dur. Je ne sais du tout ce qu’elle veut faire avec mon instrument : s’en servir c’est sur, mais comment ? Angélique repart du début.
Son visage est contre mon bas ventre : sa bouche s’ouvre. Je tends la bite vers sa bouche : elle s’empare de ma queue pour me sucer à nouveau. Quel plaisir de sentir sa langue sur le gland. Elle y ajoute une légère variante : elle passe sa main sur mon cul. Angélique se donne à un autre mystère de la sexualité ; comment faire coïncider une fellation avec deux doigts dans mon cul.
Il me semble ne sentir que ses doigts et plus sa langue. Je sais que je jouis encore : cette fois c’est mon sphincter qui se resserre. Je sens quand même la chaleur de sa bouche autour de ma pine. Je sens sa langue qui récupère tout mon sperme dans sa bouche pour l’avaler aussitôt.
Angélique est une vraie salope. Elle part avant le retour de ma mère qui aurait fait une crise de me voir nu avec une cousine très portée sur la chose.
J’ai trop envie d’elle, je lui passe un coup de fil pour la remercier. Un coup de fil ne lui convient pas : il lui faut ma bite. Nous ne savons pas où aller ; Mais elle connait une foule de coins où nous pouvons sinon être nus, nous découvre assez pour baiser.
Elle veut maintenant des choses plus relevées. Elle ne peux pas avoir deux amant, elle me demande de la fister. J’ignore totalement ce quoi il s’agit. Nous sommes dans un jardin public ce qui ne la gêne pas du tout : elle a un coté exhibitionniste : nous prenons un banc à l’abri relatif, derrière une haie, des regards indiscrets. Je lui mets la main au panier pour m’apercevoir qu’elle est nue dessous. Sa main sort ma pine pour la lécher à peine. Je fais comme je peux pour la branler ; Elle ouvre ses jambes plus que les autres fois.
Je ma masturbe jusqu’à son premier orgasme. Elle me fait arrêter pour que je rentre dans son con toute ma main.
J’essais avec maladresse pour finalement y arriver, après pas mal d’essais.
- Enfonces ta main à fond, baise-moi comme ça.
Je fais ce qu’elle veut. J’arrive à mettre outre ma main le poignet jusqu’à presque mi avant bras. Je la fais tourner pendant qu’elle soupire sans arrêt en poussant des petits cris pendant toute la durée de mon introduction. Je la sens jouir plusieurs fois. Je suis fatigué de faire ce qu’elle veut, je vais sortir : elle me retient dans son sexe. Je regarde sa chatte dénudée avec ma main. Je bande toujours. Elle me prend avec sa main pour me branler. J’éjecte mon sperme là où je peux, en grande partie sur sa jupe.
Nous n’avons pas vu une mamie qui nous regarde depuis un moment. Elle n’est pas scandalisée puisque quand elle part, après notre jouissance, elle passe devant nous, s’arrête alors que nous ne sommes pas dans une position normale:
- Ca doit être bon à voir le plaisir que la demoiselle a prit, dommage que je sois vielle, j’aurais aimé me faire mettre comme ça.

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