Leslie An14

Leslie AN14 - Anastasia, week-end à Epernay, la soirée chez Benoît

Lorsque nous sommes arrivés chez Benoît, pour cette fameuse soirée organisée par mon coquin d’ami et la délicieuse Delphine, la table était installée et nous avons pris l’apéritif, au champagne comme il se doit dans cette belle région champenoise.
Après avoir dégusté des petits fours, largement arrosés de champagne, nous sommes passés à table.
Benoît arborait un pantalon blanc assez vaste avec un débardeur rouge, el le regardant je fus persuadé qu’il portait son pantalon sans rien dessous, de son côté Delphine avait passé un corsage bleu ciel, sans soutif, laissant sa petite poitrine libre et une petite mini-jupe qui cachait à peine son intimité qu’elle avait laissé nue, jugeant certainement qu’un string était superflu…
Pendant le repas la conversation a vite tourné côté sexe, et je dois dire qu’il fut copieusement arrosé, si bien que quand nous sommes passés au salon pour le café et le champagne pour les amateurs, nous étions tous très excités et quelque peu allumés.

Pendant que Delphine servait le café, Benoît s’est approché d’Anastasia et se plantant devant elle, il a sorti sa bite de son pantalon.
Anastasia reste là, assise sur le sofa regardant la bite de Benoît à moitié dressée, elle ne semble pas s’en formaliser, ses yeux fixent le membre offert à ses yeux, et sans un mot, retroussant sa jupe, elle commence à se branler au travers du tissu fin de sa petite culotte.
- Elle est grosse, hein ? Dis Benoît.
- Euh… oui, certainement ! Réponds Anastasia.

Il enlève complètement son pantalon, il ne portait pas de sous-vêtement et s’installe confortablement dans le canapé près d’Anastasia.
Nous voyons son gland briller d’excitation, sa queue est maintenant vraiment engorgée et raide comme ce n’est pas possible.
Delphine doit mouiller et Aurélie comme moi doit commencer à bander, le cœur de la petite doit battre la chamade et sa petite chatte doit être en feu !
Je me retiens pour ne pas rentrer ma main dans la culotte et me branler comme une salope.

- Ça te fait quoi de voir mon sexe ? demande-t-il.
- Euh, eh bien, je ne te cacherais pas que je ne suis pas insensible ! C’est difficile de ne pas être excitée quand on voit un membre pour la première fois. Mais, en même temps…
- En même temps quoi ? Demande Benoît.
- Bahhh, je t’ai déjà vu te masturber devant ma photo et je sais que tu phantasme sur moi !
- Alors, touche-là, ne te gêne pas !

Anastasia, ne se laisse pas prier. Elle entoure de ma petite main la verge offerte et je constate qu’elle n’arrive pas à en faire le tour !
Elle doit la sentir vivante, car elle vibre dans ma main, et elle fait glisser doucement sa main sur la tige dressée, et nous entendons Benoît gémir de plaisir et ça encourage Anastasia à continuer. Puis, il dit :
- Écoute, tu n’es pas obligée, mais j’aimerais te voir nue, ça fait si longtemps que j’en rêve.

Sur ces mots, Anastasia délaisse un moment la queue de Benoît pour se dévêtir, elle a perdu toute pudeur, même si elle se sent quelque peu gênée, mais tellement excitée qu’elle ne peut refuser.
Elle enlève d’abord le haut, ses petits seins sont tout gonflés et ses tétons sont fièrement dressés. Puis, après la jupe, elle arrive à sa culotte. En la baissant elle laisse découvrir sa toison, taillée court, qui couvre tout son pubis, inutile préciser que son clito bandé est apparent et qu’elle ruisselle de mouille.

Aussitôt elle reprend la queue de Benoît dans sa main et je se penche pour la lécher avec des petits coups de langue. Puis elle se décide de l’entrer dans sa bouche et commence à le sucer avec une certaine délectation.
- Humm… ohhh oui ! Tu suces bien !

Après quelques instants, Benoît dit :
- Je vais te rendre la pareille…
Il relève Anastasia et l’allonge sur le canapé, puis il écarte ses jambes et plonge sa tête entre elles. Il commence à la lécher l’intérieur des cuisses et se dirige tranquillement vers son pubis.
Elle est maintenant sous son emprise, abandonnée à ses caresses. Doucement, il passe sa langue le long de sa fente et elle se cambre déjà sous cette caresse. Sa mouille ne cesse de couler, elle est une véritable fontaine. Puis il sépare ses petites lèvres pour faire pénétrer sa langue dans son vagin. Anastasia pousse alors des petits de plaisir.

Il la goûte, il lui mange la chatte, c’est d’un érotisme dingue, Delphine se caresse sans retenue, tandis qu’Aurélie maintenant près de moi me branle en se caressant.
Anastasia écarte encore plus ses cuisses pour que la tête de Benoît ait tout l’espace voulu, elle est excitée et feule de plaisir, elle ne ressent plus aucune gêne, elle vit le moment avec un pur bonheur, et elle dit :
- N’arrête pas ! Continue, lèche-moi à fond, fais-moi couler ! Goûte-moi !
Sa langue lui lèche toute sa chatte sans en oublier un recoin. À chaque coup de langue, elle donne un coup de bassin pour venir encore plus à sa rencontre.

Je me rends compte que sa queue est toute raide, mais une pensée toutefois me traverse l’esprit, car s’il veut la pénétrer, j’espère qu’elle va pouvoir l’accueillir comme il faut, car Anastasia n’a pas encore connu d’homme et elle doit être sacrément étroite.
Mais en ce moment à défaut de sa queue, Benoît entre deux doigts en elle, ils la fouillent avec agilité et font des va-et-vient tantôt rapides, tantôt lents.
Anastasia est au bord de la jouissance !
Mais, juste avant qu’elle n’y arrive, il retire ses doigts et approche sa queue de la vulve d’Anastasia, ça y est, le moment est venu, la belle va perdre sa virginité.
- Je vais y aller doucement, dit-il, tu es tellement mouillée que ça devrait bien se passer…

Son gland est à l’entrée de son vagin, il le taquine un petit peu et puis il pousse légèrement.
- Comme il est gros ! Dit Anastasia.
Il est tout juste rentré, Benoît pousse encore un peu plus.
- Hum, que c’est bon de se sentir pénétrer ! Ajoute Anastasia.
Il se retire et revient en elle un peu plus loin et il se retire encore et, cette fois, quand il revient, son gland rentre complètement.
- Aggrr ! Hurle Anastasia
Le gland est entré, Benoît donne de petits coups de bassin pour que sa verge entre un peu plus loin, toujours plus loin. Il fait maintenant de véritables va-et-vient en elle et elle doit, maintenant, se sentir complètement remplie par la verge de Benoît.
- Ouah, ta grosse queue, dit la belle, elle me défonce bien !
Je le vois s’amuser à sortir d’Anastasia et à revenir avec force en la pénétrant jusqu’aux couilles.

Je me sens Anastasia au bord de l’orgasme, ses muscles se contractent et, bien vite c’est l’explosion ! Anastasia pousse alors un long gémissement tandis qu’un flot de mouille s’échappe de son vagin inondant le membre de Benoît.
Benoît glisse encore mieux en elle, quoique certainement un peu plus à l’étroit, puis Benoît se raidit au moment où son liquide gicle en elle sans retenue.
- Hoo ! Quel pied ! Hurle Anastasia.
Elle n’est plus que sexe dans sa jouissance et perd un moment connaissance…

Pendant ce temps-là, Delphine à fait signe à Aurélie de venir près d’elle, qui pour ne rien perdre du spectacle s’est placée les mains en appui sur le dos du fauteuil pour s’offrir indécente et cambrée aux assauts de la jeune et belle transexuelle.
Aurélie se place dans le dos de Delphine, qui impatiente mais tout en regardant Benoît dépucelant Anastasia, se cambre encore plus en sentant la jeune transexuelle se placer dans son dos.
S’aidant d’une main, Aurélie place sa queue à l’entrée de la vulve de Delphine et d’un coup de reins la pénètre profondément, je suis toute excitée et j’aimerais bien que la petite Anastasia me suce pendant que Benoît la lime, mais je me dis que ce n’est que partie remise pour un peu plus tard.
Aurélie pénètre Delphine à grands coups, et la jouissance gagne rapidement les belles qui de concert jouissent en même temps.

Peu de temps après, c’est avec une coupe de champagne que nous célébrons l’évènement, Anastasia n’est plus vierge et Benoît vient de réaliser son fantasme.
En buvant tranquillement ma coupe et en regardant les yeux lubrique de mes complices, je me dis que la soirée n’est pas fini et que la nuit va être longue…

A suivre…