Petit Chien
On était pote depuis quelques années, dernièrement on peut dire quon sétait rapprochés, en tout cas nos conversation avait chauffée !
Elle menvoyait des photos delle sexy, jamais nue, malgré mes nombreuses tentative den avoir ! Il fallait que je me la tire, et jallais le faire !
Alors quon discutait je suggérais quon se voit, elle parut hésitante et finalement acceptait ! Je mapprêtais donc pour aller chez elle.
Jarrivais chez elle, elle me fit entrée, punaise que javais envie de la baisée ! Elle avait mis sa fameuse robe rouge et ses talons
Je revois encore les photos ! Il faut que jarrête dy penser, je vais bander, ça va pas le faire !
- Alors maintenant que tu es là, on fait quoi ? Me dit-elle.
- On baise ? Dis-je sur un ton humoristique mais le pensant vraiment.
- Bonne idée !
- Sérieusement ? Dis-je étonné.
- Oui
Jai envie de toi depuis un bon moment !
Ni une ni deux, je me jetais sur elle, lembrassait, mais elle me repoussait.
- Mais quest-ce que tu fais ?
- Je pensais à un truc
- A quoi ?
- Avec les photos de moi que tu as vue
Tu pourrais me faire deux trois petit plaisir non ?
- Tout ce que tu veux !
- Déshabille-toi, jaimerais te voir nu !
Dans lexcitation, je retirais tous mes vêtements, je bandais plus que à fond ! Elle le vit et sourit ! Elle sassit dans le divan et me fit signe de venir près delle, ce que je fis, on se mit à sembrasser, elle mit mes mains dans mon dos, les tenant avec lune des siennes, son autre main masturbait mon sexe, javais envie de la toucher mais javais réellement, après un long moment, elle sentit que jallais venir, je ne disais rien, elle arrêta à mon grand malheur, ainsi que de membrasser
Je la regardais, surpris, en attente dune suite et dit :
- Tu ne te déshabillerais pas ?
- Je tai dit que tu devais me faire deux ou trois plaisir, non ?
- Oui, cest vrai !
- En plus, tu mas dit : « tout ce que tu veux ! »
- Oui, oui, allais dis-moi !
Elle prit ma main et me fit sortir hors du divan, elle tout en restant dedans, elle me tendit son pied et me dit :
- Baise mes pieds.
Je ne pris pas le temps de réfléchir et je déposais des bisous sur ses pieds, elle navait pas lair dapprécier, cétait frustrant !
- Caresse les avec ta langue mon chaton !
Ma langue commençait à lécher ses pieds, les caresser comme elle le disait, elle semblait plus apprécier, je me donnais à fond pour lui faire plaisir
Après quelques minutes elle me dit sur un ton sec.
- Suce mes doigts de pied !
Je pris son gros orteil et le mit en bouche, et ce fut ainsi pour tous les autres, lorsque ce fut assez pour elle, elle se releva, je me sentis tout petit à genou face à elle, elle me fit me relever et prit ma main, on partit dans sa chambre
- Cest là que tu te déshabille ?
- On est quà deux plaisirs mon cochon !
- Ça devient long !
- Un dernier ! Promis !
Elle me fit me coucher sur le lit, prit mes mains et les amena au barreau derrière son lit, avec une paire de menotte les attachas autour du barreau, jeu un sursaut de peur.
- Hey, mais quest-ce que tu fais !?
- Mon petit plaisir, ne tinquiète pas !
Elle mit un bandeau sur mes yeux et puis plus rien
Après un petit moment elle vint sur moi, elle était nue, je pouvais sentir son sexe se frotter contre le mien, je tentais en vint de le pénétrer mais ny arrivais pas ! Sa main redescendit dessus et elle se mit à le masturber des plus belles, une nouvelle fois, je me sentais venir, elle sarrêta
Elle vint se placer au-dessus de mon visage et mordonna de la lécher, ce que je fis volontiers.
Ça dura longtemps, je le sentais quelle avait bon lorsque elle se frottait sur mon visage, elle se retirait me lançant ainsi, elle sallumait une cigarette, je lui demandait pour tirer un coup, elle me laissait tirer un coup, et ce fut tout, jen redemandais un second jeu droit à un :
- Ta gueule !
- Hey, me parle pas comme ça !
- Ta gueule, tu es ma pute !
Dit-elle avait de me relever la tête pour me mettre un bâillon, non, ce nétait pas un bâillon, javais la bouche grande ouverte bien que je ne pouvais plus parler
Merde, dans quelle situation jétais ?
Elle me mit un préservatif autour de la queue et vint se mettre sur moi, elle pénétra mon sexe dans le sien, cétait bon, lorsque elle sentait ou voyait que je venais, elle sarrêtait, jusquau moment ou elle laissa tout venir, jétais essoufflé
Elle se retirait et retirait le préservatif, jattendais quelle me retire cette chose de la bouche, mais au lieu de cela je sentis couler mon sperme dedans.
- Avale petite pute, cest ça non que tu voulais que je fasse lors de nos conversation ? Que javale ton sperme ?
Javalais donc, dans la situation où jétais, je navais pas trop le choix !
Elle me laissait ainsi, sortit de la pièce et revint quelque minute plus tard
Elle relevait mes jambes sur ses épaules et je sentis ses doigts sur mon anus, je fis non de la tête et elle me dit :
- Ça aussi tu voulais le faire me sodomiser, je vais essayer avec ton cul !
Je gesticulais dans tous les sens, finalement elle se bougeait et me retournais sur le ventre pour mattacher les pieds à chaque barreau opposé, mon cul lui était offert, jallais me faire sodomiser, je sentis ses doigts le caresser, mon sexe bander par la même occasion !
- Tu aimes ça petite salope ?
Peu à peu ses doigts sinsèrent dedans, elle fit des va et viens, de son autre main se mit à me branler, je nen pouvais plus, en plus je commençais à avoir envie quelle le fasse, jétais honteux !
Elle finit par se mettre derrière moi.
- Apprête toi petite salope !
Quelque chose de dur contre mon anus, qui senfonçait peu à peu marrachant des petits cris, et elle commençait des va et viens, me déchirant !
Elle mettait des claques sur mes fesses en me disant « taimes ça hein petite pute !? »
Lorsque elle trouvait mavoir assez sodomiser, elle vint mettre sa tête à la hauteur de la mienne et me dit :
- Tu vas être une brave fifille ?
Je ne répondis pas, humilié, et humilié davoir aimé ! Elle me laissait avec le gode ceinture dans le cul, elle revint bien plus tard et me dit.
- Tu vas être une brave fifille ou je tencule à nouveau ?
Je fis un signe de la tête pour dire oui, elle me détacha les mains et me les attachais dans le dos, puis me détachais les pieds et menlevais le bâillon.
On ne fit que quelques pas et elle massit sur une chaise ou détachant mes menottes elle les rattachais au dossier et mes pieds à chacun des pieds de la chance.
- Tu veux à boire ?
- Oui
Elle me fit boire un verre deau.
- Tas aimé pas vrai ?
-
- Tu peux le dire !
- Oui
- Je ne suis pas satisfaite ! Dit-elle froidement.
- Oui, jai aimé !
- Maîtresse, quand tu tadresses à moi tu dis maîtresse ! Cest compris ?
- Oui, maîtresse !
Elle me remit le bâillon et se mit à genoux entre mes jambes, me tirant une pipe que javais longuement attendue ! Elle avalait même ! Lorsque elle eut fini elle dit :
- Tu as intérêts à bander très vite !
Elle montait sur moi et frottait à nouveau sa chatte contre mon sexe, je réussi à bander par je ne sais quel miracle ! Elle me mit la capote et pénétra mon sexe dans le sien, ses bras autour de mon coup me serrant très fort, je sentais sa poitrine contre mon torse, ça durait, durait
Jen avais même mal !
Lorsque ça vint, elle se retirait, comme si je navais été quun simple jouet, elle me retirait le bâillon et me dit :
- Content ?
- Oui, maitresse
Merci.
- Tu me fais plaisir maintenant !
Mais il ne se passait rien, puis elle retirait mon bandeau, elle avait mis une nuisette, laissant imaginer ses formes, mais rien voir ! Frustration ! Elle me retirait la capote et lamèna à hauteur de ma bouche.
- Tu connais la leçon, non ?
- Oui maîtresse
- Alors ?
Jouvris la bouche et elle dit.
- Tu nauras rien sans demander.
-
- Allais !
- Pourrais-je boire mon sperme svp maîtresse.
- Bien sur ma petite pute !
Elle fit couler le sperme dans ma bouche et je lavalais.
- Cest bon ? Tu aimes bien ?
- Oui maîtresse
Dis-je mort de honte !
Elle me remit le bandeau et me détachait, mamenait dans la salle de bain et elle me donnait mon bain, nhésitant pas à me caresser.
Lorsque ce fut fini, on retournait vers sa chambre, elle pousse sur le ventre sur le lit et me mit quelque chose dans le cul, jétais certains que cétait pour le garder élargis.
Elle mattachait les mains à un pied du lit et les pieds à lautre.
- Demain on verra si tu as compris la leçon.
Elle se couchait et la nuit passait, je mendormais
Au matin, ou du moins je suppose, elle me détachait, menlevais le bâillon, jétais « libre ».
Elle me tendit lun de ses pieds que jembrassais, léchais comme elle le voulait ! Je bandais à nouveau, elle le vit.
- Branle-toi en léchant mes pieds petite chienne, tu tarrêteras quand je te le dirais et tu te tais ! Me dit-elle.
Ce que je fis ! Et ça vint par finir par sortir, sur le carrelage de sa chambre, jétais rouge de honte.
- Sale chien ! Lèche ! Me dit-elle en me mettant un coup de pied au cul.
A quatre patte, à ses pieds, je léchais mon sperme étaler sur son carrelage que je venais de relâcher
Cela semblait lamuser
- En position !
- Je nai pas compris maîtresse ?
- Et tu es con avec ça !
- Mais tes mains sur le lit et ton cul vers moi !
Je mexécutai, elle me retira le bouchon, cracha sur mon anus quelque fois et remis son gode ceinture, je navais pas le droit de me retourner.
- A chaque coup que je mets dans ton cul, tu comptes ! Si tu te trompes, on recommence à 0 jusquà minimum 100.
Et cest ainsi quen pensant aller tirer un coup, jétais devenu le petit chien dune amie.
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