Nouveau Job Ii
Cela faisait maintenant 2 mois que javais eu le droit aux caresses buccales de Christelle. La pression était redescendu quelque peu, enfin javais fait redescendre la pression de mon côté, en continuant mes petites aventures habituelles, notamment mon plan cul régulier quon pourrait qualifier de « Sex-Friend ». Mais ceci fera lobjet dun autre récit.
Pour en revenir à Christelle, elle faisait plus en chaleur que jamais. Et dès que je sentais que mon corps réagissait à son charme je planifiais une branlette au bureau, ou un plan cul le soir en fonction de lurgence. Malgré la « mauvaise » expérience de ma première masturbation au bureau, jai vite été obligé de réitérer laction si je ne voulais pas me faire griller. Christelle se faisait très insistante en me montrant au choix, son décolleté plongeant, son string sous son pantalon de tailleur moulant, ou carrément sa chate lorsquelle ne mettait de sous-vêtement sous sa jupe. Ceci est arrivé quune fois et bien heureusement, ce jour-là je me suis non seulement masturbé derrière mon bureau, mais en plus jai appelé ma copine de cul le soir.
Javais pris cette habitude et une routine sétait plus ou moins établi. Je métais bien intégré et les conversations de cul allaient bon train avec mes collègues, et jy participais activement. Je faisais partie de ceux qui fantasmait sur « la chef » et ceux, plus rare, qui se branlait au bureau en pensant à elle. A noter que cette part augmentait peu à peu, on y comptait même un marié. Par contre personne ne savait que javais eu le droit à un traitement de faveur. Ce nétait pas nécessaire quils le sachent, au contraire même.
Un jour après avoir mâté le cul moulé par un petit tailleur de ma patronne, et mêtre branlé 2 fois, je mapprêtais à rentrer chez moi tranquillement. Il était tard et je devais sortir ce soir-là. Et là le téléphone sonne. Pensant que je ne devrais pas, je décroche quand même.
Cest Christelle, elle me fait savoir quelle a un dossier à me faire passer pour que je men occupe le lendemain.
Je ne la lâchais une seconde. Ses gémissements se transformèrent vite petits cris. Tantôt je lui léchais légèrement le clito, tantôt jenfonçais ma langue au plus profond. Je poussais même le vice à aller titiller du bout de ma langue son petit trou. Et elle avait lair dapprécier ça !! Elle soulevait sa croupe pour mencourager. Très vite ma langue se focalisa sur lui, après lavoir fait joui une première fois. Pendant que je pénétrais sa chatte de mes doigts, je léchais son petit cul. Sous ce traitement, elle jouit rapidement une deuxième fois. Estimant quil était temps de passer aux choses sérieuses, sans rien lui demander, et profitant du trouble de sa jouissance, je lassis sur le bord du bureau, descendis mon pantalon pour libéré ma queue plus tendu que jamais.
Très vite elle me dit quelle voulait que je jouisse en elle mais que ce nétait pas possible dans son vagin. Je la regardais dun air interrogateur, ne voulant pas trop comprendre de message à demi voilée. Sans rien dire, elle prit mon membre, le fit glisser un peu plus bas, et magrippa pour me pousser vers elle. Je mintroduis dans son cul avec une facilité déconcertante, et pourtant il faisait aussi serré, et accueillant, que les autres culs que javais pu connaitre. Je lâchai un petit souffle de surprise, pendant quelle se laissait aller. Rapidement je repris mon rythme de croisière. Quest-ce que cétait bon. Je ne tiendrai pas très longtemps comme ça. Je voulais faire durer et dès que je sentais ma jouissance arriver je sortais, et faisais doucement claquer mon gland sur son clito.
Soudain, alors que je venais de reprendre une profonde pénétration, ses couinements devinrent muets, elle se mit à respirer comme si elle suffoquait, je sentis tout son corps de contracter, et surtout son anus, et soudain elle lâcha un cri aigu et long en jetant la tête en arrière, je sentis son anus se contracter violemment et je ne pris pas longtemps pour la rejoindre dans la jouissance. Pendant quelle criait mon plaisir, je remplis son cul de ma semence dans un long gémissement. Nous restâmes quelques minutes comme ça, moi appuyé sur mes deux mains sur le bureau, encore en elle, et elle une main me tenant au cou, lautre sur le bureau, la tête en arrière.
Elle sallongea sur le bureau, Je sortis de son cul. Je me rhabillai comme je pus, et je partis sans un mot, avec mon dossier, la laissant reprendre ses esprits seule, le cul dégoulinant de mon sperme.
Je garde encore les images de cette étreinte bestial, mais malheureusement se fut la première, et la seule.
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