L'Inconnue
En sortant comme tous les soirs de cette usine ou j'avais embauché il y a un an, chaque jours en allant prendre le bus, je la voyais. La première fois, dans la rue. Une petite silhouette comme tant d'autres. Je n'y avais pas prêté attention. Mais rapidement mon il exercé avait capté la plénitude de ces formes, bien qu'aperçue de dos, j'avais immédiatement apprécié la largeur de ses hanches, de son cul, dont le premier adjectif qui m'était venu à l'esprit pour le définir avait été " magnifique ". Oui, elle avait un cul magnifique. Elle faisait incontestablement partie de ces femmes qui étaient ce que je nomme : mes proies.
Et là, ce cul était de ceux qui comptent dans la vie d'un homme qui aime les femmes fortes. Plusieurs soirs de suite je l'avais suivi, de loin. Nos chemins était communs sur une partie de mon trajet jusqu'à la gare des bus. Elle devait sortir d'un bureau quelques instants avant moi. Mais cette vision de dos tout en me ravissant, avait quelque chose de frustrant, il me fallait voir l'envers du décor, ou l'endroit plutôt.
Aussi durant quelques jours avais-je cumulé les heures en restant plus tard, ce qui me privait de la suivre comme à mon habitude, mais ce stratagème me permis de finir plus tôt le vendredi de cette semaine là. Je partais en avance et la guettait à la terrasse d'un café, que je savais être sur sa route. Je la vis venir vers moi, bien que n'ayant jamais vu que son dos, le doute ne me fus pas permis, une silhouette à nulle autre pareille, car sous ce cul magnifique dont j'ai déjà parlé se plaçait des jambes capables de le porter, les hanches me l'avait fait pressentir, elle avait des cuisses larges, des cuisses que je reconnues immédiatement, quand je les vis de face. Et, surplombant ces cuisses, un ventre comme ceux qui font bondir ma queue. Dominé par une poitrine aussi grosse que celles dont je rêvais, le bond de ma queue fut plus fort que jamais.
Sans réfléchir plus avant, j'en aurais été incapable, mes sens masculins ayant mobilisé mon cerveau d'amateur de rondes, je ne possédais plus que le jugement d'un bouc.
En m'excusant à nouveau et pour me faire pardonner, je lui proposais de se remettre de ses émotions en lui offrant de prendre avec moi un rafraichissement à cette terrasse dont je m'étais extrait si maladroitement. Bien sur comme je m'y attendais elle refusa d'abord, du bout des lèvres, mais fini par accepter.
Notre conversation ne fut pas longue car n'y pouvant tenir et certain qu'une dame qui ne porte pas de sous-vêtements, le fait par commodité, pour se rafraichir par ces fortes chaleurs, mais aussi surement pour permettre à son amant de la prendre rapidement à la première occasion. Nous avons quitté la terrasse et sommes partit vers une de ces petites rues de Paris qui en compte tant, une de ces petites rues dont l'étroitesse et les portes cochères permettent aux amoureux de s'embrasser sans se faire voir.
Là sans témoins je lui fis part de mon désir de profiter de l'émoi qui, je le sentais nous était commun. Elle répondit par l'affirmative à cette proposition. Le contraire m'aurait étonné tant je sentais qu'elle était prête à toutes les folies pour accomplir des désirs de sexe qui n'avait d'égaux que ses possibilités à les assouvir. Avec les miens. Avisant un petit hôtel à quelques pas de là nous nous y précipitâmes.
Arrivés dans la chambre je lui déclarais sans pouvoir me retenir plus longtemps que la vue de sa chatte dénudée m'avait donné envie de la voir se soulager, là, accroupie dans la rue.
Réunis tout les deux dans la baignoire, moi nu, placé sous elle, j'attendis avec impatience ce jus doré délicieux, pour le boire directement à sa source. En écrivant ces mots je bande si fort que mon sexe me fait mal. Elle me laissa faire, y trouvant plaisir sans doute, car j'en profitais pour sucer avidement son clitoris déjà bien érigé.
Ce préambule accompli nous nous rinçâmes abondamment sous la pomme de douche, en échangeant caresses et baisers, elle aussi à aimé me sucer à ce moment, je dois le dire. Bref nous étions tous les deux satisfaits l'un de l'autre, avant même d'aller nous allonger sur le lit pour passer au plat de résistance. Quand je dis résistance le mot est malheureux car ce que je voulais c'était les empêcher complètement ces résistances et bien qu'elle n'ait eu aucun tabous et afin d'accomplir sur elle toutes les perversions dont je me savais capable j'entrepris de la ligoter à l'aide du cordon des rideaux de la chambre. Liant ses chevilles à ses poignets en prenant garde toutefois de ne pas la blesser, mais de telle façon que, allongée sur le dos, la tête confortablement posée sur un oreiller, elle ne puisse se dérober à aucunes de mes caresses, à aucun de mes baisers, ou de mes gestes même les plus virils. Car à ce moment non content de lui prodiguer des douceurs peau contre peau. J'entrepris de lui donner de petites claques, sur les fesses tout d'abord, puis, sur son pubis, sans prendre garde à l'érection toujours présente de son clitoris.
Elle essayait bien de se défaire de ses liens en se tortillant telle une anguille (de belle taille, un congre plutôt) elle ne parvenait pas à se soustraire à mes assauts. A son corps défendant elle poussait des cris propres à alerter le voisinage et pour éviter des problèmes difficiles à expliquer à nos entourages respectifs je l'obligeaient à se taire en lui fourrant dans la bouche ce qui me tombait sous la main.
Je savais pour l'avoir perçu dans l'ascenseur menant à l'étage ou se trouvait notre chambre qu'elle appréciait particulièrement d'être traitée comme la dernière des putains. Je lui donnais là aussi un aperçu des mes talents en la décrivant à haute voix telle que jamais elle n'aurait imaginé pouvoir se définir elle-même. Les grossièretés se mêlant aux claques elle apprit ainsi que de son état de pute, elle pouvait être aussi une vraie truie, et que comme telle elle devait se mettre à quatre pattes sur le lit afin de subir le coït de son verrat préféré, en l'occurrence moi. Je la besognais durement comme si je devais effectivement la féconder, mais le trou que je choisi ne risquait nullement de donner une portée de quoi que ce soit. Lui bourrant l'anus avec autant de force qu'ils m'en restaient. Mon plaisir obtenu a ses dépends, mais aussi avec sa reconnaissance, je la libérais pour nous permettre de prendre une collation et un peu de repos.
Cela faisait déjà deux heures que nous étions là...
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