Innocente Diablesse...
Ma directrice de service de lépoque était du genre, comment dire
très strict. Aux cheveux courts, de couleur paille, toujours bien peignés avec soin, lunettes sans montures. Ce jour-là, comme elle le faisait souvent, elle était venue prendre la tension de la salle louée pour une exposition de meubles anciens.
Mais à entendre la discussion virulent qui sétait instauré entre ma directrice et le responsable des lieux ne me mettait en confiance pour la suite de la location. Dailleurs elle ne mit pas longtemps pour minformer de sa discorde. Commençant par un gentil :
- Jai un sérieux problème !
- Oui, jai cru le comprendre en vous entendant discuter. Répondais-je.
- Il se trouve quil y a besoin dun gardien pour la nuit.
- Et vous nétiez pas au courant de cela ?
- Non ! Enfin, oui
je reconnais ma responsabilité dans cette affaire, en négligeant le besoin de lire correctement les clauses du contrat.
- Et alors ?
- Et alors je suis dans une merde pas possible. Dailleurs je cours dans la seconde jusquà mon bureau pour essayer de trouver une solution. À plus tard, fit-elle en séloignant.
Le responsable, sourire moqueur aux lèvres attendit sagement quelle est disparu de sa vue, pour venir à son tour mexposer sa version. Qui nétait pas trop éloigné de celle de ma directrice. Dailleurs cette dernière minvita par téléphone, de bien vouloir me déplacer jusquà son bureau, où elle mattendait debout, adossée à son bureau. Après mavoir demandé de fermer la porte, elle ôta ses lunettes, braquant ses yeux pâles sur moi, avant de lâcher :
- Je suis dans la merde.
- Je suppose que vous navez personne pour garder la salle ?
- Exactement, je me suis prise trop tard.
- Je lavais deviné. Et alors ? Comment on va faire ?
Elle sourit et me regardait en inclinant la tête, comme pour mieux me jauger, un peu comme on regarde un objet avant de se décider à lacheter.
- Je comptais sur vous pour trouver une solution.
- Cest que là dans limmédiat, je suis dans lincapacité de trouver quoi que ce soit.
- Je le comprend bien, mais nous faisons quoi dans limmédiat ? Menvoya-t-elle.
- Laissez moi un moment pour réfléchir.
- Bien ! Je vous laccorde. Je compte sur vous pour nous sortir de cette embarras !
- Je vous tiens au courant. Fis-je en sortant du bureau.
Elle comme moi, savions très bien comment cela allait ce terminer. Jallais une fois de plus me dévouer. Mais le plus délicat était de convaincre ma femme de cet imprévu.
Quand une heure plus tard, ma directrice vint aux nouvelles javais tout agencé. Et cela pour son plus grand plaisir.
- Je ne sais comment vous remercier, Alain. Vous menlevez là une sacrée épine du pied.
- Mais, je me permets de vous signaler quil ny a rien sans rien. Lui lâchais-je.
- Vous pouvez me demander ce que vous voulez, je serais ingrate de vous le refuser.
- Vraiment tout ?
- Tout ce que vous désirez. Menvoyait-elle sourire aux lèvres.
- Jaurai besoin de mon doudou.
Elle eut dabord un haussement dépaules, puis dune voix haut perchée, elle laissa tomber :
- Un doudou ! Alain, vous voulez plaisanter là ?
- Pas du tout, la nuit tombée jai besoin de mon fétiche.
- Mais restant sérieux, un doudou ? À votre âge ?
- Il ny a pas dâge pour cela, madame.
- Bon que cela tienne, sil y a une course à faire je me propose de leffec ?
- Jy compte bien.
- Dîtes moi le, je vous dois bien cela.
- Si vous assistez, je ne serais pas contre que vous moffrez votre petite culotte. Lui lançais-je tout naturellement.
Là elle en perdit son sourire.
- Mais dîtes moi Alain
vous êtes dhumeur très coquin malgré les circonstances ?
- Est-ce que jai lair de plaisanter là.
- Mais
enfin on ne peut pas demander une chose pareille à une femme.
- Et pourquoi, cela ne reste quune culotte. Je ne vous demande pas de coucher avec moi
- Encore heureux ! Me coupa-t-elle.
- Alors ! Je ne vois pas là votre indignation. Je vous promets que cela restera entre nous. Je mengage même à vous la resti discrètement demain matin.
- Cest que
bafouillait-elle, ce que vous me demandez là et des plus offusquant. Mettez-vous un peu à ma place, je reste tout de même votre supérieure.
- Enfin vous faites bien comme vous le voulez, madame. Mais sachet bien que cela est ma condition pour accomplir la mission qui mest affectée.
- Vous me tenez là ?
- Pas du tout madame, vous être en droit de refuser.
- Je lentends bien, mais quest-ce qui en reste de notre arrangement ?
- Il vous suffit de trouver une autre personne, voilà tout.
- Facile à dire, et moins à faire. Lâchait-elle avant de garder le silence.
Elle prit le temps de réfléchir avant de reprendre la parole et de lâcher :
- Bon, je crois que je nai pas le choix ! Je me dois à me plier à
vos exigences. Je pense que vous ne serez pas contre que jemprunte votre bureau pour me
enfin vous me comprenez. Fit-elle en séloignant en me tournant le dos.
- Faite donc, je vous en prie. En posant mon regard sur ses jambes musclées gainées dans un nylon noir avec des effigies. Madame, linterpelais-je.
- Oui ! Répondit-elle en se retournant.
- Mettez-moi aussi votre collant, sil vous plaît.
- Vous nz pas trop là ?
- À vous de voir ?
Elle sabstenait den dire plus, disparaissant derrière la porte. Je ne vous cache pas que jétais sur le moment pas mécontent de moi. Un besoin chez moi de lui rendre la monnaie de sa pièce. Celle davoir négliger, de poser mon nom sur le tableau davancement.
Inquiet de ne pas la voir revenir, jallais aux nouvelles, et constater que la pièce était vide. Par contre se tenait sur le bureau, bien en vue, une boule de nylon noir reconnaissant le collant quelle portait.
Cela eut pour effet de me faire bien rire.
21H03
Javais patiemment attendu dêtre seul dans la salle pour minstaller confortablement sur un canapé de lépoque. Profitant de cet instant calme pour mintéresser au cadeau que mavait aimablement donner ma directrice. Collant mon nez sur le slip, à lendroit où la dentelle marquait le pli de la fente. Je pris une profonde inspiration, me grisant de ses arômes. Mon cur se cogna fortement dans ma poitrine. Je suspectais que la coquine avait pissé dedans, tant le textile était transpirant. Comme mes sens se mirent en alerte en remarquant une traînée brune à un endroit bien spécifique. Jy logeais mon nez. Lodeur était des plus piquante. De men faire
bourdonner les oreilles. Alors que ma queue devenait de plus en plus douloureuse dans mon slip, à force de se raidir, le téléphone du bureau se fit entendre.
- Oui ! Répondis-je, essouffler après avoir couru jusquà, soit une cinquantaine de mètre.
- Catherine au téléphone. Tout va bien ? Me fit-elle dune voix sèche.
Je lui fis le topo de tout ce qui sétait déroulé après sa fuite.
- Bien ! Vous avez tout ce que vous voulez. Lâcha-t-elle avec sarcasme.
- Jai vous et cela me suffit bien.
- Je peux me permettre de vous poser une question ?
- Je vous en prie, faite donc Catherine, je mefforcerais de bien y répondre. Lui fis-je, devinant très bien où elle allait en venir.
- Pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
- Et bien de cette drôle de demande que je décrirais dun peu spécial.
- Tout bonnement parce que jaime les odeurs intimes de femme et cela depuis mon plus jeune âge. Et si je peux me le permettre, je vous assure que les vôtres sont au rendez-vous.
Jaurais pu jurer en la connaissant quelle rougissait à cet instant précise.
- Une faiblesse chez moi, ajoutai-je, incapable de me contrôler. Quand une femme me plaît il faut quà tout prix que je cherche le moyen de mapproprier sa lingerie portée. Cela vous va comme réponse ?
Et elle raccrochait, sans prendre la peine de répondre. Bip bip bip fit lécouteur, et cela me fit bien rire.
21H27
Je posais alors le combiné sur son socle pour men saisir de nouveau et fis le numéro du bistro de la ZUP.
- Rachid, salut cest Alain. Salin se trouve près de toi ?
- Je te le passe.
- Houais ?
- Tu aurais une chaude ?
- Houais ! Ça peut ce faire. Pour quand ?
- Tout de suite.
- Tu es où là ?
Je me mis à le mettre au courant des événements.
- Houé, bon
je tenvoie cela.
- Tu mavances le fric, je nai rien sur moi
- Houais, toccupe
22H02
Larrivée de la chaude. Bouchra de son prénom, toute jeune, très brune. Pas très grande, elle avait un corps parfait, des gros seins, des petites fesses bien cambrées.
- Tu veux une pipe ? Me fit-elle.
- Tu rigoles
je veux bien plus quune pipe, je veux ton cul.
- Ce nest pas le même prix
- Ne tinquiète pas, tu me connais, tu viendras me voir dans la semaine je te donnerais le complément.
- Cest que je naime pas trop ce genre de condition.
- Fais-moi confiance, je serais très généreux le temps voulu, tu peux me croire. Répondais-je en déchaussant son pied droit.
Une partie de lanatomie féminine, qui ne me laisse pas insensible. Aussi sexy et désirable quune paire de jambe. Si magistral quand ils se tendent, se contractent et ondulent. Et que chacun de leurs mouvements en rajoute un peu plus à mon émoi.
Néanmoins incapable de résister à la tentation, jembrassais son pied nu. Je suçais les orteils lun après lautre. Passant même la langue entre les petits doigts. Dont les odeurs qui sen dégageaient, provoquèrent chez moi un accroissement de raidissement de ma queue.
Je plongeais mes mains sous la jupe à la recherche du slip. Jacquits un empiècement poisseux de mouille, qui collait à la vulve. Que je décollais comme un pansement. Faisant glisser limpalpable sous-vêtement jusquaux plus bas de son corps. Elle soufflait dune voix rauque en levant les pieds lun après lautre.
Je linvitais par la suite, à prendre place sur le divan. Après lui avoir retroussé sa jupe je me contentais décarter ses jambes pour nourrir mes yeux. Une belle chatte, toute rose sous ses grandes lèvres bien ourlées, et quaucun poil ne couvrait. Sa raie était moite de transpiration. Des senteurs acides sévaporaient de la raie ouverte. Que je pris la peine de renifler, du haut de la raie, et cela jusquà la base du coccyx. Elle avait un cul absolument imberbe. La bordure de lanus charnu dun rose sale, était boursouflée.
Je me penchais pour mettre au contact ma bouche avec son sexe odorant. Que je me mis tout de suite à sucer quelques instants avant de porter mon attention sur son anus brun, le mouillant abondamment de salive. Là, je joignis deux doigts, et les approchais jusquà toucher la cible. Devinant mon intention, Bouchra se montrait dun coup plus rebelle. Il me fallut être perspicace pour pouvoir atteindre enfin mon but. Pour avoir la jouissance de sentir son illet cédait, souvrir, pour que je puisse glisser mes doigts dans une douce cavité de soie. Elle se fit accueillante, docile. Tout en tétant son bouton je branlais son anus. Sans doute inaccoutumé à ce genre de caresse, elle ne mit pas longtemps à partir dans un orgasme, qui secoua son bassin dun surprenant soubresaut.
Mon cur semballa, alors que mon sexe se gonflait encore et toujours. Frissonnant au fond de son slip. Se gorgeant de sang et démois, se dressant tel un gode, ne cachant plus rien du désir qui menvahissait.
Je retirais mes doigts pour les porter jusquà mon nez. Humant les effluves qui sen dégager. Tout en portant mon regard sur la corolle mauve dilatée, qui restait évasée. Quelque chose bouillonnait en moi. Quelque chose qui me rendait fou. À men faire perdre les pédales, à mettre ma verge à lair. Je la pris alors comme javais tant désiré la prendre, forçant lentrée de son sphincter dune poussée dune rudesse calculée. Elle sétait prêté de son mieux à ma fantaisie. Les doigts crispés sur les coussins, lorsque jenfouis lentement ma verge dans son trou du cul. Vainquant peu à peu la résistance naturelle des muscles. Elle avait laissé échapper un soupir, avant de lâcher un encourageant :
- Bourre-moi
tu entends quoi
bourre-moi !
La voix suppliante décupla ma tension dont le sang battait les tempes jusquà métourdir. Crispé sur elle, après linstant de répit nécessaire à calmer ma surexcitation de mes sens, je me mis à bouger, allant et venant, plus loin, plus fort, heurtant à chaque coup ses fesses musclées.
Chaque fois que je menfonçais en elle, les reins que je violais sembler se prêter davantage à létreinte. Son halètement devenait
gémissement, râles, cris cassés au ras de la gorge. Le plaisir ouvrait
son corps et je perçais sa croupe sans guère plus defforts que je leus faits avec une chatte.
Je sentis venir mon orgasme et continuais de la sodomiser, accélérant encore mon rythme. Des sensations délectables menvahissaient, alors que de son corps en sueur montait jusquà mes narines une odeur lourde, épicée. Je me laissais aller, emporté par un âpre plaisir et meffondrais sur elle, le cur battant, la tête vide. Et éjaculais
transférant mon jus damour dans son cul.
23H10
Le téléphone se mit de nouveau à sonner. Je décrochais.
- Oui ! Répondis-je.
- Cest moi Catherine, ça va ?
- Très bien, merci, grâce à vous.
- Vous allez arrêter avec cela, sinon je lui mets un rapport.
- Bonne idée, je vais vous en établir un. Comme je lavais jadis fait à un professeur lui remettant une rédaction retraçant la journée du mercredi. Une chaude après-midi si vous voyez ce que je veux dire.
- Je vois
je vois, je nai pas besoin dun dessin.
- Mais que faite vous encore à cette heure là debout.
- Je suis dans mon lit, si vous voulez tout savoir !
- Cela ne dérange pas votre mari ?
- Excusez-moi de ne pas vous avoir préciser que je dormais dans la chambre dami.
- Vous faites bien ce que vous voulez. Je nen demandais pas autant. Pourquoi ne pas venir me rejoindre ?
- Vous ne vous reposez jamais Alain ? Je ne vous connaissez pas autant
- Autant quoi ?
- Rien
- Bon revenant si vous le voulez bien à nos moutons. Que voulez-vous savoir ?
- Je minquiète pour vous, voilà tout.
- Il ne faut pas Catherine, je suis dans mon élément ici.
- Et en fait votre femme, elle a pris cela comment ?
- Elle a lhabitude de ses imprévus.
- Et cela ne la dérange pas ?
- Posez lui la question.
- Je men garderais bien.
- Aller Catherine, raccrocher et ne vous inquiétez plus pour moi, dormez plutôt, pour être en forme pour demain.
- Jai du mal à trouver le sommeil ! Je suis tendue à la faute de tous ses événements.
- Une bonne masturbation ça fait retomber la pression.
- Alain vous êtes vraiment intenable.. Bonne nuit tout de même.
Et elle raccrocha.
03H15
Ne tenant plus je me masturbais, tout en humant les pieds du collant de Catherine. Et cela me donnait comme une très grande envie de rédiger un rapport.
ENVIRON VERS LES 04H00
Après en avoir écrit trois feuilles, je mettais assoupi.
07H22
Jouvrais les pupilles. Mon premier réflexe fut de nouveau de porter la culotte à mes narines. Cherchant du nez lendroit qui me
ferait de nouveau frissonner. Mais pour mon plus grand désarroi la plupart des effluves avaient disparu lors de mes précédents léchages.
08H03
Larrivée de Catherine. Elle tenait dans la main un pochon. Les yeux brillants, la bouche tendue par un fin sourire .
- Tenez je vous ai emmené des croissants, vous les avez bien mérité. Fit-elle en hachant la tête.
Puis elle se mit à me fixer. Je soutins son regard. Ses yeux étaient calmes. Il y avait un peu de sueur au-dessus de sa lèvre.
- Vous le pensiez réellement ? Me fit-elle, coupant le silence.
- Vous parlez de quoi ? Répondais-je.
- Du conseil pour mendormir. Me fit-elle plein de malice dans les yeux.
- Tenez ! Cest le fameux rapport de la nuit
- Merci me fit-elle en sen saisissant. Je pense que je ne vais pas mennuyer.
- Je le pense moi-aussi, Madame
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